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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
1 décembre 2012

Histoire de comptage

ump

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28 novembre 2012

La fin de l'UMP, pas la fin du monde

ump

24 novembre 2012

Alliot-Marie et OSS-117 (suite)

mam11Qui étaient les pilotes de l'aviation "ivoirienne" qui a bombardé le camp français de Bouaké en novembre 2004, faisant 9 morts et 38 blessés parmi les militaires ? Quelques jours après cet acte de guerre, 10 biélorusses sont arrêtés au Togo et remis à l'armée française : deux d'entre eux reconnaissaient avoir piloté les Sukhoï russes lors du bombardement. Mais sur "ordre venu de très haut", ces pilotes n'ont pas été interrogés et libérés (ou plutôt, remis aux autorités russes). Quel était le but de l'opération ? Justifier l'aide française aux rebelles du nord ! au prix du sang français ! Et ces "hauts placés" n'ont pas hésité à participer aux obsèques nationales des 9 soldats tués ! Quel cynisme! Voir la photo ci-contre avec Jacques Chirac, président de la République, Jean-Pierre Raffarin, premier ministre, et Mme Michèle Alliot-Marie, ministre des Armées, et de nombreux ministres ! Qui a donné l'ordre ? Qui était au courant ?

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Passeports des pilotes biélorusses "dits ivoiriens" des avions Sukhoï ayant bombardé le camp français.

23 novembre 2012

Alliot-Marie : n'est pas OSS-117 qui veut !

alliot_marie_MAM_fondation_subventionLes faits remontent à 2004, mais la procédure ne fait que commencer. Des familles de militaires victimes du bombardement du camp français de Bouaké, en Côte d'Ivoire, ont déposé plainte mercredi 21 novembre contre Michèle Alliot-Marie pour complicité d'assassinats.

Déposée auprès de la Cour de justice de la République, elle vise Michèle Alliot-Marie car celle-ci était ministre de la Défense au moment du bombardement, le 6 novembre 2004, par deux avions des forces loyalistes ivoiriennes, d'un camp de l'armée française à Bouaké. Neuf militaires français et un civil américain avaient péri, tandis que 38 soldats avaient été blessés.

Les familles des soldats accusent Michèle Alliot-Marie d'entrave à la justice. Leur avocat, Jean Balan, a accusé à plusieurs reprises l'ancienne ministre de la Défense d'avoir, "dès le début de l'affaire", cherché à "saboter l'action de la justice afin d'éviter, à tout prix, que la vérité ne soit connue".

Cette nouvelle plainte, révélée par Mediapart, intervient en parallèle de l'information judiciaire pour assassinat et tentative d'assassinats ouverte en 2005, après une plainte contre X des famille, dans laquelle l'ancienne ministre avait été entendue comme témoin en mai 2010.

Le 6 novembre 2004, deux avions Sukhoï-25 des forces loyalistes ivoiriennes bombardent un camp de la force Licorne à Bouaké (centre de la Côte d'Ivoire), tuant neuf militaires français et un civil américain, et blessant 38 soldats.

Immédiatement après, l'armée française avait détruit l'aviation ivoirienne, provoquant une vague de manifestations antifrançaises à Abidjan. Deux ans plus tard, une polémique avait éclaté après que l'on a découvert que huit Biélorusses, parmi lesquels deux pilotes, avaient été arrêtés par les autorités togolaises quelques jours après le bombardement, puis mis à disposition des services français avant d'être libérés.

En outre, dès le lendemain du bombardement, quinze personnes dont deux Biélorusses avaient été arrêtées par les forces françaises avant d'être relâchées et remises aux forces russes. Des témoins avaient assuré que certains étaient pilotes ou mécaniciens d'avions.

imagesPressée de s'expliquer par la justice, l'ex-ministre, entendue comme témoin, avait affirmé le 7 mai 2010 qu'il n'y avait alors "pas de base juridique puisque pas de mandat d'arrêt international" pour interroger les huit Biélorusses arrêtés par le Togo.

