Nous avons tous appris avec ou sans surprise la déconvenue de la conseillère générale lors de sa candidature à la 5ème vice-présidence à la comcom. Et nous venons d'apprendre avec beaucoup de curiosité les raisons à la fois de sa candidature, de son échec ... et de sa petite bouderie. Son explication dans la presse de ce matin est "un modèle du genre".

1) La guerre des cantonales n'est pas finie ! Le maire de Dieffenbach-au-Val avait en son temps chèrement payé le soutien contre nature de la majorité "UMP sans étiquette" et de l'ancien conseiller général René Haag, alors qu'il était apparu de tous temps comme un écologiste convaincu. Les électeurs n'aiment pas le flou. La conseillère générale élue s'est présentée, avec son suppléant ancien UDF, comme "centriste sans étiquette". Elle a, dès son élection, rejoint la grande famille UMP and co du président Kennel. A son tour donc de payer les pots cassés.

2) Sa volonté de s'impliquer : elle se présente à un poste qu'elle ne souhaite pas occuper. Quelle logique !

3) Son bilan de conseillère générale : elle a quitté sa profession pour s'impliquer dans son mandat ! Il faut lui reconnaître une grande volonté politique pour obtenir la navette du Champ du Feu ! Mais qu'en est-il de l'emploi ? des salaires bas de notre vallée ? des transports plus que déficients ? des friches de toutes sortes ? du petit commerce ? des marchés du mercredi et du jeudi soir ? Rien ! Enfin, notons que, devenue première adjointe de Villé, elle est à ce jour la seule, selon le site internet communal, qui un mois après les municipales, n'a toujours pas de délégation.

Quelle conclusion tirer ? sinon que la conseillère générale tente de préparer sa reconversion pour 2015 ?

 Journal "L'Alsace" du 23 avril 2014 

Décidément, à la Comcom on a pris l'habitude de jeter l'argent par les fenêtres avec des recours aussi inutiles, qu'abusifs et comiques ! Si ce n'est qu'une fois de plus le contribuable de la vallée va payer les frais de justice et d'avocats. Et pour quel résultat ? J'ai bien retenu aussi que la ligne bleue des Vosges passait entre le Val de Villé et la vallée de la Bruche, ça c'est nouveau. Quant à la conseillère générale, elle a une guerre de retard en regrettant que le Val de Villé ne soit pas rattaché au Val d'Argent. C'est vrai qu'il y a de vieilles mines d'argent aussi à Urbeis.

La question est de savoir pourquoi, 2 jours avant les élections municipales, le président de la comcom fait voter sur ce sujet. Une façon de mettre le conseil communautaire à venir devant le fait accompli ? ou d'amadouer les nouvelles têtes qui arriveront ?

Nous n'allons pas redévelopper l'argumentation : le nouveau découpage est fait pour obtenir des circonscriptions électives plus justes en terme de nombre d'électeurs, et pour permettre à la montagne d'avoir ses représentants. D'ailleurs, l'AMV qui représente 536 communes du massif vosgien et le congrès de l'ANEM (association nationale des élus de montagne) l'ont compris, et c'est sur leur insistance que le premier ministre a donné des directives aux préfets.

Alors un recours pour quoi faire ? On se le demande bien.

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Le maire de Villé vient de faire paraître dans la presse "sa liste" très complète (au point de devoir en exclure un adjoint qui ne s'appelait pas "Désiré"). Nous n'irons pas contester la confection certes difficile de la liste (Monsieur le Maire a dû draguer des femmes de l'opposition et même celles de la "vieille garde" de son premier mandat). Le mode d'élection a changé et à Villé, on votera un tout, autant au niveau municipal qu'intercommunal. Oui, mais voilà ! Au niveau intercommunal, Monsieur le Maire nous laisse dans le noir le plus complet ! Nous n'apprenons ni le nom des futurs éventuels conseillers communautaires, ni même un quelconque projet qui serait soutenu par le futur ex-chef-lieu du canton !

