Sahara : Joe Biden dérape sur Twitter
Le 10 décembre dernier, les États-Unis du Président Donald Trump ont reconnu le Sahara Occidental comme territoire marocain. Mais, son successeur Joe Biden, a posté sur twitter une carte non conforme de présentation du Maroc, avant de la supprimer. Dans ce tweet, le royaume chérifien est cité parmi les pays qui ont reçu des doses de vaccin anti-Covid Janssen développé par le laboratoire Johnson & Johnson.
Le Président américain Joe Biden vient de déclencher une nouvelle polémique, après avoir publié un tweet pour se féliciter du don de plus de 110 millions de doses de vaccin anti-Covid que les États-Unis ont envoyé dans 60 pays à travers le monde. Le Maroc, qui fait partie des pays bénéficiaires en a reçu 300 000. Seule fausse note dans le tweet publié par Joe Biden, une carte du Maroc en bleu clair sans le Sahara Occidental. Sur les réseaux sociaux, la publication a fait l’objet de trolls.
« Dès le premier jour, nous sommes convaincus que nous devons attaquer ce virus (Covid-19) à l’échelle mondiale. Et à ce jour, les Etats-Unis ont expédié plus de 110 millions de doses de vaccin dans plus de 60 pays et bien d’autres », a déclaré Biden montrant la carte des pays de l’Afrique du Nord, où le Sahara Occidental apparaît distinct et séparé du Maroc, loin de la carte donnée par l’ancien ambassadeur américain à Rabat.
Dans une dépêche, l’agence de presse algérienne APS note que l’administration Joe Biden n’a toujours pas donné sa position sur la reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental acquise sous la gouvernance de son prédécesseur Donald Trump. Or, les États-Unis ont déclaré, à plusieurs reprises, qu’ils ne remettraient pas en cause la marocanité ce territoire de 266 000 km² revendiqué à la fois par le Maroc et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario en 1976. Mieux, ils ont adopté la nouvelle carte du royaume intégrant le Sahara.
Une première à l’île Maurice
La population se soulève contre le gouvernement
Pour une première dans l’histoire de l’Île Maurice, une manifestation d’envergure a été notée, contre le gouvernement, suite à la marée noire.
Pour protester contre la gestion de la marée noire qui a ravagé la côte de l’île, en début de mois, des milliers de Mauriciens se sont rassemblés, samedi 29 août 2020, à Port-Louis. En effet, entre 50 000 et 75 000 personnes, selon les estimations des organisateurs et de la presse locale, ont pris d’assaut, en fin de matinée, la place de la cathédrale, en plein cœur de la capitale.
Parmi les manifestants qui étaient issus de toutes les composantes sociales, les femmes et les jeunes figuraient en très bonne place. Et ils étaient majoritairement vêtus de blanc pour protester contre les dangereuses conséquences écologiques et économiques causées par la fuite de fioul.
Selon les estimations, environ 1 000 tonnes de pétrole se sont déversées dans un sanctuaire pour animaux sauvages rares, après que le navire japonais MV Wakashio a heurté un récif de corail, le 25 juillet dernier. Ce qui n’était pas sans graves conséquences selon les populations.
« Cette manifestation est l’occasion d’envoyer un message à Pravind Jugnauth (Premier ministre) pour lui dire qu’il a fauté dans la façon de gérer le naufrage du Wakashio », a déclaré, à l’AFP, Jocelyne Leung, 35 ans, une employée de bureau.
Vêtus de Tee-shirts sur lesquels on pouvait lire « J’aime mon pays. J’ai honte de mon gouvernement », beaucoup de manifestants sont allés plus loin en demandant la démission du gouvernement, purement et simplement. '(selon "Afrik.com")
L'astéroïde Bennu
Une chance infime de frapper la Terre d'ici 2300, selon la Nasa
L'astéroïde Bennu passera très près de la Terre en 2135, à seulement la moitié de la distance séparant notre planète de la Lune, a déclaré la Nasa mercredi, en révélant de nouvelles données selon lesquelles les chances d'un impact ultérieur, d'ici 2300, restent infimes.