Michèle Alliot-Marie avait par ailleurs mis en avant "l'impossibilité juridique" pour justifier d'avoir remis aux autorités russes les 15 personnes arrêtées à l'aéroport d'Abidjan. "Il pouvait être intéressant de connaître leur statut et leurs activités", a-t-elle concédé, mais "aucune base juridique ne le permettait".

De son côté, le général Poncet, qui commandait la force Licorne en Côte d'Ivoire, avait fait part à la justice de son incompréhension devant l'ordre qu'il avait reçu de les libérer sans les auditionner. Interrogée sur sa connaissance de télégrammes diplomatiques décrivant précisément l'action des forces ivoiriennes les jours précédant l'attaque contre le camp français, la ministre a répondu avoir été informée avec retard.

Ce nouveau rebondissement confirme la thèse évoquée plusieurs fois par des acteurs de cette affaire, thèse selon laquelle le président Gbagbo et son armée n'avaient aucune responsabilité dans la mort des soldats français, et que leur mort avait été commanditée directement par le gouvernement d'alors, afin de justifier l'implication de la France (aux cotés de la rébellion) dans le conflit ivoirien.

23 octobre 2012

Démantèlement du service public

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11 octobre 2012

François Hollande et la françafrique

Avant ses déplacements à Dakar au Sénégal puis à Kinshasa en RDC pour le Sommet de la francophonie, le président François Hollande a accordé une interview exclusive à RFI, France 24 et TV5 Monde. Le chef de l’Etat s’est déclaré décidé à établir un nouveau rapport entre la France et le continent. Il s’est également exprimé sur les sujets brûlants de la situation au Mali et de la crise en Syrie. Le chef de l’Etat répond aux questions de Jean-Karim Fall (RFI), Roselyne Febvre (France 24) et David Delos (TV5 Monde). Ecoutez l’intégralité de l’interview.

 

2 septembre 2012

Conférencier à 200 000 € les 45 minutes

L'ancien président de la République devrait rejoindre le rang des conférenciers anciens chefs d'État. Un curriculum qui doit lui permettre de percevoir plus de 200 000 euros par conférence. Un tarif qui suscite la polémique.

201209011521_w350Les rumeurs vont bon train quant au nouveau job de Nicolas Sarkozy. Selon Claude Guéant, l'ancien président français a bien accepté le principe de faire des conférences, «comme tous les anciens chefs d'État et de gouvernement», a-t-il réagi hier chez nos confrères d'Europe1. «Je crois même qu'il en a déjà fait une», a-t-il rajouté.

Une reconversion qui n'est pas dénuée de prestige pour l'ancien chef de l'État, mais qui déclenche une nouvelle polémique, cette fois, sur sa rémunération. En effet, selon Le Canard Enchaîné, Nicolas Sarkozy aurait accepté de donner une conférence cet été pour le compte de la banque américaine Morgan Stanley, à un tarif plutôt confortable : 250 000 euros les 45 minutes, «photos comprises», croit savoir l'hebdomadaire satyrique.

Il est vrai que les tarifs des conférenciers peuvent parfois apparaître élevés : comptez de 2000 à 7 500 euros pour un spécialiste politique, un écrivain ou un économiste, et jusqu'à 15 000 euros pour une personnalité connue des médias. Mais les conférenciers stars flirtent régulièrement avec les cinq chiffres. Tony Blair, par exemple, facture 200 000 euros par conférence. Le coureur cycliste Lance Amstrong exige le même montant, au service il est vrai, de sa fondation de lutte contre le cancer. Fraîchement sorti de l'Élysée, Nicolas Sarkozy peut donc imposer le prix fort à ses nouveaux clients. Car, contrairement à d'autres métiers, le temps ne bonifie pas les salaires des conférenciers. L'ancien chancelier allemand Gherard Schröder ne facture ainsi plus «que» 50000 euros pour donner une conférence internationale.

Mais pour Claude Guéant, la vérité sur les conférences de Nicolas Sarkozy est ailleurs : «Ce qui est en cause, c'est que son propos intéresse. Les propos qu'il peut tenir à cette occasion, je pense, seront de nature à marquer aussi la réflexion politique pour la France et pour notre temps».

