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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
22 mai 2013

rapprochement des sections SPD de Elzach et de Winden

Logo_SPD_BW_2012Les sections locales SPD de Elzach et de Winden, deux communes voisines, ont décidé de se rapprocher pour mieux travailler ensemble. Les responsables, Michael Meier de Elzach et Pia Lach de Winden viennent de tenir une conférence de presse à ce sujet. Les deux points qu'ils comptent traiter en commun et en priorité : la formation des militants, l'emploi des jeunes. Les deux sections estiment que leur effectif est en chute libre (21 membres pour Elzach, 11 pour Winden) et ils espèrent que leur regroupement va leur donner un nouvel élan. Les deux sections tiendront une réunion publique commune le 12 juin prochain.

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18 mai 2013

Ils étaient à Strasbourg, mais pas chez Guido !

220px_AgoraSelon un discours à Abidjan fin février 2013, notre président du Conseil Général 67, serait allé à Abidjan en retour d'une visite du gouverneur Mambé Beugré d'Abidjan en Alsace, invité par le premier bas-rhinois ! Nous savons maintenant que ce dernier s'était rendu au Conseil Général du Haut-Rhin à Colmar. Nous apprenons en plus que ce dirigeant ivoirien s'était aussi rendu à Strasbourg ! Oui, mais pas au Conseil Général ! Mambé Beugré a été reçu au Conseil Régional par Philippe Richert et Jean-Louis Hoerlé, président de la CCI (Chambre du Commerce et de l'Industrie), pour parler d'entreprises intéressées par leur implantation en Côte d'Ivoire, notamment d'une société de machines agricoles ! Puis le Gouverneur d'Abidjan s'est rendu à la mairie de Strasbourg pour remercier la municipalité d'avoir offert en novembre 2011 à Abidjan cinq autobus Renault312, obtenus par le président de l'assemblée nationale ivoirienne Guillaume Soro, lui aussi venu à Strasbourg en son temps, au Parlement Européen et à la Mairie de Strasbourg ! Et c'est l'adjointe Nawel Rafik-Elmrini, chargée des affaires internationales, qui a reçu la délégation du gouverneur, et toujours rien de la part du président du Conseil Général ! Désolé, cher Guido, nous continuons à affirmer que votre voyage de février 2013 en Afrique est dû à une erreur et était usurpé !

10 mai 2013

32ème anniversaire de la victoire de François Mitterrand

memoire_32eme_anniversaire_936Nous n'oublions pas que le vendredi 10 mai 2013 célèbrera le 32ème anniversaire de la victoire de François Mitterrand, premier socialiste à accéder à la Présidence de la Vème République.

Le 10 mai 1981, François Mitterrand écrivait un nouveau chapitre de l'Histoire du socialisme français, marquant notre pays de nombreuses avancées démocratiques et sociétales.

Sur les 14 ans de mandat, François Mitterrand présida 10 ans avec un gouvernement socialiste. Pierre Mauroy et Laurent Fabius furent Premier Ministre sous le premier septennat. Lors du second, ce furent Michel Rocard, Edith Cresson et le regretté Pierre Bérégovoy qui se succédèrent.

Abolition de la peine de mort, réduction de la durée légale de la semaine de travail à 39 heures, institution de la cinquième semaine de congés payés, dépénalisation de l'homosexualité, autorisation des radios libres, la mise en œuvre des lois « Defferre » en matière de décentralisation etc... Toutes les grandes réformes entreprises par François Mitterrand sont profondément restées gravées dans l'âme de notre Pays.

23 avril 2013

Guido se contredit

non"Je tiens à préciser que j'ai personnellement et entièrement pris en charge le coût de ce voyage. Aucun euro de la collectivité n'a été engagé dans ce déplacement privé !" Voilà ce que dit sur les réseaux sociaux le président du Conseil Général du Bas-Rhin à propos de son très festif voyage en Côte d'Ivoire ! Nous on ne veut que le croire, mais dans les "Chuchotements" des DN du Lundi du 22 avril, il ne dit pas la même chose et prétend que Etienne Wolf et lui-même ont été invités au titre de leur mandat et que seules "les épouses ont réglé elles-mêmes les frais du déplacement". Et si la facture était payée par l'un des sponsors, cheveux blancs et grosse moustache, présent sur les photos de notre post du 13/3/2013 ? Alors, quelle est la vérité ? Vous la lirez dans la suite de ce feuilleton, à paraître bientôt !

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16 avril 2013

"Alsafrique" : pas au courant !

buttnerEn politique, quand le camp d'en face commet une peccadille, on crie au scandale. Quand la faute se passe dans le même camp, en l'occurrence l'UMP, on l'ignore et on n'est pas courant ! Et dans l'affaire de la visite de Kennel à Abidjan, Buttner, déjà coupable de "referendum saboté", préfère se la jouer profil bas ! Et le seul qui ne se prononce pas, c'est celui qui a bénéficié de vacances. Lui, il savoure. Pourtant la solution aurait pu venir du parti frère abidjanais, le RDR du président ivoirien Ouattara, où on ne s'encombre pas d'un referendum, on préfère gouverner par ordonnances! ("Dernières Nouvelles d'Alsace" - les Chuchotements - du lundi, 15 avril 2013)

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9 avril 2013

Consolation pour un referendum perdu !

