Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

9 mars 2013

Heb'di s'incruste dans le Val de Villé

Le mensuel satirique Heb'di vient de paraître ! Médaille d'or au Val de Villé avec deux articles bien sentis ! Chers élus de la vallée, si vous voulez trois marches sur le podium le mois prochain, 

REMUEZ - VOUS !

colmar

magicien1

Et la "zone" de Maisongoutte, là où on a l'habitude de cacher chaque sou dans une chaussette !

ohmeis

Publicité
8 mars 2013

La traçabilité de Sarkozy ?

atilaL'ancien président Nicolas Sarkozy s'est interrogé sur "le mariage pour tous" et la "traçabilité" des enfants, selon des propos rapportés par l'hebdomadaire "Valeurs actuelles" du 7 mars. "Les Français sont moins en colère qu'effrayés. Quand on pense que le sujet du moment, c?est la traçabilité du bifteck. Tout le monde veut savoir s'il y a du cheval dans ce qu'on mange", a affirmé M. Sarkozy, selon l'hebdomadaire. "Mais la traçabilité des enfants, qu'est-ce qu'on en fait ? C'est tout de même plus important. Avec leur mariage pour tous, la PMA, la GPA, bientôt ils vont se mettre à quatre pour avoir un enfant. Et le petit, plus tard, quand il demandera qui sont ses parents ? On lui répondra: +désolé, il n'y a pas de traçabilité+", poursuit, selon Valeurs actuelles, l'ex-chef de l'Etat.L'hebdomadaire de droite, sorti jeudi, fait sa une sur l'ancien président auquel il consacre un long article intitulé: "Dans la tête de Sarkozy".

Et la traçabilité de Nicolas Sarközy de Bocsa, originaire de Hongrie, vous la connaissez ? N'est-ce pas dans la plaine du Danube que se sont installés les Huns (ancêtres des Hongrois) ? Alors la "traçabilité" de Sarkozy ? un descendant d'Attila, ce Barbare qui a ravagé l'Europe entière ? A voir ce qu'il a réussi en cinq ans avec sa cousine germanique (ou germaine ?) Angela, on ne doit pas être loin de la réalité...

7 mars 2013

Images du Mali

Une compilation des séquences filmées par l'armée du 9 février au 1er mars a également été mis en ligne dimanche dernier.

VIDEO. Des images de l'opération Serval

6 mars 2013

A propos d'une affaire d'esclavage en France

2567871_escla_640x280Toutes les medias françaises et ivoiriennes se sont saisies et émues du sort de Charlotte, cette jeune ivoirienne de 14 ans, achetée à sa famille de Dabou et emmenée à Cavaillon, dans le Vaucluse, où elle a été exploitée par une famille comme domestique, une famille dont le père était ivoirien et la mère française ! 4500 € a été le prix donné aux parents de la jeune fille, à qui on a laissé espérer de pouvoir fréquenter les meilleures écoles et d'avoir un avenir doré ! La réalité est toute autre : amenée clandestinement en France, enfermée, devant partager sa chambre avec un Togolais en situation irrégulière, son travail consistait à faire le ménage, s'occuper des deux enfants du couple, travail donnant pour tout salaire des coups de cravache, amenant la fillette à s'enfuir et à se rendre au commissariat. La police française a arrêté le couple et leur ami togolais et ils passeront en jugement le 15 mars prochain.

On apprend en même temps que le cas n'est pas unique, mais que 30 nouveaux cas d'esclavage sont découverts tous les ans en France. Incroyable ! En tous cas, on ne peut plus parler de cas exceptionnels, mais on devrait plutôt évoquer des filières, des réseaux ! Mais ceux-là n'apparaissent nulle part et ne seront certainement jamais ni arrêtés, ni jugés, ni condamnés.

