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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
france
21 juillet 2018

Alexandre Benalla and co !

Sa voiture était dotée d'équipements de police

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AFFAIRE BENALLA - C'est instantanément devenu une affaire nationale. Mercredi 18 juillet, Le Monde révélait qu'un collaborateur d'Emmanuel Macron avait été filmé le 1er mai en train de frapper un manifestant, le tout affublé d'un casque et d'un brassard de la police, avant d'être simplement suspendu deux semaines puis finalement réintégré au sein du cabinet présidentiel. La classe politique s'est en grande partie insurgée contre les faits et leur traitement par l'Élysée, pendant qu'un syndicat de police portait plainte pour "usurpation de fonction" et "usurpation de signe réservé à l'autorité publique" et qu'une enquête était ouverte auprès de l'IGPN, la police des polices. 

Depuis, aussi, des éléments de portrait d'Alexandre Benalla sont révélés petit à petit, à l'image de sa tentative de se fournir en matériel d'intervention policière pour équiper le service de protection d'un Emmanuel Macron alors candidat à la présidentielle, ou de plusieurs accès de colère et des réactions disproportionnées dans le cadre de son action en tant que garde du corps.

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Dernière révélation en date et dernière buche dans le brasier, une photo publiée par BFMTV, et sur laquelle il est possible de constater que la voiture personnelle d'Alexandre Benalla est équipée de différents dispositifs normalement propres aux véhicules de police, et notamment des systèmes d'éclairage utilisés par les forces de l'ordre. Un élément supplémentaire dans le portrait d'un homme parfois gros bras, équipé le 1er mai d'un brassard et d'un casque de police, et prompt à se prendre en photographie aux côtés de militaires armés et en treillis au cours de missions. (selon "Huffington Post")

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 "En 28 ans de police, je n'ai jamais vu ça"

Les ruses de Sioux de Macron pour esquiver les questions gênantes

Alexandre Benalla a travaillé sept jours pour Arnaud Montebourg avant d'être "viré...

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30 juin 2018

Retraités : après la hausse de la CSG ...

... voilà la suppression des pensions de réversion ?

Décidément, Macron ne manque pas d'air ! et son projet est simple : tout ce qui n'est pas économiquement et financièrement rentable doit disparaître ! Et étrangler 4,5 millions de veufs et veuves à la retraite ne le dérange pas. Ci-dessous, le communiqué de F.O. à ce sujet :

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19 avril 2018

Grèves : et maintenant le métro ! et les syndicats de l'énergie !

La CGT-RATP dépose un préavis

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Concrètement, cette grève a débuté ce mercredi, 18 avril à 20h00 et se terminera samedi, 21 avril à 7h00. Pour justifier cette grève, le syndicat évoque la répression des droits "enfants malades", l'augmentation de la CSG, le gel des salaires, les suppressions de postes, la dégradation des conditions de travail. La CGT met aussi l'accent sur le démantèlement du service public et ses conséquences néfastes en matière de transports. L'UNSA a déposé un préavis pour permettre aux agents de participer à la manifestation prévue ce jour.

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 La CGT annonce 3 dates pour les coupures de courant, et ce n'est qu'un début !

La FNME-CGT, première organisation syndicale dans l'énergie, a annoncé mercredi son intention de faire grève jusqu'à la fin juin pour "un nouveau service de l'électricité et du gaz", avec des actions comprenant "des coupures ciblées" d'entreprises.

La fédération énergie souhaite mettre en œuvre la "convergence des luttes", a expliqué à l'AFP Sébastien Menesplier, secrétaire général de la CGT Mines-Énergie, alors que la CGT organise au niveau national une journée de mobilisation interprofessionnelle jeudi.

Des assemblées générales vont se tenir mercredi et jeudi avec les salariés, lors desquelles seront mises "en débat des interventions sur l'outil de travail", a-t-il dit. 

Ces actions peuvent être "des coupures ciblées, en direction des entreprises où les employeurs licencient" ou "criminalisent l'action syndicale", a-t-il avancé, citant Carrefour en exemple, ou encore "des actions de baisse de production de l'électricité et de gaz qui peuvent commencer dès mercredi soir".