Bennu, découvert en 1999 et mesurant 500 mètres de diamètre, est l'un des deux astéroïdes connus de notre système solaire posant le plus de risque pour la Terre, selon l'Agence spatiale américaine. La sonde Osiris-Rex de la Nasa a passé deux ans en orbite autour de Bennu, qu'elle a quitté en mai dernier pour en rapporter des échantillons récoltés lors d'un contact de quelques secondes avec le sol, et qui arriveront sur Terre en 2023.
La mission a permis d'étudier de très près l'astéroïde, et de considérablement améliorer les prédictions sur sa trajectoire future.
D'ici 2300, les chances d'une collision avec la Terre ne sont que de 0,057%, ont conclu les scientifiques.
"Dit autrement, cela veut dire qu'il y a 99,94% de chances que Bennu ne soit PAS sur une trajectoire d'impact", a souligné Davide Farnocchia, scientifique aux Near Earth Object Studies de la Nasa, lors d'une conférence de presse. "Donc il n'y a pas de raison de trop s'inquiéter."
Pourquoi n'est-on pas sûr à 100%?
En septembre 2135, Bennu passera très près de la Terre. Cela lui donnera la possibilité de traverser ce qu'on appelle un "trou de serrure gravitationnel": une zone qui altèrerait légèrement la trajectoire de l'astéroïde, à cause de l'influence gravitationnelle de notre planète, le mettant ainsi sur une trajectoire de collision future.
Avant la mission Osiris-Rex, 26 "trous de serrure" grands d'un kilomètre ou plus étaient possiblement sur le chemin de Bennu en 2135.
Grâce aux analyses permises par la sonde Osiris-Rex, les scientifiques ont pu en exclure 24. Restent les deux derniers.
La date la plus probable d'impact serait alors en 2182, selon eux.
S'il arrivait, l'événement serait catastrophique. "Généralement, la taille d'un cratère sera de 10 à 20 fois la taille de l'objet", a expliqué Lindley Johnson, du Planetary Defense Coordination Office de la Nasa. Soit pour Bennu, un cratère d'entre 5 et 10 km de diamètre.
"Mais la zone de destruction sera bien plus large que cela, jusqu'à 100 fois la taille du cratère", a-t-il dit.
Il a précisé que les chercheurs avaient connaissance d'environ 79% des astéroïdes de la taille de Bennu et proches de la Terre.
Et Davide Farnocchia de rappeler: "Le risque posé par Bennu est en vérité plus petit que le risque posé par les objets de taille similaire que nous n'avons pas encore découverts".(selon Tahiti-infos)
Vosges : naissance de deux lynx boréal
Une espèce menacée
Deux chatons lynx boréal, une espèce menacée, sont nés au printemps dans le massif des Vosges du nord, une première depuis la disparition du félin de la région au XVIIe siècle, a annoncé vendredi l’Office français de la biodiversité (OFB).
La mère, Lycka, une femelle âgée de 10 ans, avait été relâchée en mars 2020 dans le massif frontalier du Palatinat en Allemagne dans le cadre d’un programme européen de réintroduction, a précisé dans un communiqué l’OFB, qui suit les mouvements de l’animal grâce à un collier GPS.
Née en Suisse, Lycka a vécu dans le canton de Neuchâtel avant d’être transférée le 20 mars 2020 dans la forêt du Palatinat. Elle est arrivée fin mars 2020 sur le territoire français, selon les relevés des équipes d’observation française et allemande.
“Une nouvelle porteuse d’espoir”
“C’est la coopération internationale en faveur de la biodiversité qui porte ses fruits”, a salué l’OFB, qui souligne que la naissance de cette première portée depuis le retour du lynx dans les Vosges représente “une nouvelle porteuse d’espoir pour l’espèce”, même si son statut de conservation demeure “très précaire”.