Monsieur le Maire ne nous expose pas ce qu'il envisage pour la friche industrielle des FTV (qui se situe pourtant à Villé) pour laquelle le propriétaire avait exposé un projet aux élus. Rappelons que c'est la comcom qui a la compétence "industrie". Et que la comcom devrait s'investir autrement qu'en comptant les cerises volées aux arbres fruitiers de la ZAC du Climont ! Peut-être devrait-elle revoir le mode de fonctionnement de ces zones industrielles, et soutenir les créations d'entreprises et d'emplois autrement qu'avec des paperasseries administratives qui durent plus d'un an.

Tout comme il ne nous expose pas ce qu'il projette pour l'avenir des logements sociaux de la route d'Albé planifiés par la DOMIAL (autre compétence de la comcom) ! Tout comme il ne parle pas de l'ancienne gendarmerie que l'Etat proposait de lui céder gratuitement (ce qu'il a refusé).

Et pourquoi ne parle-t-il pas du bilan de son mandat de vice-président des transports, lui qui a favorisé par son exemple les interdictions aux poids-lourds, au point que la ZAIM de Maisonsgoutte reste désespérément vide. Les camions devront-ils un jour emprunter les passes à poissons du Giessen pour y accéder ?

Retenons une chose pour l'instant : ou Monsieur le Maire n'a pas encore reçu et lu l'intégralité des directives électorales, que nous voulons bien lui fournir s'il nous le demande gentiment, ou Monsieur le Maire est encore indécis, ce qui est un de ses traits de caractère les plus marquants. Quant au citoyen, lui, il n'aime pas rester dans l'ignorance !

Le Val de Villé, la plus belle des vallées ! Encore, les élus devraient-ils en avoir une vue d'ensemble pour son aménagement et son avenir ! Ce que certains n'ont vraiment pas, en témoigne l'affaire du projet de méthaniseur. Nous n'allons pas revenir ici sur le projet, sa viabilité, son intérêt, il suffit de lire  ce qui se fait déjà chez nos voisins vosgiens.(extraits de "Vosges Matin" et de "L'est Républicain").

Pendant ce temps, en Alsace, et surtout dans le Val de Villé, on joue les "Hans im Schnockeloch" administratifs et politiques. Et nous en rappelons ici quelques péripéties. D'abord administratifs, ils sont de deux ordres : 

- Les compétences : les permis de construire sont instruits et délivrés par la mairie (en l'occurrence celle de Neubois) ! De quoi le président de la comcom Riebel se mêle-t-il ?

- Les aides de la comcom : on aimerait bien voir les délibérations de la comcom ! Si elles ont été adoptées, de quel droit le président revient-il dessus de sa propre initiative ?

Enfin revenons aux incohérences politiques : Le président- conseiller régional EELV se bat bec et ongles pour la fermeture de Fessenheim ! Et le voilà qui s'oppose à une autre forme de création d'énergie ! En voilà un qui veut revenir à l'âge de la bougie !

Nos élus, avec à leur tête la conseillère générale du futur ex-canton, contestent le découpage cantonal et se verraient bien rattachés au Val d'Argent ! Mais ils n'acceptent pas les agriculteurs du Val d'Argent chez nous ! Admirons les belles paroles de madame le Maire de Neubois : "La plupart des agriculteurs concernés proviennent de la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines. Pourquoi devraient-ils venir chez nous ?" Merci madame le maire pour tous ces salariés qui trouvent du travail dans le Val d'Argent et qui à rester chez nous seraient au chômage ! Neubois est-il encore dans l'Union Européenne ? Ou faudra-t-il un visa pour traverser le Comte-Ban et se rendre dans le Val de Villé, ou en sortir ?

