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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
ecologie
18 novembre 2011

Ecologie décapante

arton206_9a9e1"Ecologie décapante" c'est le titre d'un article paru le 9 novembre dans la presse (DNA - édition de Saâles) consacré à une conférence de presse de l'ex-sénateur Jacques Muller venu rendre visite à son nouvel ami Jean Vogel, maire de Saâles. Alors quelques propos : "L'écologie politique n'est pas la politique de l'environnement à tout prix (-), elle nécessite de faire des compromis." Oui, mais c'est l'inverse des récentes déclarations de la candidate aux présidentielles Eva Joly, qui ne veut pas négocier avec François Hollande sur le nucléaire et qui menace même de ne pas participer à un gouvernement de gauche si son point de vue n'est pas retenu. "Ce n'est pas une remise en cause radicale du capitalisme ou du mode de vie occidental, auquel un nombre croissant d'humains aspire." Voilà qui est clair ! Comment peut-il croire que les peuples aspirent de façon croissante à ce monde que leur imposent les politiques d'austérité pour les plus grands bénéfices de quelques multimillionnaires ? Enfin, il dénonce "le marché de dupes" du tunnel de Ste-Marie-aux-Mines "qui perd 2 millions d'€ par an pour ne voir passer que 150 camions par jour". Jacques Muller oublie juste de dire que ce sont ses amis politiques qui, rejoignant certains intérêts corporatistes, s'opposent systématiquement au contournement de Châtenois et au réaménagement de la RN59 entre Lièpvre et Val-de-Villé, tronçons qui représentent l'accès alsacien à ce tunnel. Et pas un mot sur la situation économique et sociale dans les vallées vosgiennes, pas un mot du démantèlement du service public, autant d'éléments liés au "système capitaliste" qui nous frappent sur le plan local. Espérons que tous les écologistes ne sont pas de cette nature qui cultive surtout les contradictions, et que Jacques Muller, élu sénateur sur la liste Bockel et à la recherche d'une circonscription législative, ne soit pas en train de prendre le même virage ... à droite. On a déjà vu ce genre de manoeuvres dans le Val de Villé lors des cantonales. A défaut de clarification, on ne peut qu'être méfiant.

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13 septembre 2011

Bio-beau ou éco-restreint ?

5948880168_des_legumes_sur_un_marche_bio_a_caen_le_16_mai_2008C’est le genre d’enquêtes dont raffolent les distributeurs et les industriels pour mieux comprendre ce qui motive leurs clients dans les rayons et alors que certains d’entre eux testent, depuis quelques semaines, un affichage environnemental des produits. D’après une étude du cabinet Ethicity, les consommateurs français se répartissent en trois grandes familles : le « bio-beau » sensible au vert (40 %), l’« éco-restreint » écolo mais fauché (25 %), le « consophage » (25 %) sourd à toute notion de décroissance et qui ne change rien à ses habitudes.

« La rupture s’accentue pour plus d’un tiers de la population qui semble être dans le déni », constate le cabinet de conseil de stratégie en développement durable. Ce groupe réunit à la fois les « minimiseurs » – ceux qui croient d’abord à la croissance économique et considèrent avoir déjà changé parce qu’ils trient leurs déchets – et les « consophages » qui vivent dans la peur et se consolent dans la consommation.

Dans la deuxième famille, chez ceux dont le frein est avant tout financier, le message aura plus de chances d’être entendu s’il fait rimer écologie avec économies, en promouvant par exemple des bourses d’occasions ou de troc.

Le développement de cette population sensible mais en difficulté financière grignote la part des consommateurs ayant déjà intégré l’environnement dans leur acte d’achat (40 %) : « éclaireurs » engagés, « bio beaux » adeptes de produits bons pour la santé, « verts bâtisseurs » urbains sensibles à la provenance des produits ou « bonne conduite » prônant le local et le non-gaspillage.

("Le Républicain Lorrain" du 10/09/2011)

21 juillet 2011

Lutte anti-nucléaire originale

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Voilà une histoire belge qui se passe en Suisse. En cette année de sécheresse agricole, certains pensent protester contre les centrales nucléaires en polluant les bottes des paysans. Ou auraient ils mesuré le degré d'irradiation de la paille laissé chez nos amis helvètes par le nuage de Fukushima ? Et ces artistes d'un genre douteux ont peint une soixantaine de bottes aux bords de l'autoroute vers Genève. Il y a le militantisme respectable et les amusements d'un goût douteux. Ne pas confondre ! Et il est à douter que les auteurs revendiqueront leur acte. 