"Des actions en direction des usagers pour ceux qui ont subi des coupures d'énergie" sont également envisagées, ainsi que "des basculements d'heures pleines en heures creuses" pour faire baisser la facture des usagers, a-t-il ajouté.

Fin mars, la FNME-CGT avait annoncé appeler à la grève à partir du 3 avril et jusqu'au 28 juin, soit sur la même période que la grève à la SNCF.

Pour rouler, les trains "ont besoin d'énergie, donc on a aussi des actions à mener en ce sens", a averti M. Menesplier, alors que le quatrième épisode de grève des cheminots contre la réforme ferroviaire a débuté mardi soir.

Mais la fédération énergie porte également ses revendications propres. Alors que la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), déterminant la trajectoire énergétique de la France pour 2019-2023, est actuellement "débattue publiquement, on souhaite se faire entendre et peser dans le débat", a expliqué M. Menesplier.

Il faut "commencer par faire un bilan de la déréglementation énergétique qui depuis quasiment 20 ans (...) n'a apporté que des effets dévastateurs tant pour les salariés que pour les usagers", a-t-il déclaré.

D'autres "temps forts" sont prévus les 24, le 26 avril, le 1er mai, les dates suivantes restant encore à déterminer.

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16 avril 2018

Frappes militaires en Syrie

"Des colonnes de fumées au-dessus de Damas"

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Dans un raid conjoint, les Etats-Unis, la France et de la Grande-Bretagne ont bombardé plusieurs cibles militaires en Syrie. Des cibles essentiellement liées au programme chimique syrien officiellement démantelé depuis 4 ans.

Le site le plus important est situé près de Damas, il s'agirait du centre de recherche de Barzeh, le CERS. Il faisait déjà partie des cibles évoquées par les autorités françaises, en préparation des raids stoppés in extremis fin août 2013.

Aucun site russe touché

Deux autres cibles au moins sont situées près de Homs dans le centre du pays ont été bombardés, peut-être des sites de stockages clandestins. La ministre de la Défense française Florence Parly parle, elle, de « sites de productions ». L'OSDH, l'Observatoire syrien des droits de l'homme, évoque aussi le bombardement d'une caserne de la garde républicaine dans les environs de la capitale. Aucun site russe n'a toutefois été touché précise Moscou.

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A Damas, la réaction de la défense aérienne syrienne a été modérée, quelques tirs de missiles ont été aperçus mais « aucune perte humaine n'est à déplorer » côté américain selon le Pentagone.

Dans la nuit, l'Elysée a publié une vidéo montrant le décollage de quatre Rafales de l'armée de l'air équipés de missiles de croisière. Le ministère des Armées assure également que les frégates Fremm ont été impliquées dans l'opération. Au total douze missiles de croisière ont été tirés, des missiles à longue portée pour rester en dehors des défenses syriennes et russes. Paris ajoute que la France n' a pas pris part au bombardement du centre de recherche sur les armes chimiques situés prés de Damas, déjà considéré comme une cible il y a cinq ans mais toujours actif, souligne-t-on dans l'entourage de Florence Parly. Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian affirme pour sa part « qu'une bonne partie de l'arsenal chimique syrien a été détruit ». « Les Russes n'ont pas été prévenus des cibles retenues, ni même du moment ou elles seraient frappées, mais nous nous sommes assurés que chacun serait dans son coin durant l'opération afin d'éviter, les méprises ou les accidents », a confié un gradé de l'armée française à RFI.

Une centaine de missiles tirés

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Le Pentagone laisse entendre que les frappes occidentales ont porté un coup sévère au programme chimique syrien. Il « mettra des années à s'en remettre », affirme un haut responsable du Pentagone, le général Kenneth McKenzie, ajoutant que les défenses anti-aériennes russes n'ont pas été activées et celles du régime syrien ne l'ont été qu'après la fin des frappes.