Un referendum perdu ? Pas si grave que ça ! Notre ami Guido du Bas-Rhin pourra continuer à représenter son ami Charlie du Haut-Rhin en Côte d'Ivoire ! sous l'oeil bienveillant de l'ex-empereur Philippe ! Et ce qui est important surtout, c'est qu'ils gardent un langage commun : "Le fautif, c'est pas moi, c'est l'autre !"

kennel

5 avril 2013

Outrage à la République (vu par un journaliste africain)

ALeqM5gjraI2UnE9KnVJcWElzeb49NYD8QLa France, pays dans lequel séjourne en ce moment notre président, est secouée depuis quelques jours, par un « immense scandale ». Et pour cause, Jérôme Cahuzac, ministre du Budget, qui a démissionné le 19 mars après sa mise en examen pour « blanchiment de fraude fiscale », a avoué, le mardi 2 avril devant un juge d’instruction, après plusieurs mois de déni, qu’il possède un compte non déclaré logé dans une banque en Suisse. Les aveux de l’ex-ministre ont provoqué une véritable onde de choc dans toute la France politique. Le président François Hollande qui tentait de se donner l’image de chef d’une « République exemplaire », a dû accuser, mercredi 3 mars, une heure de retard sur son voyage officiel de 48 heures au Maroc. C’est qu’il enregistrait, dans les locaux de l’Elysée, une déclaration d’urgence, pour donner sa position sur l’affaire Cahuzac. Et le chef de l’Etat français qui a dénoncé « la faute intolérable » de son ex-ministre en parlant d’ « outrage à la République », a annoncé trois mesures qui devraient, selon lui, permettre de donner un peu de crédibilité aux hommes politiques : « (…) D’abord, renforcer l’indépendance de la justice. C’est le sens de la réforme du Conseil Supérieur de la Magistrature. Cette réforme sera votée au parlement dès cet été. Elle donnera aux magistrats, les moyens d’agir en toute liberté, en toute indépendance, contre tous les pouvoirs. Ensuite, lutter, de manière impitoyable, contre les conflits entre les intérêts publics et les intérêts privés et assurer la publication et le contrôle sur les patrimoines des ministres et de tous les parlementaires (…) Enfin, les élus condamnés pénalement pour fraude fiscale ou pour corruption seront interdits de tout mandat public. »
Mais les mesures annoncées par François Hollande n’ont trouvé aucune grâce aux yeux de son opposition qui a déjà oublié la mise en examen de Nicolas Sarkozy, le « frère » du président Ouattara, pour « abus de faiblesse ». Jean François Copé, le chef de l’UMP, a demandé, ni plus ni moins, la démission du gouvernement et du Premier ministre. Non sans s’interroger si l’exécutif français pouvait ignorer les mensonges de l’ancien ministre du budget. Soit le président Hollande « ne savait rien et c'est quand même extrêmement grave parce que cela signifie que luimême fait preuve d'une certaine candeur», soit « il savait et cela veut dire qu'il a menti aux Français». A-t-il ajouté.
L’ex-ministre du Budget, submergé par le remords, avait fait aussi sur son blog, ces pathétiques aveux : « A Monsieur le Président de la République, au Premier Ministre, à mes anciens collègues du gouvernement, je demande pardon du dommage que je leur ai causé. A mes collègues parlementaires, à mes électeurs, aux Françaises et aux Français, j’exprime mes sincères et plus profonds regrets. Je pense aussi à mes collaborateurs, à mes amis et à ma famille que j’ai tant déçus. J’ai mené une lutte intérieure taraudante pour tenter de résoudre le conflit entre le devoir de vérité auquel j’ai manqué et le souci de remplir les missions qui m’ont été confiées et notamment la dernière que je n’ai pu mener à bien. J’ai été pris dans une spirale du mensonge et m’y suis fourvoyé. Je suis dévasté par le remords. Penser que je pourrais éviter d’affronter un passé que je voulais considérer comme révolu était une faute inqualifiable. J’affronterai désormais cette réalité en toute transparence. »
Mis en examen pour « blanchiment de fraude fiscale et pour blanchiment de fonds », Jérôme Cahuzac risque jusqu’à cinq ans de prison et une amende de 375.000 à 750.000 euros.
Mais vu d’ici, ce qui arrive à cet homme dont la carrière politique s’effondre ainsi pour avoir détenu un compte non déclaré en Suisse et sur lequel se trouvent six cent mille euros, environ 400 millions de FCFA, ne peut que soulever cette simple question : « C’est tout » ? C’est pour si peu qu’il y a tant d’histoires en France ? Alors que posséder un compte dans un paradis fiscal et sur lequel roupille l’argent généralement mal acquis est un sport national pour les dirigeants politiques et autres ministres de notre pays ? Combien sont-ils, les membres du gouvernement actuel de Côte d’Ivoire qui ne possèdent pas un compte non déclaré aux services d’impôt, hors de la Côte d’Ivoire ? Pas nombreux, pour ne pas dire aucun ! Mais qui cela émeut dans ce pays ? Le chef de l’Etat ivoirien peut-il lutter contre cette pratique ? Cela supposerait que lui-même n’est pas concerné. Ce qui n’est pas évident. Or l’exemple doit venir de la tête. François Hollande l’a dit : c’est « intolérable de posséder à l’étranger, un compte non déclaré aux services compétents de l’Etat». Ce qui suppose qu’il n’en possède pas lui-même. Evidemment ! Mais cette affaire française a le mérite de permettre aux populations africaines, celles qui continuent de survivre aux détournements de fonds publics, de conflits d’intérêts et autres politiques sans vision de nos dirigeants, de découvrir le fossé qui sépare leurs pays, des pays de démocratie et de droit. Dans lesquels un ministre peut s’exprimer sans citer toutes les quarante-cinq secondes,
le nom de « son excellence monsieur le président de la République ».
Bref, le scandale politique, comme l’a écrit Patrick Appel-Muller du journal «L’Humanité », est énorme. « L’homme qui tenait entre ses mains le budget de la France, qui pilotait l'administration fiscale et traquait les fraudeurs était lui-même un malfaiteur, auteur depuis plus de vingt ans d'évasions de capitaux et de dissimulation de ressources».
Ce passage ne vous rappelle pas l’histoire des biens immobiliers, comptes bancaires dans des paradis fiscaux et autres conflits d’intérêts d’un ministre de Ouattara, révélée par un certain « Eléphant Déchaîné » ?
C’est vrai que cela n’a entraîné d'autre conséquence pour ce ministre qu’une promotion dans le gouvernement… sans préjudice de la moindre enquête judiciaire.
A.T. - Côte d'Ivoire - "L'éléphant d'échaîné".