5 juin 2011

Radio Dreyeckland : "Bonjour, Monsieur le Maire"

images (6)"Bonjour Monsier le Maire", c'est le titre d'une émission de Radio-Dreyeckland qui est diffusée tous les samedis à 11h30. Et ce samedi, 4 juin, c'est le maire de Villé qui a eu la parole ! Bien sûr, il n'a pu s'exprimer qu'en deux séquences de deux ou trois minutes, ce qui ne lui a pas permis d'approfondir comme il l'avait certainement prévu le dossier de "l'éco-quartier des pommiers n° 2". Nous allons donc nous charger de publier des informations complémentaires ... qui vont forcément plaire à tous nos visiteurs. Dans une première séquence, le maire a présenté Villé dans son ensemble, les problèmes rencontrés : "Il faut tout faire pour éviter que Villé ne devienne une cité dortoir...". Comme si le bourg ne l'était déjà avec le nombre d'actifs qui quittent tous les jours la vallée pour se rendre sur leur lieu de travail. Et j'ajouterai qu'on peut à l'heure actuelle, avec les aménagements de voirie du centre-ville, même s'endormir au volant sans risquer l'accident tant la circulation est compliquée ! Bon, passons ...

C'est sur la deuxième séquence, réservée au nouvel "éco-quartier de la rue des cerisiers" que j'aimerais revenir. L'aménagement d'un lotissement vers la rue de Breitenau est une vieille histoire. En 1970, au moment où moi-même j'ai construit ma maison à Villé, Paul Bastien, maire de Villé de 1965 à 1971, m'avait présenté les plans de ce projet de lotissement, qui finalement s'est concrétisé après 2001. Le but était d'offrir aux jeunes de la vallée des terrains de 5 à 6 ares aménagés, et pouvant être vendus à des prix abordables avec les salaires pratiqués dans la vallée. La municipalité s'est donc lancée dans l'opération en deux tranches, "Les pommiers 1" et "les pommiers 2", ceci pour avancer rapidement sur les terrains déjà acquis par la commune. 29 parcelles faisaient partie de la première tranche, toutes vendues dès leur commercialisation.

Conçue dans le même esprit, la deuxième tranche dont tous les terrains avaient été acquis entretemps grâce à des "subterfuges peu honorables" sur lesquels je ne reviendrai pas (certaines parcelles ont été payées plus chères que d'autres et quelque affairiste a même encaissé une substancielle commission pour servir d'intermédiaire, le tout aux frais du contribuable) devait, selon la délibération du conseil municipal du 13 février 2007, comporter environ 10 lots. Les travaux ont avancé rapidement, malgré les remarques que je n'oubliais de soulever à chaque occasion : ce lotissement se situe sur une ancienne décharge de Villé. En vain, les travaux ont continué jusqu'à ce qu'on s'est rendu compte qu'en creusant un sentier piéton, le bulldozer déterrait des milliers d'ordures, et surtout des bouteilles. Ce qui m'a fait dire que j'étais en accord avec monsieur le maire, Villé se situait bien sur la route du ... vain. Sans fondations, les parcelles auraient-elles toujours été vendables, au prix du surcoût d'un certain enrochage ?

Et voilà, comment sur un ancien dépôt d'ordures, on arrive à imaginer un éco-quartier ! Un comble ! Et ceci avec le concours de l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) , et des sociétés "Mercure" et "Eolia" , le tout financé par "le Grand Emprunt de l'Etat" (évoqué au moment du "Grenelle de l'Environnement", est-il encore d'actualité, ou du moins l'enveloppe est-elle encore si importante que prévu ?). Et autre comble ! on imagine un logement collectif au bas du lotissement ! Quel agent immobilier va s'intéresser à un tel terrain ? Il est vrai qu'à une époque, certains ont même signé une pétition contre des logements collectifs en quartier résidentiel ! On me répondra peut-être que là ce sera un quartier ... résiduel. Toujours est-il que selon le maire, la mise à disposition se fera fin 2011. A quel prix ? à voir. Et tout cela, bien sûr, en n'oubliant pas qu'on veut oeuvrer dans la continuité de la première tranche, c'est-à-dire d'offrir des terrains à bon prix aux jeunes villois ou val-de-villois ? Mais en mettant en avant, "le comportement piétonnier des habitants, le vélo, le covoiturage, les déchets verts et les énergies renouvelables"!  Utopie, quand tu nous tiens ! ou, qu'est-ce qu'ils ne feraient pas ces apparentés UMP de la dernière heure pour s'attirer les faveurs de quelques écolos ! Et comme si l'écologie c'était un simple jeu ! 

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Le lotissement terminé, il va falloir tout réaménager pour en faire un éco-quartier ?

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C'est en aménageant ce sentier, qu'on a découvert des milliers de bouteilles. 

On a continué les travaux car Villé est sur la route du ... vain.

