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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
humour
13 juin 2019

Weilertal, c'est où ?

Histoire de rues jumelles...

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Elzach, qui a très récemment fêté son jumelage avec la commune de Telfs, dans le Tyrol autrichien, possède déjà une "Telfer-Strasse". Et au conseil municipal, certains se sont souvenu que le jumelage avec Villé durait depuis bien plus longtemps et n'était toujours pas évoqué par le nom d'une rue. Alors le conseil s'est lancé ! 

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Oui, mais voilà ! "Une rue de Val de Villé, c'est tout simplement mauvais", avait déclaré un peu plus tôt le bürgermeister Roland Tibi. Et on avait alors évoqué l'idée de la traduction allemande de "Weilertal Road". Mais toujours pas d'unanimité là-dessus : contrairement à Schlettstadt, la ville sœur de Waldkirch, malheureusement, "Weilertal" ne dit presque rien aux Elzachois. Les Alsaciens disent "Val de Villé" ou "Willerdaal", le Elzacher simplement "Villé".

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Un court sondage certes non représentatif a révélé: "Weilertal? Hm ... c'est où ? à Weil am Rhein ou à Badenweiler?" Il serait peut-être plus évident d'appeler la rue "Val-de-Villé-Straße"? A Waldkirch, on a bien opté pour la "Schlettstadt-Allee".

Et si on en revenait à des habitudes plus terre à terre ? Lorsque nos jumelés se rencontrent, c'est pour bien manger et bien boire ! Alors, si Elzach avait un jour une "Plataschlacker Gasse" ? Voilà qui aurait de la gueule ! Suite au prochain conseil municipal ... qui se réunit plus souvent que celui de Villé.

Une "Gasse" (ruelle) suffira bien sûr pour accueillir de temps en temps quelques villois qui se rendent à Elzach en covoiturage limité à deux véhicules. Quant à l'Avenue d'Elzach à Villé pour accueilir les bus de Forêt Noire, elle reste à construire.

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15 avril 2019

En un siècle...

...le monde des enfants a progressé !

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11 avril 2019

Humour dans la vallée : "Lach a Scholla" !

Lettre au président Macron : la co-signature du maire de Villé !

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Décidément, à Villé, on ne fait rien comme ailleurs. Le Maire de Sélestat, grand ami du maire André Frantz, toujours aussi mécontent de la nomination à l'hôpital de Sélestat par l'ARS d'un directeur qui ne lui convient pas, a rappelé à la rescousse quelques-uns de ses collègues de la circonscription pour écrire au président de la république (rien que ça !) à ce propos. Sans vouloir revenir sur ce sujet évoqué sur ce blog le 28 mars dernier, imaginons quand même ce que cela serait si c'étaient les maires qui désignaient les fonctionnaires dans les établissements de leur commune. Je crois que je n'aurais jamais exercé à Villé.

Revenons quand même sur la signature du maire Frantz et sur ses attributions ! Il se dit "Président de l'Amicale Cantonale", même si celle-ci est à l'état de mort cérébrale depuis qu'il la dirige.

On sait qu'il est président de l'amicale de la vallée. Mais lui, il ne sait pas que le Val de Villé n'est plus un canton. Qui plus est, il parle des "Maires de Villé". On est déjà mal servi avec celui qu'on a, qu'est-ce que ce serait si le contribuable devait payer plusieurs maires ? Pourvu qu'on n'arrive pas à la situation du Venezuela qui n'a que deux présidents...

Le 50ème anniversaire du collège de Villé serait une fête d'Alsace-Nature !

Depuis quelques jours, le programme "événementiel" de l'association Alsace-Nature (paru sur facebook notamment) comprend deux dates à prévoir dans la vallée de Villé :

- le 4 mai : le printemps de Bassemberg (tous les corbeaux du village sont-ils des amis d'Alsace-Nature qui se bat pour la défense de leurs nids ?)

- le 15 juin : le 50ème anniversaire du collège de Villé. lui aussi organisé et soutenu par Alsace-Nature ? ou quelqu'un veut-il "récupérer" cet événement qui concerne surtout les enseignants, les élèves et leurs parents, et les élus ? Après avoir eu "zéro participants inscrits" à leur réunion de Ste-Marie-aux-Mines concernant la déviation de Châtenois, Il faut bien se rattraper comme on peut. Surtout si l'un des dirigeants ambitionnait de devenir maire d'un village de la vallée en 2020 ?

Mais peut-être vont-ils aussi déposer un recours au tribunal administratif contre la construction de ce collège, édifié après la guerre sur d'anciens jardins et vergers ? Peut-être obtiendront-ils même la démolition des bâtiments, ce qui ne serait pas pour déplaire à quelques jeunes cancres de fond de classe.

Enfin notons que toutes ces festivités seraient ravitaillées par l'excellent vin de montagne d'Albé. Le fournisseur (lui aussi membre d'Alsace-Nature ?) doit être le seul ravi de la publicité (gratuite ?) qui lui est faite à l'occasion de sa journée "portes ouvertes".