Il n'empêche, Nicolas Sarkozy devrait rapidement arrondir ses fins de mois : non pas par ses émoluments prévus par la République (il perçoit 6 000 euros comme ancien chef de l'État et 12 000 euros pour siéger au Conseil constitutionnel), mais bien par les sollicitations d'interventions dans des conférences internationales et des postes d'administrateur dans des grandes entreprises. Pour preuve, Tony Blair et José Maria Aznar, qui ont tous deux moins de soixante ans, ont déjà amassé un patrimoine supérieur au million d'euros. (La Dépêche.fr)

23 août 2012

L'Italie, championne d'Europe de la fraude fiscale

Une étude, dévoilée par une association de contribuables italiens, propose un classement des champions européens de la fraude fiscale.

fraude_italie_jpg_155255Depuis que la crise a redoublé de violence, la lutte contre l’évasion et la fraude fiscale est devenue une priorité des dirigeants européens, qui engagent des moyens de plus en plus musclés pour récupérer les fruits perdus dans l'économie souterraine. 

Une priorité, et surtout un impératif comptable, puisque les gouvernements voient (à juste titre) dans la lutte contre la fraude le 'meilleur' moyen de soulager leurs finances publiques sans procéder à des coupes budgétaires trop douloureuses et des plans de rigueur intenables...

Dans le même temps, en Europe, la multiplication de rapports et d’études statistiques sur le sujet confirment que la fraude fiscale est bien au cœur de toutes les préoccupations. Parmi celles-ci, une enquête, réalisée par le KRLS Network of Business Ethics (Réseau pour l’ethique dans les affaires) et dévoilée sur le site www.contribuenti.it, une association de contribuables italiens, dévoile un classement des pays européens ayant le plus gros pourcentage d’économie souterraine par rapport à leur Produit intérieur brut (PIB).

Selon cette enquête,en 2012, c’est l’Italie qui obtient la palme du pays le plus frauduleux d’Europe, avec une économie souterraine qui représente 21 % du PIB transalpin, soit un trou dans les finances publiques équivalent à environ 340 milliards d’euros.

Juste derrière, la Grèce, au bord du gouffre financier depuis de nombreux mois (et où les contrôles fiscaux prennent parfois des tournures inquiétantes) avec 20,8 %, la Roumanie (19.1%), la Bulgarie (18,7%), la Slovaquie (17,2%), et Chypre (17,1%.).

Loin de ce top 6, l’Allemagne et la France s’en sortent bien mieux, avec un pourcentage presque deux fois inférieur à celui des italiens. 

Source: Yahoo Finanzas

25 juin 2012

Présidentielles - législatives : épilogue

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18 juin 2012

L'Alsace à droite, les raisons ?

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Comme pour les Régionales, les Cantonales et toutes les autres élections : l'Alsace se distingue en restant droite et conservatrice. Les raisons ? Elles sont certes historiques, dûes à la Seconde Guerre Mondiale ("les anciens de Tambow", mais aussi l'histoire particulière, l'apogée du centrisme clérical, lui ont porté des coups fatals. Mais l'Alsace à droite est loin d'être une fatalité ! Cinquante ans plus tard, ces effets auraient dû s'estomper. Alors où sont les raisons de l'absence de la gauche ? J'en vois plusieurs : la faiblesse de la présence militante et des structures rurales de celle-ci. Des secteurs entiers n'ont même pas de section PS (exemple : la 5ème circonscription 67 où des cantons entiers comme Benfeld ou Barr, n'ont même pas de section. Et les fédérations, au lieu de s'impliquer dans la conquête de ces territoires, s'obstinent à maintenir l'unique influence urbaine, terre de toutes les baronnies ! Une deuxième est que les partis de gauche dominants (PS, Verts) ne s'adressent plus à leur socle naturel, le prolétariat. Et c'est aussi, cette absence qui, en grande partie, provoque la montée de l'extrême-droite dans nos campagnes. Il est temps de réagir, et autrement qu'avec des accords électoraux qui ne sont qu'une illusion mathématique !

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