Quant à l'aménagement du territoire de la vallée, son incohérence ne peut que nous sidérer ! L'avant-vallée était idéale pour une zone d'activité économique, avec l'axe de la RN 59 enfin réalisé ! Hélas, nos élus ont préféré Maisonsgoutte, tout en empêchant les camions d'y accéder. Mais en dernier recours, on va peut-être installer ce méthaniseur dans la ZAIM ? ou sur la décharge du Hasenrain de Val de Villé, ce qui empêcherait enfin les habitants du lotissement voisin d'en prendre plein le nez des odeurs de ... méthane.

* Dernière minute : une page "Neubois méthane" lance une pétition sur Facebook le 17 janvier ! Et le 18, après une récolte de 4 signatures, nos élus du peuple, et non d'un inconnu de Facebook, s'écrasent ! Quel courage politique !

La pétition (très argumentée) : Le 6 janvier dernier un permis de construire en vue de la réalisation d'une unité de méthanisation a été déposé par un agriculteur du Val d'Argent. Nous vous proposons de vous mobiliser contre ce projet qui n'apportera aucun emploi mais des nuisances et pollutions diverses à coup sur: mavaises odeurs, paysage gâché, transport par camions, risques d'explosion potentiels comme cela a été le cas sur d'autres unités de méthanisation. MOBILISONS-NOUS avant qu'il ne soit trop tard !

Décidément, le canton de Villé est bien défendu au Conseil Général du Bas-Rhin, puisque dans la même réunion du 7 octobre, sur proposition du président Kennel, il est décidé d'attribuer le montant de 20.581,80 € (subvention plafonnée) à la comcom du Val de Villé (délibération n° CP/2013/682 - 2124) pour la reconversion de la friche de l'ancien Super-U ! Sans vouloir revenir sur les polémiques entre la municipalité de Villé et la comcom, rappelons quand même que Super-U s'était engagé à maintenir une unité alimentaire dans ces locaux ! Et que penser de tout cela, si l'on apprend que la Comcom cherche toujours un local pour l'ouverture d'une épicerie solidaire,et envisageait même une installation dans l'ancien Signal-Lux ! Mais il reste les FTV que notre vaillant défricheur Jacques Simon-Bigart est certainement prêt à mettre à disposition gratuitement. Et puis, les histoires de gros sous, ce n'est pas fait pour les pauvres ! Et notre très sociale et dévouée conseillère générale connaît forcément bien le dossier ! Mais pourquoi, une fois de plus, pourquoi a-t-on réalisé ces travaux avant même d'avoir ficelé le budget ?

Nos élus de montagne ont voulu participer au redécoupage territorial et obtenir la garantie d'avoir des élus, car dans beaucoup de circonscriptions électorales, les cantons ruraux étaient rattachés à la ville voisine. Par la loi du nombre, la ruralité n'avait que peu d'élus. Nos élus, au niveau de l'ANEM (Association Nationale  des Elus de Montagne) et au niveau de l'AMV (Association des élus du Massif Vosgien), ont donc été entendus ! Nos maires, nos conseillers généraux, régionaux, nos élus nationaux, tous bords confondus ont exigé de l'Etat le regroupement électoral de leurs zones de montagne, y compris les conseillères générales de la vallée de la Bruche (Alice Morel siège au niveau national !) et du Val de Villé, puisque Frédérique Mozziconacci est membre de l'AMV ! Alors venir contester le redécoupage cantonal, c'est faire preuve de beaucoup d'incohérence, ou alors c'est un beau "cache-misère" des problèmes du Val de Villé ! Et voilà que Notre célèbre Guido Kennel vient crier haut et fort que "Villé est un canton martyr !", en venant imposer son contrat de territoire. C'est tout juste risible. 

C'est effectivement une "misère" octroyée par le prince Guido

(extrait des DNA du 25/10/2013)

Trois beaux projets ? Le premier, la restructuration de la bibliothèque départementale du Conseil Général : 40% pour le conseil général et 60% que la comcom est priée de payer, suite à une convention déjà signée ! En réalité le Conseil Général se débarrasse de son bien et laisse les réparations (appelées très politiquement des restructurations) aux autres ! Qu'est devenue la politique d'aide à la ruralité ?