3520220015969C'est ce qui ressort d'une autre affaire, un peu plus ancienne certes, mais qui est du même goût. Il y a une dizaine d'années, une tante éloignée vivant à Paris vient chercher en Côte d'Ivoire sa nièce Aline, 13 ans, qui vit avec son père et de nombreux frères et sœurs. Sa mère, elle ne l'a jamais connue. Aline se souvient de cette visite : « La tante a dit à mon père qu'elle souhaitait prendre une de ses filles pour qu'elle s'occupe de son bébé à Paris. Mon père a accepté de me confier à elle à condition qu'elle m'inscrive à l'école. Ensuite le mari de ma tante est venu me chercher et j'ai quitté la Côte d'Ivoire le lendemain matin. Je n'ai plus jamais revu mon père. » Elle continue : « Pour mon père, la France, c'était le paradis, il se disait que j'allais réussir, et moi je pensais que c'était bien car en Afrique on écoute toujours ses parents. » Mais pour Aline, le calvaire commence. Les tâches ménagères s'accumulent, et dès cinq heures du matin ! Elle dort dans la chambre des enfants, mais parterre. Un jour elle apprend la mort de son père, la tante et son mari déménagent souvent, de peur d'être découverts, après que le mari ait tenté de la violer. Finalement, au bout de 7 ans, Aline est mise à la porte. Elle se retrouve à la rue, sans papiers, sans passeport, sans argent. Elle trouve refuge chez la fille d'amis de sa tante. Elle a déposé plainte contre sa tante, mais le procès n'a jamais eu lieu car les témoins se sont rétractés au dernier moment. La tante, quant à elle, est devenue la chanteuse « à la crinière de feu », sous le nom de Dadie Clarisse (son blog : http://clarisse-dadie.blogspot.fr/ ), et présidente de l'association « les orphelins du monde ».  Un comble !

okparaComme quoi, les bourreaux ne sont pas toujours dans les milieux que l'on croit. Rappelons-nous l'affaire Godwin Okpara, ex-joueur de football du Standard de Liège, puis du Racing-Club de Strasbourg puis du Paris-Saint-Germain, international nigerian des années 2000, qui, avec son épouse, avaient adopté une fillette de 12 ans, Tina, pour mieux la réduire à l'esclavage et à l'état d'objet sexuel. Longtemps, la plainte de la jeune fille n'a pas été prise en considération car c'était sa parole contre celle d'un footballeur célèbre. Mais finalement, le couple Okpara a quand même été jugé : Godwin s'est pris 10 ans de prison, son épouse Linda 15 ans !

 L'affaire Okpara a mis en relief les manquements, à la fois de la justice française et des instances africaines. En effet, le code pénal français ne prévoit ni le délit de servitude, ni le délit d'esclavage. Il a fallu une affaire plus récente, celle de deux enfants burundais, « accueillis » par leur oncle et leur tante, des notables installés dans la région parisienne. L'oncle, ancien ministre burundais, reconverti « fonctionnaire de l'UNESCO », et la tante furent condamnés en première instance le 17 septembre 2007, mais furent relaxés en appel. Mais l'affaire a été portée devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme et ce n'est que le 11 octobre 2012 que ce tribunal estime dans son arrêt que « la France a failli à son devoir de mettre en place un cadre législatif et administratif permettant de lutter efficacement contre la servitude et le travail forcé ». L'aînée des victimes a obtenu 30000 € au titre des préjudices subis, la cadette a été indemnisée par la justice française. Quant aux fournisseurs d'enfants, dans les pays d'origine, ils courent toujours !

 NB : 2/3 des enfants esclaves sont d'origine africaine, 1/3 d'origine asiatique.