Une centaine de missiles aurait été tirés, des frappes donc limitées à des objectifs syriens, limitées dans le temps et destinées surtout à envoyer un message aux autorités syriennes. D'ailleurs l'Elysée précise dans un communiqué, que la France et ses partenaires, vont reprendre dès aujourd’hui leurs efforts aux Nations unies pour la mise en place d'un mécanisme d'enquête sur l'usage de l'arme chimique en Syrie.

Des conséquences limitées

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Sur le terrain, les conséquences de ces frappes seront certainement limitées, comme c'est à chaque fois le cas lors de frappes dites « punitives ». Cela fait une semaine que tout le monde parle de frappes occidentales en Syrie, l'armée syrienne qui est en guerre depuis sept ans maintenant, et qui compte des conseillers russes, a donc certainement dû prendre des mesures pour se protéger, ou déplacer certains équipements importants.

Dès 2013, par exemple on sait que l'état-major syrien à Damas a déménagé. Le site qui a été visé, dans la banlieue de Damas, le CERS est très connu. C'était donc une cible toute désignée. Pas sûr donc qu'il y ait des choses très intéressantes à l'intérieur. (selon "RFI")

14 avril 2018

Le "manu militari" de plus en plus fréquent sous l'ère Macron

Scandale : Violente expulsion d'un sans-papiers sur un vol Air France Paris-Abidjan, trois Ivoiriens interpellés par la police

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L'intervention de forces anti-émeutes sur un vol Air-France malgré l'opposition des passagers, voilà l'illustration du durcissement du tandem Macron - Collomb. Jeudi 12 avril à 10h30 à Roissy-Charles de Gaulle, des voyageurs médusés et indignés ont pu assister et voir une personne conduite manu militari, menottée, encagoulée, pieds ligotés, solidement tenue par les policiers jusque dans l'avion.

Les passagers se sont mis à protester contre cette déportation forcée. Certains ont même été "embarqués" vers le poste de police. Au sein de l'appareil, il y a eu des cris, les passagers refusaient de s'asseoir. L'homme était traité comme un animal. L'ivoirien monté de force, pleurait et s'agitait. Les policiers menaçaient aussi les personnes qui tentaient de s'interposer, ou qui, simplement, ne se taisaient pas. Les voyageurs qui ont filmé la scène avec leurs portables se sont vus expulsés de l'appareil. 

L'ambassade de Côte d'Ivoire a été appelée, mais est restée sans réaction. C'est habituel. La Côte d'Ivoire fait encore partie de la françafrique. France, terre d'accueil... pour riches roitelets africains au service de ...

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10 avril 2018

La Poste : panne nationale

Les guichets bloqués dans toute la France 

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Le serveur général de La Poste a été touché ce lundi par un bug informatique, paralysant les 8 500 guichets de France. Ils ont été paralysés tout ce lundi.

Finalement, en milieu d'après-midi, le bug a été identifié et la totalité des bureaux ont rouvert. « Il s'agissait d'un problème technique et non d'une cyberattaque, rien d'inquiétant », a précisé La Poste.

Étaient concernés aussi bien les opérations financières que les commandes de timbres, les envois ou réceptions de courriers qui nécessitent de se rendre au guichet.

Les distributeurs de billets n'avaient, eux, pas été impactés et ont fonctionné du moins en matinée. Tout comme le site internet de La Poste ou encore l'application mobile de l'entreprise. 

Voilà de nouveaux retards de courrier prévisibles ! Mais "rien d'inquiétant", selon la direction de La Poste.

8 avril 2018

A propos du génocide des Tutsi au Rwanda

"Survie" ramène au ministère des Armées une caisse d’armes pour interpeller Emmanuel Macron

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Alors que les rescapés du génocide des Tutsi du Rwanda s’apprêtent à commémorer ce samedi le 24ème anniversaire du début des massacres, des militants de Survie ont interpellé ce jeudi 5 avril le président et le gouvernement français en mettant en scène le retour d’une fausse caisse d’armes et de munitions expédiées par Paris pendant le génocide. L’association demande au président que ses premières annonces à ce sujet soient à la hauteur des enjeux : il faut désormais une reconnaissance officielle du soutien que les autorités françaises ont apporté à un régime génocidaire.