25% de subventions pour la requalification déjà terminée ? Il se moque de nous notre cher Guido. Villé bénéficie déjà de 20% de taux modulé sur ce dossier ! Il s'agit donc d'une obole de 5% payée par les contribuables ! Et les 32% pour un nouvel "office du tourisme et des services publics de Villé" alors qu'il existe de nombreuses friches pouvant être aménagées ! Alors que la municipalité de Villé ne trouve toujours pas de local convenant pour l'épicerie solidaire !

Enfin, ne nous énervons pas ! Guido Kennel a pris exemple pour le développement du Val de Villé sur les pays africains qu'il a visités et qui devraient peut-être voir leur émergence vers 2020 grâce à son aide. Dans le canton de Villé, on attendra l'an 3000 !

La "bonne affaire" du Val de Villé !

Furax ?

Le Val de Villé, un problème de paysages ? Certains en ont pourtant toujours dit que c'est "la plus belle des vallées" ! Alors à quoi rime cet atelier ? si ce n'est à semer la zizanie entre l'Etat, la Comcom, voire la municipalité de Villé. Pourtant le président de la comcom est issu, à travers son groupe politique EELV avec lequel il siège au Conseil Régional, de la majorité présidentielle, et il a comme vice-président le maire de Villé apparenté UMP. Alors, se prétendre pas informé alors que depuis 1992 "la comcom a la compétence paysage" ! On ne peut que sourire.

Alors, monsieur le président de la comcom du val de Villé nous autorise-t-il à lui conseiller de monter au "kiosque de la belle-vue" d'où effectivement la vue est magnifique et donne sur les anciennes friches industrielles des Filatures et Tissages du Val de Villé ainsi que sur la friche plus récente de la gendarmerie ? Monsieur le Président aurait alors (peut-être) une vue plus réaliste sur le territoire qu'il dirige, dans un domaine comme l'industrie pour lequel la comcom a la compétence depuis bien avant 1992.

* Ci-dessus : extrait des DNA du 13/10/2013.

Informés ?

Mais que signifie donc le mot "informé" dans l'esprit de nos élus ? A Villé, le bulletin intercommunal est distribué avec le bulletin municipal. Cette action très pertinente se ferait-elle sans que nos conseillers distributeurs n'en aient lu le contenu ? Comment expliquer autrement que lors du dernier "jour de la nuit"  organisé à Villé samedi le 12 octobre, les lampadaires publics de la zone artisanale intercommunale du Climont étaient allumés à 11 h du matin ? Fallait-il dépenser le jour l'énergie économisée la nuit ? Enfin, ne soyons pas difficiles à Villé. Même un adjoint n'a pas compris les consignes du maire ! Voir ci-dessous !

Il y a une dizaine d'années que le Conseil Général du Bas-Rhin cherche à se débarrasser des annexes de la bibliothèque départementale, comme celle de Villé. Et maintenant, en temps de crise, on s'y lance... pas à pas, pour ne pas effaroucher l'habitant contribuable local et ne pas faire trop de vagues.

Rappelons l'histoire de cette annexe : il existait autrefois un "bibliobus" qui allait d'école en école dans les zones rurales pour permettre aux élèves de ces régions reculées d'avoir les mêmes avantages que ceux des milieux urbains. Puis le conseil général fait un pas supplémentaire en créant des dépôts décentralisés, notamment à Truchtersheim et Villé, ce qui permettait aussi au public local de consulter les ouvrages sur place. Bien sûr, le SIVOM (ancêtre de la comcom) fut invité à céder gratuitement le terrain de construction !

Il y a un certain temps déjà, il était question pour le conseil général de fermer l'annexe de Villé et donc de renier la politique de donner un peu de culture au monde rural du fond des vallées. On laissait même entendre dans les bureaux strasbourgeois qu'on envisageait de laisser cette bibliothèque entièrement à la charge de la comcom !