- Voir ci-dessous la copie d'écran de la page facebook d'Alsace-Nature (page supprimée par leur auteur après la parution de ce message) : 

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1 avril 2019

Des poissons jaunes manifestent dans le Giessen !

Y en a marre de bouffer de l'huile de vidange !

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Il fallait s'y attendre. La pollution des eaux du Giessen n'est pas du tout du goût de ces truites vagabondes dont certaines sont retrouvées "sur le dos, ventre en l'air" (pour une sieste éternelle) par les promeneurs de la piste piétonne qui longe le ruisseau !

Face aux pratiques d'un ferrailleur international autocasseur, face au silence des pêcheurs et face à l'inertie de la comcom et de la mairie de Villé, les truites survivantes ont décidé de prendre leur destin en main, et de manifester devant les bouches d'égoûts provenant de l'usine textile voisine.

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Elles seront habillées exceptionnellement d'un gilet jaune, certaines pouvant même être entièrement peintes dans cette nouvelle couleur de la contestation.

Elles invitent tous les humains de Villé et des environs à manifester à l'entrée de l'usine, coiffés d'un bonnet jaune visible au loin. Les poissons rouges des bocaux peuvent également être peints en jaune par leur propriétaire et pourront se joindre aux truites sauvages. Le rendez-vous de tout ce beau monde est fixé au lundi, 1er avril à 10h01 au pont de la rue de Breitenau. Pour une fois, les lignes de pêche seront interdites !

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24 février 2019

Avis à la population de Villé !

Lundi, 25 février à 20 h 00 : un grand conseil municipal devait se tenir à la mairie, avec un point traditionnel en cette période de l'année : le quitus pour la gestion de l'année écoulée. Hélas, trois fois hélas ! L'ordre du jour et la répétition générale de cette belle pièce de théâtre n'étant certainement pas au point (y aurait-il de la friture sur la ligne ?), la réunion publique est reportée au lundi, 4 mars à 20h00, si tout va bien d'ici là ! En tous cas, les ordres et les contre-ordres, voilà qui mène au désordre !

mairie

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6 février 2019

Bierry maire de Strasbourg ?

Spécialiste des zones de montagne !

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Lors d'une réunion publique à Villé, à propos d'un bilan à mi-mandat du conseil départemental 67, la représentante des vallées n'a pas su répondre à ma question concernant les zones de montagne. Pas plus d'ailleurs que le président Bierry qui s'est limité à un commentaire succinct : "Il manque un peu de volonté politique aux élus locaux." Histoire de dire: "Ce n'est pas moi, c'est les autres." Quant à la volonté politique, il faut reconnaître qu'il en a ! Comme le rapportent les DNA du lundi 4 février, il aurait même la volonté de s'attaquer à la mairie de Strasbourg.

Qu'est-ce à voir avec les zones de montagne ? Si ce n'est que Strasbourg, avec la flèche de sa cathédrale, possède le point le plus élevé de la plaine d'Alsace. A défaut de réussir à faire classer en zone de montagne les villages de Neubois, Neuve-Eglise ou Saint-Pierre-Bois, il réussira à y faire classer la capitale européenne et même l'ensemble de la C.U.S., pour le plus grand plaisir du président Robert Hermann qui n'en attend pas tant.

Et peut-être se voit-il même un avenir du côté de Paris, où il aurait déjà envoyé en mission l'un ou l'autre de ses collaborateurs (ou collaboratrices) les plus proches, histoire de tâter le terrain ? Après tout, la tour Eiffel et la butte Montmarte pourraient aussi justifier un classement de la capitale en zone de montagne.

Les agriculteurs des places Kléber et Gutenberg, comme ceux des Champs Elysées, seraient ravis de toucher des primes européennes à ce titre.

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21 janvier 2019

Au repas de l'âge d'or à Villé

Le pain insuffisant, le fromage absent

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La presse s'était fait l'écho dimanche dernier d'un manque de pain et de dessert à un repas annuel des anciens dans la vallée de Villé (voir article des DNA ci-contre). Et voilà que les mêmes scènes se reproduisent dans le bourg-centre ce samedi.

Pour le pain, les convives se rendent vite compte qu'il est insuffisant. Ils doivent attendre le retour d'une boulangerie de l'un ou l'autre responsable municipal envoyé d'urgence à la quête de miches supplémentaires. Evidemment, il aurait été plus simple si le maire ou un autre élu local avait le don de faire des miracles et de multiplier les pains.

On pouvait craindre un ralentissement du service, surtout que la moitié au moins des conseillers municipaux chargés de s'occuper de nos braves anciens était aux abonnés absents. L'un des serviteurs municipaux nous a fait quand même fait comprendre que la restriction de pain serait une affaire d'économie financière. Le maire, comme Macron, ferait-il subir au seul troisième âge des mesures pour faire quelques économies ?