48 heures avant les 24èmes commémorations du début du génocide des Tutsi du Rwanda, l’association Survie, mobilisée contre la Françafrique, a organisé la remise symbolique au ministère de la Défense de l’époque d’une caisse factice d’armes et de munitions françaises. Les gendarmes présents au 14 rue Saint-Dominique ont donc été pris à témoins d’une forme de retour par la Poste (pour motif de « non distribution ») d’une des caisses d’armements que la France a acheminées en 1994 à destination d’un régime allié, alors même qu’il commettait un génocide. Comme les gendarmes sur place ont refusé de réceptionner ce colis, les militants de l’association l’ont ensuite apportée au siège du Parti Socialiste rue de Solférino, pour suggérer de profiter du déménagement pour faire l’inventaire de la politique de François Mitterrand au Rwanda. Il s’agissait pour l’association d’illustrer concrètement le soutien politique, économique et militaire que notre pays a apporté, et que l’État français devrait désormais reconnaître.

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Pour Fabrice Tarrit, co-président de Survie : « C’est le président Emmanuel Macron qui a désormais la responsabilité de reconnaître officiellement, au nom de la France, que les autorités de notre pays ont soutenu et armé un régime "ami" quelles qu’en soient les conséquences. Ce soutien, déjà incompréhensible avant le génocide, ne s’est pas démenti pendant les massacres, ni même après ». Il ajoute « L’État devra bien le reconnaître : on ne peut pas attendre plus de 50 ans, comme pour la participation active des autorités françaises dans la déportation de Juifs pendant la Seconde guerre mondiale ! ».

Ce soutien à ceux qui commettaient le génocide des Tutsi a pris différentes formes : politique, diplomatique, militaire (livraisons d’armes et de munitions, recours à des mercenaires)... Il a été apporté en connaissance de cause, de manière active, et a eu un effet sur les crimes commis : cette politique constitue juridiquement une complicité de génocide, l’intention génocidaire n’étant pas nécessaire à cette qualification. Une reconnaissance officielle de ce soutien aux auteurs d’un génocide amènera, logiquement, à demander des comptes aux décideurs civils et militaires qui ont mené cette politique.

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« Comment comprendre que des responsables politiques de l’époque comme les ministres Alain Juppé et François Léotard ou encore le secrétaire général de l’Elysée Hubert Védrine, n’aient jamais été inquiétés ? Et surtout que l’Amiral Lanxade, le Général Quesnot et le Général Huchon sont partis à la retraite avec tous les honneurs, sans jamais rendre des des comptes à la justice ? », s’étonne Fabrice Tarrit. « Ces trois responsables militaires étaient respectivement chef d’état-major des armées, chef d’état-major particulier du président et chef de la mission militaire de coopération : ils ont eu, avec le président François Mitterrand, toutes les cartes en main pour continuer ou arrêter de soutenir un régime "ami" qui commettait le crime des crimes. Des responsables français ont opté pour un soutien direct, avec l’opération Turquoise qui a gelé la ligne de front, et un soutien indirect, avec des mercenaires corsaires de la République comme Bob Denard ou Paul Barril ».

Emmanuel Macron a l’opportunité historique de reconnaître officiellement, sans faux-fuyants, qu’un tel appui a été décidé et exécuté en toute connaissance de cause – d’autant que pour la première fois depuis 1994, aucun des partis de gauche et droite qui gouvernaient ensemble à cette période de cohabitation n’est actuellement au pouvoir. Le président le doit d’abord aux victimes et aux rescapés du génocide, mais aussi aux citoyens français, afin d’ouvrir le nécessaire débat sur le fonctionnement des institutions de la Vème République. Et si Macron oubliait le Rwanda, le Rwanda et l'Afrique ne l'oublient pas. (communiqué de "Survie")