Après ces grossières menaces, nous voilà arrivés à un compromis où la comcom prend en charge : la mise à disposition, la maintenance et l'entretien des locaux, les salaires de deux postes. Prochaine étape à craindre : la vente du stock à la comcom ? Kennel aura réussi son coup.

Voici en tous cas le texte exact de la délibération du 24 juin 2013, dont notre conseillère générale aurait pu nous informer (surtout qu'elle l'a votée) ! Cela aurait autant intéressé le contribuable val-de-villois qui va être obligé de vider un peu plus son porte-monnaie qu'un passage éclair du Tour d'Alsace cycliste dans 6 villages le 27 juillet prochain. Quant au président de la comcom, ne va-t-il pas nous faire "avaler cette couleuvre" tout en nous expliquant qu'il s'agit d'un progrès pour la vallée ?

Délibération n° CG/2013/13

Culture et patrimoine - 32 - Convention avec la communauté des communes du Canton de Villé en matière de lecture publique. 

Après en avoir délibéré, le Conseil Général (-) :

 Faire passer la régression pour un progrès ! Nous dirons merci qui ? Kennel l'Africain ? Riebel le président de la comcom ? Mozziconacci la conseillère générale de la vallée du vélo et des navettes du Champ du Feu ? quand on est élu d'un canton dont la moyenne des salaires est parmi les plus basses du Bas-Rhin, on se devrait de faire attention à ce genre de décisions !

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"Ce n'est pas moi, c'est l'autre !" Beau discours jeudi soir du président de la comcom Jean-Marc Riebel (selon la presse, "L'Alsace" du 30/6/2013) ! digne d'une cour de récréation d'élèves de maternelle. On se pose d'ailleurs la question si l'EELV Jean-Marc Riebel parlait en tant que responsable de la communauté des communes du Val de Villé, ou en tant que conseiller régional, ex-futur ou futur-ex co-financeur du contournement de Châtenois, ou en tant que membre de l'association Alsace-Nature. On croyait cette dernière association indépendante de tous partis politiques, tiens donc ! La voilà devenue une succursale de notre chère comcom, incapable de s'exprimer elle-même ! Mais pourquoi ce président, très au courant, n'a-t-il pas informé ses administrés bien avant notre blog? Connaît-il ce dicton : "Qui ne dit mot, consent !" En tous cas, pas un mot pour tous ces usagers de la vallée qui vont continuer à s'engluer dans "le bouchon de Châtenois" et à risquer leur vie sur la route de leur travail ! Merci monsieur le VRP multi-cartes, nous ne vous oublierons pas !

"La guerre des villages" dans le Val de Villé  remonterait aux années 1760. En effet à cette époque, la paroisse de Villé comprenait outre Villé, les villages de Bassemberg, Lalaye-Charbes, Urbeis, Albé, Triembach-au-Val, et tous ces villages se virent obligés de participer à la construction d'une nouvelle église, l'ancienne étant devenue trop petite. Mais peu après la fin de cette construction, en 1765, ces villages furent érigés en paroisses et se devaient d'avoir leur propre église. Mais, on ne vit guère de villois se soucier de venir les aider ! D'où une certaine rancune qui resurgit parfois encore de nos jours.

Au dernier conseil municipal, l'un des bienheureux élus n'a rien fait pour éteindre ce vieil incendie qui couve encore. Et particulièrement maladroite a été son intervention, rapportée dans la presse. Car 28, 35 ou 37 délégués à la comcom, dont 3 ou 4 de Villé, ça change quoi au fait que cette assemblée autodésignée par les maires et élus du canton n'a rien de démocratique?

Il aurait mieux valu proposer pour la comcom l'élection des représentants au suffrage universel, et de préférence au scrutin à la proportionnelle par liste, tout comme l'élection de son président. Surtout que les compétences de cette institution ne font qu'augmenter. Mais, pour l'instant, nos élus n'ont à l'esprit que la meilleure façon, dans le cadre de la phase 3 de la décentralisation, d'assurer leur réélection.