A peine cette affaire réglée,  voilà que nos anciens se rendent compte que le traditionnel plateau de fromages est supprimé du menu. Je me suis donc adressé au maire lors de son passage en fin de repas pour lui faire remarquer ce nouveau manque. Hélas, à cette question pourtant simple, le premier magistrat s'est empressé de fuir à l'autre bout de la salle. Courageux comme d'habitude !

Certains convives auraient décidé de revenir l'année prochaine, en apportant leur pain et leur fromage, et de pique-niquer dans la salle festive habillés d'un gilet dont la couleur reste à déterminer.

Pour le reste, le repas était très bon, on ne va donc pas continuer à faire de ces quelques manques ... tout un fromage.

17 janvier 2019

A propos des zones de montagne

Question posée le 14 janvier à la conseillère départementale Frédérique Mozziconacci, membre du comité du massif vosgien, vice-présidente de la commission permanente de ce comité.

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Lors de la réunion publique de bilan à la mi-mandat des conseillers départementaux, j'ai posé directement une question concernant les zones de montagne (c'est la seule fois de la soirée où elle pris la parole alors qu'elle était co-organisatrice de la soirée.

Question : De nombreux secteurs de montagne sont liés à des bassins d'emploi, voire à des bassins de vie, c'est le cas de la vallée de Villé et de la vallée de la Bruche. Il est donc étonnant de constater que dans ces cas la moitié des communes sont classés en zone de montagne, alors dans de nombreux domaines les problèmes sont les mêmes, notamment en matière d'agriculture, d'exploitation forestière ou de vie scolaire. Où sont par exemple les différences entre Neubois qui n'est pas en zone de montagne et Albé qui l'est ? Peut-on continuer à se référer à des courbes de niveau pour décréter qu'une commune est en zone de montagne ? Quelle est votre position sur ce sujet ?

Réponse : Mme la conseillère répète la question et en prend note. Aucune réponse claire.

La volonté politique pour  obtenir satisfaction ne semble pas forte, tout comme la connaissance des dossiers de la montagne. C'est tout ce qui ressort de cette discussion. Pas même une impression sur les réunions nationales auxquelles elle a assisté et où les élus "montagnes vieilles" pauvres et "montagnes jeunes" riches par les stations de ski, se sont affrontés une fois de plus.

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  • Bientôt la prochaine question : la politique sociale en faveur des jeunes migrants.
8 décembre 2018

Les travaux du GCO

Vinci camoufle les engins pour ne pas éveiller l'attention des écologistes anti-GCO.

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25 novembre 2018

Macron en fuite, reconnu à Varennes

Il voulait préparer la contre-révolution des "lingots d'or" !

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Déconcerté par le succès de la révolution des gilets jaunes, le président Macron, accompagné de sa femme et de son premier ministre a tenté de rejoindre son fief d’Amiens, où se trouvent ses derniers fidèles, pour lancer avec ses amis riches un contre-mouvement : la révolution des lingots jaunes.

Pour éviter tous les barrages mais également pour brouiller les pistes, le président a du faire de nombreux détours. De plus, le couple présidentiel était muni de faux passeports.

Notre président tenta de se faire passer pour un certain M. Durand, intendant de la baronne de Korff, tandis que sa femme Brigitte avait pris le pseudo de Mme Rochet, gouvernante des enfants de Mme de Korff.

Malheureusement, cette tactique ne s’est pas avérée payante…

La voiture des fuyards s’arrête devant une station-service de Sainte-Menehould. Le pompiste, Jean-Baptiste Drouet, qui a séjourné à Paris, reconnaît le président mais ne réagit pas tout de suite.

Il ne se lance à la poursuite de la berline royale que lorsque la municipalité le mandate après délibération. La voiture présidentielle arrive à Varennes, mais doit s’y arrêter, le président est surpris de ne pas trouver une autre voiture qui doit l’escorter pour la suite du périple.

Jean-Baptiste Drouet et Jean-Chrisosthome Guillaume arrivent à Varennes, passent devant le véhicule arrêté et avertissent le procureur-syndic, l’épicier Jean-Baptiste Sauce, que la voiture du président en fuite est arrêtée en haut de la ville. Ils décident de barricader le pont de l’Aire en mobilisant les gilets jaunes locaux qui ne se firent pas prier. Ils ont exaucé les voeux du président qui souhaitait "qu'ils viennent le chercher".

L’automobile est immobilisée à quelques encablures de la barricade, devant la voûte de l’église Saint-Gengoult qui enjambe la rue 12.

Jean-Baptiste Sauce, sous la pression des patriotes qui se trouvaient à l’estaminet du « Bras d’or », oblige les voyageurs à descendre et les fait entrer dans sa maison qui est à quelques pas. A cette heure, le président et sa femme se trouvent encore dans cette maison. A n’en pas douter, ils seront reconduits sous bonne escorte vers la capitale.

Enervé au moment ou il fut interpellé, Emmanuel Macron se serait écrié : « Mais je perds la tête ! » Ce à quoi Jean-Baptiste Sauce aurait rétorqué : « Pas encore, mais ça peut venir !» (selon "Nordexpress")

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