Macron en fuite, reconnu à Varennes

Il voulait préparer la contre-révolution des "lingots d'or" !

Déconcerté par le succès de la révolution des gilets jaunes, le président Macron, accompagné de sa femme et de son premier ministre a tenté de rejoindre son fief d’Amiens, où se trouvent ses derniers fidèles, pour lancer avec ses amis riches un contre-mouvement : la révolution des lingots jaunes.

Pour éviter tous les barrages mais également pour brouiller les pistes, le président a du faire de nombreux détours. De plus, le couple présidentiel était muni de faux passeports.

Notre président tenta de se faire passer pour un certain M. Durand, intendant de la baronne de Korff, tandis que sa femme Brigitte avait pris le pseudo de Mme Rochet, gouvernante des enfants de Mme de Korff.

Malheureusement, cette tactique ne s’est pas avérée payante…

La voiture des fuyards s’arrête devant une station-service de Sainte-Menehould. Le pompiste, Jean-Baptiste Drouet, qui a séjourné à Paris, reconnaît le président mais ne réagit pas tout de suite.

Il ne se lance à la poursuite de la berline royale que lorsque la municipalité le mandate après délibération. La voiture présidentielle arrive à Varennes, mais doit s’y arrêter, le président est surpris de ne pas trouver une autre voiture qui doit l’escorter pour la suite du périple.

Jean-Baptiste Drouet et Jean-Chrisosthome Guillaume arrivent à Varennes, passent devant le véhicule arrêté et avertissent le procureur-syndic, l’épicier Jean-Baptiste Sauce, que la voiture du président en fuite est arrêtée en haut de la ville. Ils décident de barricader le pont de l’Aire en mobilisant les gilets jaunes locaux qui ne se firent pas prier. Ils ont exaucé les voeux du président qui souhaitait "qu'ils viennent le chercher".

L’automobile est immobilisée à quelques encablures de la barricade, devant la voûte de l’église Saint-Gengoult qui enjambe la rue 12.

Jean-Baptiste Sauce, sous la pression des patriotes qui se trouvaient à l’estaminet du « Bras d’or », oblige les voyageurs à descendre et les fait entrer dans sa maison qui est à quelques pas. A cette heure, le président et sa femme se trouvent encore dans cette maison. A n’en pas douter, ils seront reconduits sous bonne escorte vers la capitale.

Enervé au moment ou il fut interpellé, Emmanuel Macron se serait écrié : « Mais je perds la tête ! » Ce à quoi Jean-Baptiste Sauce aurait rétorqué : « Pas encore, mais ça peut venir !» (selon "Nordexpress")

Comments

[Janus157]

Bonsoir.

Très bon texte, et bonne comparaison, pour notre Macron "jupitérien"..

Il était pourtant, peu avant le samedi 17 novembre, et premier grand blocage des "Gilets jaunes", dont à Paris, en Belgique et à Bruxelles, pour, non pas, aller se réfugier, mais entrevoir le premier ministre pour lui demander de l'aide en vue des prochaines élections européennes, voilà tout.

Puis, peu après, sans comparaison aucune, avec De Gaulle, et qui avait été se réfugier et demander conseil auprès de Massu à Baden, il a été, ensuite, à Berlin, et auprès de Merkel (Angy come disait Sarkozy..), pour se faire consoler et rassurer, mais également, pour lui demander son aide et son soutien pour ces prochaines élections européennes..

(Mme. Merkel arrive en dernière ligne droite de sa mandature et fin de règne..)

Voilà, la boucle est bouclée, ou..presque, si je puis dire..

Ce gouvernement dépense sans compter..

Mr. Edouard Philippe a déjà, au bas mot, dépensé (seulement..) 130 000 Euros, pour lui seul et personnellement; sans oublier la gourmandise du budget de son ministère, presque équivalent à celui de l'Elysée, à peu de choses près.

Quand à Mr. De Rugy, ce n'est guère mieux.

Ah ! j'allais encore oublier, cerise sur le gâteau, Mme. Macron ou "Brizit" comme l'appellent ces fans en secret, a, quand à elle, déjà dépensé plus de 440 000 Euros, à elle seule et pour elle, en un an, pas mal, non ?

Bon, je préfère m'arrêter là, de peur d'avoir une arête de poisson dans la gorge..

Bonne soirée à vous et bonne semaine qui vient..Denis.

[Onkel Schlofkapp]

Le 152ème RI mobilisé pour l'empêcher de fuir en Guyane et de se mêler aux chercheurs d'or clandestins...

[Nestor]

L'histoire se répète : Bribri sera-t-elle la nouvelle Marie-Antoinette ?

[momo]

Scission au sein des gilet jaune : les uns veulent pendre Macron, les autres veulent le guillotiner.