Reconnaissable à son pelage beige et à ses grandes oreilles pointues, le lynx boréal est le seul grand félin sauvage présent en France, et est classé comme espèce en danger sur la “liste rouge” nationale publiée par l’Union mondiale pour la nature.
Les deux tiers de la population de lynx en France, qui s’élève à 150 individus environ, sont situés dans le massif du Jura. L’animal est également présent dans l’est, dans les Alpes et, de manière sporadique, dans le massif des Vosges. Le lynx avait disparu du pays au début du XXe siècle, avant d’être réintroduit dans l’est de la France dans les années 80 et 90. (selon Le Quotidien Luxembourgeois)
Lutte contre le changement climatique
L'Australie rejette les objectifs
Le Premier ministre conservateur australien a rejeté mardi les appels à fixer des objectifs plus ambitieux en matière de lutte contre le changement climatique, au lendemain d'un rapport alarmant de l'ONU, estimant suffisante la politique menée par son pays.
Quelques heures après la publication du rapport des experts climat de l'ONU (Giec), qui mettent en garde contre un réchauffement pire et plus rapide que prévu, le Premier ministre Scott Morrison a averti qu'il ne souhaitait pas fixer d'objectifs en matière de neutralité carbone.
"L'Australie fait sa part", a estimé M. Morrison. "En l'absence de projets, je ne signerai pas un chèque en blanc au nom des Australiens afin d'atteindre ces objectifs", a-t-il mis en garde.
L'immense île-continent est un des plus importants importateurs au monde de charbon et de gaz naturel.
Les récents incendies, la sécheresse et les cyclones d'une rare intensité qui ont frappé le pays sont, selon des scientifiques, aggravés par le changement climatique.
L'Australie, l'un des plus grands exportateurs de combustibles fossiles au monde, est en première ligne de la crise climatique mondiale.
Les récents incendies, la sécheresse et les cyclones d'une rare intensité qui ont frappé le pays sont, selon des scientifiques, aggravés par le changement climatique.
A quelques mois d'un sommet international sur le climat, M. Morrison a rejeté les appels - y compris de la part d'alliés comme les États-Unis - à adopter un objectif officiel de réduction ou de compensation des émissions de carbone.
L'Australie a laissé entendre qu'elle atteindrait des émissions de carbone nulles "dès que possible", et de préférence d'ici 2050, mais n'a pris aucun engagement en ce sens.
Le chef du gouvernement semble vouloir détourner l'attention vers les pays en développement et les nouvelles technologies, qui, à ses yeux, sont la solution à la crise.
"Nous devons adopter une approche différente. Nous devons nous concentrer sur les avancées technologiques nécessaires pour changer le monde et notre mode de fonctionnement", a déclaré M. Morrison.
De nombreux responsables politiques de la coalition conservatrice du Premier ministre entretiennent des liens étroits avec l'industrie minière et nient l'existence du changement climatique ou cherchent à en minimiser les risques.
Le parti libéral du Premier ministre ainsi que le parti travailliste, dans l'opposition, sont tous deux favorables à la poursuite de l'exploitation des mines de charbon. (selon AFP)
La bière, carburant des Allemands…
L’Agence des statistiques européens Eurostat vient de publier les chiffres autour de la bière. Peu étonnant, l’Allemagne est et reste le plus grand producteur de bière en Europe, mais les voisins outre-Rhin ne sont ni les plus grands consommateurs, ni les plus grands exportateurs de cette boisson.
En 2020 et malgré la crise, 32 milliards de litres de bière ont été produits dans l’Union Européenne. Loin devant, l’Allemagne avec 7,5 milliards de litres, ce qui correspond à 24% de la production européenne. A la deuxième place, la Pologne avec 3,8 milliards de litres, suivie par l’Espagne et les Pays-Bas.