  • NB : toutes les affirmations peuvent comme toujours sur ce blog être prouvées par des documents. En l'occurrence, la consultation des registres de PV du conseil municipal et des budgets sont à eux seuls édifiants. 
8 mai 2011

Villé sera présent au "Naturparkmarkt" à Elzach

45003894_p_590_450Cette année, des commerçants et producteurs se déplaceront à Elzach pour participer au traditionnel "Naturparkmarkt" (marché des produits naturels du terroir) qui a lieu à Elzach depuis 2008. Cette année, c'est le dimanche, 15 mai (11h à 17 h) qui a été retenu pour cette manifestation, où participera la ville jumelle de Villé. Une occasion pour les villois d'y faire un tour et ramener des produits de la vallée de l'Elz et de la Forêt Noire, et pour nos dirigeants municipaux de trouver des idées nouvelles pour faire progresser le marché du terroir du bourg-centre et éviter qu'il ne périclite.

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24 mars 2010

Ecologistes pour les centrales nucléaires

centrale_nucleaireLes mouvements écologistes sont nés, fin des années 60, début des années 70, avec la lutte contre la construction des centrales nucléaires. Et dès 1974, au nom de l'écologie, René Dumont s'est présenté aux élections présidentielles liées au décès de Georges Pompidou, où il a obtenu 1,32% des suffrages. Aujourd'hui, ces mouvements ont bien changé et on y trouve de tout, même des défenseurs des centrales nucléaires. Il est vrai que par ces temps de crise, où l'électricité produite par le nucléaire est de loin la moins chère, l'achat  de centrales a un net attrait pour les pays dits "en voie de développement". L'inquiétude a également changé et la lutte contre les gaz à effet de serre est devenue primordiale. Et même à Copenhague cette lutte a été évoquée avec un remède: le développement des centrales nucléaires. Une association des écologistes pour les centrales nucléaires a même son blog :

Association Ecologique Pour le Nucléaire

Chacun peut le consulter et se faire une opinion, et même laisser son commentaire.

12 novembre 2009

A quand les produits bio pour tous ?

levardOlivier Levard, journaliste à TF1-News et LCI-radio vient de faire paraître une étude concernant les prix des produits bio :

"Ceux qui trouvent le bio hors de prix seront confortés par cette étude. Contrairement au discours officiel d'un prix supérieur de 20 à 30%, les produits bio coûtent en réalité 72% plus cher que les produits conventionnels correspondants. Ce sont en tout cas les conclusions d'une enquête menée par le magazine spécialisé Linéaires dans son édition de novembre. Le magazine a comparé les prix de plus de 600 "produits conventionnels et bio. Les produits bio coûtent 72% plus cher que les produits conventionnels correspondants, contrairement à un discours officiel avançant un prix supérieur de 20 à 30%, selon une enquête menée par le magazine spécialisé Linéaires dans son édition de novembre. Le magazine a comparé les prix de plus de 600 "produits conventionnels et bio strictement comparables en termes de marque, de recette, et de format/conditionnement" dans quatre enseignes, Leclerc, Carrefour, Intermarché et Géant Casino parmi, "les plus impliquées dans la vente de bio", notamment via leur offre de produits de marques de distributeurs. l_edition_de_novembre_du_magazine_specialise_lineaires_4052600ldwgw_1379Les relevés de prix ont été réalisés à Rennes entre le 8 et le 12 octobre. "Manger bio coûte en moyenne 72% plus cher", conclut cette enquête. De son côté, la directrice de l'Agence Bio, Elisabeth Mercier, interrogée par le magazine, indiquait : "entre 20 et 30% plus cher, c'est bien ce que me disent les responsables des enseignes à chaque fois que je les rencontre". Près d'un produit sur trois "dépasse les 90% de différentiel", indique Linéaires. Par catégories de produit, la charcuterie et le traiteur bio coûtent 95% de plus, les fruits et légumes 90%, l'épicerie sucrée 74%, l'épicerie salée 73% et la crémerie 57%. Selon Yves Marin, fondateur du cabinet de conseil en distribution Dashkoma interrogé par Linéaires, la différence de prix s'explique de plusieurs manières: "les enseignes positionnent l'offre bio en se posant la question: Quel prix le client est-il prêt à payer ? Et en l'occurrence le bio touche une clientèle urbaine, âgée et CSP+ (aisée, NDLR), qui n'est pas très regardante sur les étiquettes", estime-t-il. Par ailleurs, "les prix du bio reflètent l'inadéquation de l'offre et de la demande. Tout le monde rame pour obtenir de la marchandise, on gère une pénurie, donc l'heure n'est pas encore au discount", indique-t-il. Bref, le bio est encore loin d'être à la portée de toutes les bourses ! 

logAudience

24 juillet 2009

L'ouverture "Juppé - Rocard"

rocardjuppeEn nommant au nom de l'ouverture Michel Rocard président, avec le chiraquien Alain Juppé, de la "commission sur la contribution climat-énergie", le président de la république a eu "un coup de génie" qui fait l'unanimité contre lui. Et pour preuve, voici les éditoriaux de deux quotidiens qui n'ont rien de commun entre eux, "Libération" et "L'Est Républicain". Merci Nicolas !