5 mars 2013

Le Bundestag modifie la loi sur la chasse

chasse1Le Bundestag vient de renforcer les droits des propriétaires terriens et de créer des zones d'interdiction de chasser. Evidemment, les chasseurs sont mécontents. Certains, tel le porte-parole du syndicat des chasseurs Ulrich Baade,  prétendent que la loi est inapplicable. Et de se poser des questions : "Comment les chasseurs pourront-ils reconnaître une zone sur laquelle le propriétaire interdit la chasse ?" Autre question non moins importante: "Comment empêcher les sangliers de faire des dégâts dans les zones d'interdiction ?" Et une autre encore : "Que faire d'une bête blessée qui se traîne dans une zone de non-chasse ? Faut-il la laisser souffrir ou l'abattre ?" La décision du Bundestag se base sur une directive de la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Les juges européens ont estimé que la chasse était une atteinte au droit de propriété ! Jusqu'à maintenant, les propriétaires de surfaces de plus de 75 ha étaient obligés de participer au comité de chasse le concernant. Mais un propriétaire terrien du Bade-Württemberg avait porté l'affaire en justice. Les juges strasbourgeois ont estimé qu'on ne pouvait imposer cette charge au propriétaire. Et que se passerait-il en Alsace, où le régime de la chasse est très particulier si un recours avait lieu devant cette même Cour de Justice ? A voir.

Publicité
4 mars 2013

Des tramways espagnols à Fribourg-en-Brisgau

69461210_w_479

Ils roulent déjà à Lisbonne et Bilbao, bientôt à Sidney en Australie en, en 2015, à Fribourg, ces tramways venant d'Espagne. Ils sont réputés pour être élégants et silencieux. En France, ces tramways équipent aussi la ville jumelée de Besançon. Fribourg a opté pour 12 rames de l'industriel espagnol CAF. Cette société basque a plus d'un siècle d'expérience et a été choisie parmi les quatre firmes ayant déposé une offre. Actuellement, elle a une gamme de produits allant d'un modèle large au type Urbo plus rapide. Fribourg aura des rames URBO longues de 23 à 43 mètres, avec possibilité de guidage dans les deux directions. La technique d'accumulateurs électriques permet à la rame de rouler encore 1,4 km en cas de panne électrique. Fribourg est ainsi la première ville allemande à se lancer dans l'Urbo-Tram.

3 mars 2013

Où l'on reparle de la forêt privée

foretpLe Conseil Général du Bas-Rhin a délibéré en date du 7 janvier dernier à propos de la restructuration foncière de la forêt privée. Réaménagement nécessaire vu la surface microscopique des parcelles (5 ares en moyenne dans certains de nos villages). Autant dire que ce sont des propriétés forestières sans intérêt, souvent à l'état d'abandon, voire inconnues de leurs propriétaires. Il serait donc intéressant que les communes prennent des initiatives, telles que l'aménagement de chemins, le regroupement et le réabornage des parcelles. Et pour ceux qui veulent aller plus loin, la mise en commun et l'exploitation au sein d'une association de propriétaires.

Voici donc la délibération du Conseil Général qu'on pourrait espérer aller dans le sens que nous venons de décrire :

consgen 

Analysons de plus près cette sympathique délibération. Possédant des forêts sur les communes de Villé, Albé, Saint-Martin et Breitenbach, je n'ai vu depuis 20 ans que deux réunions d'information d'un animateur foncier forestier à Breitenbach, rien dans les trois autres communes ! Alors 158.400 € pour un animateur de 2013 à 2015, est-ce bien justifié ? Quant à l'association "Bois & Forêts", que j'ai vu une fois à une réunion à Breitenbach, elle n'a pas semblé intéressée pour s'investir ! Et toutes les autres subventions iront à de grandes entreprises, pas aux petits propriétaires !

Pour accéder à ces parcelles, des chemins  doivent être créés et entretenus, parfois par la commune, parfois par une une association foncière, comme à Breitenbach ... où le remembrement a eu lieu depuis plus d'une décennie, la première assemblée générale constitutive (pour l'élaboration des statuts) il y a 2 ans à peine, et l'élection d'un comité est toujours attendue.