Si l’Allemagne produit beaucoup de bière, elle garde le plus clair de sa production pour elle. Ainsi, le plus grand exportateur de bière en Europe sont les Pays-Bas avec 1,9 milliards de litres exportés, la deuxième place des exportateurs de bière revient à la Belgique avec 1,7 milliards de litres d’exportés et l’Allemagne qui n’exporte que 1,5 milliards de litres sur les 7,5 milliards de litres produits.
Mais est-ce que cela veut dire que les Allemands sont les plus grands buveurs de bière en Europe ? Non. Ce sont les Tchèques qui en consomment le plus, avec 142 litres par personne et an, suivis par les Autrichiens avec 107 litres par personne et an et les Allemands ne viennent qu’à la 3e place avec 100 litres de bière consommés par personne et par an.
Le Général de Gaulle avait dit un jour « comment diriger un pays qui compte 357 sortes de fromage différents ? ». On pourrait transposer cette question en « comment diriger un pays comme l’Allemagne dont les 1500 brasseries produisent pas moins de 6000 sortes de bière différentes ? ».
En tout cas, à lire les chiffres d’Eurostat, la pandémie a déclenché un petit changement. Si avant la crise, les bières sans alcool avaient le vent en poupe, leur production et vente à baissé en 2020 de 8% – comprendre : quand les temps sont difficiles, les gens ont plutôt tendance à noyer leurs soucis dans une bière forte… (selon "Eurojournalist")
Pegasus : le logiciel au cœur d’un vaste système d’espionnage
Pegasus, un logiciel de sécurité vendu aux gouvernements à travers le monde s’est révèle être un outil d’espionnage qui a permis de traquer de nombreuses personnes.
Les révélations concernant l’utilisation d’un logiciel espion plus connu sous le nom de Pegasus, ont été reprises dimanche par le Washington Post, le Guardian, Le Monde et 14 autres médias à travers le monde. Cette revue des articles de presse ainsi que le rapport d’origine de l’ONG Forbidden Stories et d’Amnesty International relatifs à Pegasus et consulté par Eburnie Today permet de constater qu’autour de 50.000 numéros et téléphone étaient sous surveillance grâce au logiciel produit par la firme israélienne NSO Group.
Il s’agit entre autres de numéros de téléphone de militants des droits de l’homme, d’opposants politiques, de journalistes, d’avocats et autres activistes engagés sur des questions sensibles comme la protection de l’environnement, la lutte contre le blanchiment d’argent, la gouvernance, les droits de l’homme et le crime organisé. Cette fuite massive de contacts téléphoniques a poussé NSO Group à réagir indiquant qu’à l’origine son logiciel a été conçu pour être utilisé contre les criminels et les terroristes.
NSO Group souligne donc que son logiciel est vendu aux gouvernements pour être utilisé par l’armée, les forces de l’ordre et les services de renseignement. La firme précise même que le logiciel n’est vendu qu’aux pays ayant un bilan acceptable en matière de protection des droits de l’homme. Vrai ou faux, une chose est certaine, les investigations et révélations de l’ONG Forbidden Stories et d’Amnesty International sur Pegasus ont créé une onde de choc et fait du logiciel la cible de nombreux commentaires.
Pour NSO Group, le rapport des organisations qui s’attaquent à son logiciel est « plein d’hypothèses erronées et de théories non corroborées » promettant qu’il « continuerait à enquêter sur toutes les allégations crédibles d’utilisation abusive et à prendre les mesures appropriées ».
Pegasus en Afrique
Comme plusieurs autres logiciels espions et de piratage, Pegasus permet de prendre le contrôle d’un téléphone qu’il soit sous Android ou IOS. Une fois activé, il permet à celui qui l’installe à l’insu du propriétaire du téléphone d’extraire des messages, des photos et des e-mails, d’enregistrer des appels et d’activer secrètement des microphones et des caméras.
Ce n’est pas la première fois que NSO Group fait parler de lui. En 2019, WhatsApp a poursuivi l’entreprise en indiquant qu’elle était à l’origine de cyberattaques sur 1 400 téléphones portables avec son logiciel Pegasus. À l’époque, NSO Group a nié les faits.