31 mars 2013

Toujours, dans le "Top 5"

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  • Dans le "top 5" des buzz de Canalblog : Les bonnes recettes pour un referendum
  • Dans le "top 5" des messages politiques du mois : Quand Guido l'Africain fait la promotion du vin de Bordeaux !
31 mars 2013

A propos du referendum

debat

(DNA du 29/3/2013)

24 mars 2013

Michèle Alliot-Marie dénonce les manipulations de Sarkozy

Mis en examen, ses amis le lâchent !

4449787_nicolas_sarkozy_etait_toujours_620x345_1En 2002, après une longue traversée du désert, Nicolas Sarkozy revient sous les projecteurs. Pendant presque toute la durée du deuxième mandat de Jacques Chirac, il est l'un des ministres les plus médiatiques, à l'Intérieur surtout qu'il a dirigé pendant presque 4 ans, mais aussi à l'Economie où il fit un bref passage en 2004. Avec sa femme Cécilia, il met habilement en scène une image d'homme d'état énergique, en multipliant les déplacements accompagnés d'une horde de journalistes et en se rendant très régulièrement dans les émissions de télévision.

 A l'époque, l'agitation de ce ministre qui prépare ostensiblement la présidentielle de 2007 agace plusieurs de ses collègues. Dans son livre, "Une femme au coeur du pouvoir d'Etat", qui vient de paraître, Michèle Alliot-Marie accuse son ancien collègue du gouvernement d'avoir un peu exagéré l'ampleur de son attrait médiatique en ayant recours à des stratagèmes. L'ancienne ministre de la défense révèle en effet que Nicolas Sarkozy convoquait des caméras bidons pour accentuer l'effet de meute de journalistes à ses trousses, lors de ses déplacements officiels.

Des caméras placées par le cabinet de Nicolas Sarkozy

"Avant son élection en 2007, je voyais toujours Nicolas Sarkozy arriver entouré d'une nuée de caméras. Certaines portaient les sigles de TF1, France 2, etc., mais d'autres étaient sans marque, écrit Michèle Alliot-Marie. Ces caméras, placées par le cabinet même de Nicolas Sarkozy, étaient destinées à véhiculer une image de futur président qui monopolise l'intérêt des médias", poursuit celle qui a succédé à Nicolas Sarkozy au ministère de l'Intérieur en 2007.Ce n'est pas la première fois que le service de communication de l'ancien président de la République est accusé de "manipulation". On se souvient que tout au long de son mandat, Nicolas Sarkozy a souvent été soupçonné d'avoir recours à des figurants lors de ses déplacements en Province. L'idée était alors d'avoir de nombreux anonymes autour du Président de la République afin d'exagérer l'importance de ces discours pour les caméras de télévision.

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