Génocide au Rwanda : Guillaume Ancel brise l'omerta

Rwanda Genocide

Rwanda L'histoire qui mène au génocide part 1

Rwanda L'histoire qui mène au génocide part 2

19 mars 2018

Fonction publique : appel pour une grève unitaire le 22 mars

Non au plan "Cap 2022" de suppressions de postes du gouvernement

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Le mois de mars sera celui des luttes sociales dans la fonction publique. C'est en tous les cas ce qu'envisagent les principales organisations syndicales du secteur (CGT, FO, FSU, Solidaires 31), qui appellent à une grève unitaire le 22 mars. Une journée qui devrait servir à agréger différents combats engagés ces dernières semaines, dans les hôpitaux, les EHPAD, les finances publiques. La levée de boucliers des fonctionnaires vise d'abord à défendre leur statut, que le gouvernement a déclaré vouloir assouplir, et qu'ils estiment mis en danger. Au-delà de leurs propres cas, ils alertent sur les dangers que représente la remise en question du statut pour les usagers du service public : «le statut du fonctionnaire est la pierre angulaire du service public, qui aujourd'hui tend à basculer vers le privé, ce qui va impliquer une absence de suivi des usagers et des services payants.» Carte grise, déclaration d'impôts, les exemples sont nombreux. Présents lors de la réunion qui s'est tenue hier, des représentants des syndicats étudiants entendent également rattacher le mouvement étudiant au wagon de la contestation du 22 mars : «on est tous des usagers du service public, et surtout, nous sommes également concernés par cette même logique de casse et d'austérité», a déclaré Aurélie-Anne Those de l'UET. La manifestation du 22 mars fera suite à la mobilisation des retraités et des EHPAD aujourd'hui. Le début d'un long mouvement ?

C'est le mot qui revient dans toutes les bouches au moment d'évoquer la journée du 22 mars : le CAP 2022, plan d'action engagé par le gouvernement pour la refonte du service public, qui prévoit la suppression de 120 000 postes de fonctionnaires, et d'atteindre une baisse des dépenses publiques de l'ordre de -3 % du PIB. Les syndicats préconisent la suppression de ce plan et la création d'emplois.

17 mars 2018

Grève à la SNCF

Le train ne sifflera pas 36 fois !

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Les syndicats ont opté pour l'opposition frontale. Pour se faire entendre par le gouvernement sur la réforme de la SNCF, ils ont appelé à une grève reconductible pendant trois mois.

Elle doit débuter mardi 3 avril, le lendemain du week-end de Pâques, et se poursuivre jusqu'au 28 juin.

Pas tous les jours, mais deux jours sur cinq, selon l'appel de la CGT, l'Unsa, Sud Rail et la CFDT, jeudi 15 mars, rapporte Franceinfo. Les vacances de Pâques et les différents ponts du mois de mai seront donc concernés par ce mouvement, avec de fortes perturbations à prévoir dans les gares.

"L'intersyndicale constate que le gouvernement n'a aucune volonté de négocier" et "prend la responsabilité (d'un) conflit intensif sur une très longue durée", a déclaré Laurent Brun de la CGT Cheminots, à l'issue d'une réunion de plus de deux heures avec les trois autres syndicats. C'est "une mobilisation innovante", a de son côté souligné Didier Aubert de la CFDT Cheminots. "Clairement, on attend une ouverture de la part du gouvernement (...) S'il veut éviter ça, c'est [à lui] d'ouvrir des négociations", a-t-il ajouté. Mercredi 21 mars, l'intersyndicale doit se réunir pour "établir plus précisément l'appel" à la grève qui s'étalera sur 36 jours. Jeudi 22 mars à Paris est prévue une manifestation nationale des cheminots, le même jour que les fonctionnaires. Selon Laurent Brun, "plus de 25 000" cheminots sont attendus. 

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8 mars 2018

TF1 : une affaire de gros sous !

Qui va gagner ? qui va perdre ?

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 Pour l'instant, seul Canal+ refuse de retransmettre les chaînes affiliées au groupe TF1. Demain, vont peut-être s'y joindre Orange et Free ? Qui va gagner dans ce combat de gros bras ? On sait déjà qui va perdre : le téléspectateur qui devra acheter un boîtier TNT ou qui à terme verra grimper sa facture Canalsat et sa redevance télé ? Tout est possible ! 

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