Traoré Bakary (dans "Eburnie today")
Un militant bélarusse retrouvé pendu
Le directeur d'une ONG aidant des opposants au régime bélarusse a été retrouvé pendu hier en Ukraine, selon la police ukrainienne en charge de l'enquête, l'organisation du militant dénonçant pour sa part un assassinat orchestré par Minsk.
Le corps du Bélarusse Vitali Chychov, disparu lundi, a été retrouvé pendu hier matin dans un parc en périphérie de Kiev, près de son domicile, a indiqué le chef de la police nationale Igor Klymenko lors d'une conférence de presse. La police a ouvert une enquête pour homicide avec préméditation, mais étudie également la piste d'un geste volontaire. "Un suicide et un meurtre déguisé en suicide sont les principales versions", a précisé M. Klymenko. Interrogé sur les propos d'un militant bélarusse selon lequel M. Chychov avait des hématomes sur le visage et le nez cassé, le chef de la police a fait état uniquement de petites lésions "caractéristiques pour une chute", sans plus de précision.
L'ONG du militant, "Maison bélarusse en Ukraine" (BDU), a dénoncé elle sur Telegram une opération de Minsk visant à "liquider" une personne "dangereuse pour le régime" du président Alexandre Loukachenko. "Il s'agit d'une opération planifiée des tchékistes", terme désignant les forces de sécurité, a affirmé l'organisation dont la mission est de venir en aide aux Bélarusses s'exilant en Ukraine pour échapper à la répression dans leur pays. "Vitali était surveillé et la police (ukrainienne) en avait été notifiée", a assuré la BUD. "Nous avions été avertis" du risque de "provocations allant jusqu'à l'enlèvement et à la liquidation", selon la même source. Mais le chef de la police nationale ukrainienne a dit ne pas avoir d'informations en ce sens et que ses services n'avaient enregistré aucune plainte du défunt. M. Chychov, 26 ans, était sorti faire un jogging à Kiev lundi matin, mais n'est jamais revenu. Sa compagne Bojena Jolud a indiqué à des médias bélarusses ne pas croire à un suicide.
“Prenez les armes !”
Le militant a fui vers Kiev à l'automne de 2020, face à la virulence croissante de la répression du gigantesque mouvement de contestation contre la réélection de Loukachenko, au pouvoir depuis 1994. Il a notamment participé à l'organisation à Kiev des protestations anti-Loukachenko, selon la BUD. Dans la soirée, plusieurs centaines de personnes, notamment des Bélarusses exilés à Kiev, se sont réunis devant l'ambassade de ce pays brandissant des portraits du militant et des drapeaux rouge-blanc de l'opposition bélarusse. "Nous n'obtiendrons rien avec un procès pacifique", a lancé devant la foule la compagne de M. Chychov, en larmes. "Posez vos pancartes" et "prenez les armes!", a-t-elle poursuivi.
De nombreux Bélarusses ont fui leur pays, souvent pour l'Ukraine, la Pologne et la Lituanie, face à la répression féroce de toute contestation dans cette ex-république soviétique nichée entre la Russie et l'UE. "Les Bélarusses ne sont pas en sécurité même à l'étranger", a lancé sur Telegram la cheffe de l'opposition bélarusse en exil, Svetlana Tikhanovskaïa. Ce drame intervient peu après un incident aux Jeux olympiques de Tokyo avec la sprinteuse bélarusse Krystsina Tsimanouskaya, menacée d'un rapatriement forcé pour avoir critiqué sa fédération sur les réseaux sociaux. Le Comité international olympique a lancé une enquête.
Le régime bélarusse est aussi accusé d'avoir détourné en mai un vol commercial en prétextant une alerte à la bombe pour arrêter le dissident Roman Protassevitch à bord. M. Loukachenko a également été accusé d'avoir créé des "escadrons de la mort" au début de son règne pour se débarrasser de ses opposants. (selon "Tahiti infos")