LIBERATION : En quelques minutes de déclarations radiophoniques, Michel Rocard a réussi le tour de force de formuler des propositions incompatibles avec les engagements du chef de l'Etat, de se contredire, de jeter un doute sur sa culture politique et d'esquisser une des «usines à gaz» les plus improbables jamais produites par l'imagination fiscale des énarques. L'idée rocardienne de prélever 8milliards, l'an prochain, sur une économie qui ne sera pas encore relevée de la crise, dont 4,3milliards sur les revenus des ménages qui sont les derniers soutiens de la croissance par leur consommation, cette idée baroque se heurte à la déclaration de Nicolas Sarkozy au Grenelle de l'Environnement: «Je suis contre toute fiscalité supplémentaire qui pèserait sur les ménages et les entreprises.» Michel Rocard se contredit lui-même à deux reprises. Il déclare d'abord que l'objectif est de «peser sur les comportements». Puis il reconnaît qu'il s'agit surtout «d'amorcer une réorganisation des prélèvements obligatoires en faisant évoluer la fiscalité des entreprises». Enfin, il laisse échapper que son projet vise à «renforcer la compétitivité des entreprises». Le glissement sémantique de l'écologie vers la compétitivité est un aveu: il s'agit de transférer sur les ménages le coût de la suppression de la taxe professionnelle qui soulagera les entreprises. La mémoire politique de ce vieux socialiste est prise en défaut lorsqu'il promet que les milliards ponctionnés ne serviront pas à limiter le déficit de l'Etat. Il était déjà énarque quand l'illustre Paul Ramadier détournait le produit de «la vignette pour les vieux» afin de financer la guerre d'Algérie. Enfin, les mécanismes, incroyablement compliqués, retenus au nom de «l'acceptabilité» de la taxe, en compromettent la «faisabilité.»

L'EST REPUBLICAIN : François Mitterrand affirmait ne rien comprendre de ce que disait Michel Rocard. Les Français qui l'ont entendu, hier, sur une radio, doivent penser de même. Alors que l'ancien Premier ministre socialiste était censé expliquer la taxe carbone, ils ont surtout retenu qu'il leur faudrait payer plus cher l'énergie d'origine fossile qu'ils consomment ou qu'ils n'avaient qu'à rouler en vélo. Comme opération déminage, il y a mieux.
Pour amadouer les consommateurs, le gouvernement en appelle au réflexe citoyen pour réduire les gaz à effet de serre et joue sur les mots : l'écot qui leur sera imposé constituera une «contribution» au sauvetage de la planète et nullement une « taxe » en vue de combler les trous du budget de l'Etat. Avoir choisi l'inventeur de la CSG pour piloter le groupe d'experts n'a rien de rassurant, puisque celle-ci n'a cessé d'augmenter en perdant une partie de sa déductibilité de l'impôt sur le revenu. La promesse d'une compensation pour les ménages les plus modestes ou pour ceux qui sont obligés de prendre leur voiture et de se chauffer au fuel a de fortes chances de suivre le même chemin. Nicolas Sarkozy s'est engagé à ce que la taxe carbone n'augmente pas les prélèvements obligatoires, mais le rapport s'en tient à des généralités sur la question. Si la manne espérée de 8,3 milliards - au début - compense la suppression annoncée de la taxe professionnelle, les entreprises applaudiront. Qu'en sera-t-il pour les ménages qui y participeront pour plus de moitié ? Michel Rocard renvoie vers Bercy pour apporter une réponse. Autant dire que les foyers ne récupéreront pas grand-chose des 300 € que la moitié d'entre eux devront débourser la première année.
L'ancien Premier ministre assure qu'il s'agit avant tout de « changer le comportement énergétique des Français ». Mais il y a ceux qui ne peuvent pas et si la redistribution compense effectivement, cela ne modifiera rien. Sauf à monter une nouvelle usine à gaz qui pénalisera les classes moyennes. Prétendre rendre populaire une taxe relève de l'impossible.

Chantal Didier

L'UFC Que Choisir réagit :

Le projet de Michel Rocard, est un « hold-up fiscal sur le mode de la vignette automobile des années 1960-1970 », a dénoncé hier l’UFC-Que Choisir. L’association de défense des consommateurs souligne qu’elle « combattra ces propositions qui, si elles étaient adoptées par le gouvernement, constitueraient le pire des scénarios pour le pouvoir d’achat des consommateurs ».
Pour l’UFC, «la seule voie de passage acceptable est le dispositif du chèque vert, où l’ensemble des recettes fiscales est restitué aux consommateurs, sous forme d’une allocation qui maintient une incitation individuelle tout en tenant compte des disparités des ménages ».

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