2 mars 2013

Mali : l'arsenal des djihadistes inquiète de plus en plus

Fusils d'assaut américains, roquettes russes, explosifs et uniformes de l'armée malienne afin de s'infiltrer : les caches d'armes jihadistes mises à jour dans le nord du Mali préoccupent les états-majors.

maliObus de chars, lance-roquettes multiples, fusils de précision, M16 : dans la région de Gao (nord), l'armée malienne doit faire face à un ennemi autant, voire mieux équipé qu'elle, la principale menace restant, selon les militaires français, les engins explosifs artisanaux. Alignés sur la base 1 de l'aéroport de Gao, aux côtés de fusils d'assaut américains M16, de fusils de précision de fabrication tchèque, et autres roquettes russes ou chinoises, des explosifs et des détonateurs mais aussi des uniformes de différents corps de l'armée malienne.

Pour le colonel-major Didier Dacko, commandant opérationnel de la zone, « l'impression qu'on a, c'est qu'eux et nous (armée malienne) avons quasiment les mêmes armes, sauf la troisième dimension, l'aviation, qu'ils n'ont pas ». « Ils ont aussi des engins blindés, mais on s'est rendu compte qu'ils ne savaient pas les utiliser ou les réparer », relève-t-il.

« Ca nous donne une idée d'une armée, en fait des organisations qui ont les capacités d'une armée, la capacité de destruction d'une armée », a déclaré pour sa part le colonel Laurent Mariko, commandant de la zone de Gao, lors d'une présentation dimanche à la presse d'armements saisis depuis le 26 janvier, date de la reprise de la principale ville du nord du Mali aux islamistes armés qui l'occupaient depuis dix mois.

Ces armes, récupérées par les forces spéciales maliennes, l'armée française ou encore par des groupes de « jeunes patriotes », proviennent de « stocks de l'armée malienne -il y a eu des défections massives avec des capacités militaires-, mais aussi de la gendarmerie sénégalaise ou d'autres pays limitrophes », a indiqué le colonel Mariko. Au milieu du stock d'armes, un panier de roquettes de fabrication russe, à monter sur hélicoptère, mais aussi des autocollants du drapeau des Emirats arabes unis, présentés par erreur à la presse comme « libyens ».

 La crainte des IED

Les forces françaises s'inquiètent en particulier de la découverte d'IED (Improvised Explosive Device), qui étaient déjà leur cauchemar en Afghanistan. « Ce qui nous inquiète le plus ce sont les moyens artisanaux mis en oeuvre, avec les roquettes, notamment de 122 », déclare le colonel Denis Mistral. Selon lui, « les groupes armés jihadistes arrivent à mettre en place des systèmes télécommandés avec des téléphones et ils le font pour faire peser une menace permanente sur la ville de Gao ».

« On cherche ces systèmes-là en permanence de manière à les détruire. On en a encore trouvé la nuit dernière. C'est une des choses difficiles à gérer », ajoute-t-il, soulignant qu'« il faut innover en permanence, de jour et de nuit, pour surprendre l'ennemi ». Selon des sources militaires maliennes et françaises, plusieurs des éléments islamistes infiltrés jeudi au centre de Gao étaient porteurs de ceintures d'explosifs. Un IED avait été installé précisément à l'entrée des jardins de la mairie, mais les démineurs français ont découvert que son artificier n'avait pas eu le temps de l'activer. (extrait de "Les Echos.fr)

1 mars 2013

Louise, la "Bernadette Chirac" alsacienne !

une_premiere_seance_pour_louise_richertPhilippe Richert, on ne le présente plus ! Mais sa digne épouse, vous la connaissez ? Louise Richert, conseillère générale du Bas-Rhin ! Et selon les dernières délibérations du Conseil général, elle est même montée en grade ! Sûr, la famille Richert est contre le cumul des mandats !

richertlouise

28 février 2013

Ecotaxe sur la RN 59 : et quoi encore !

rn5912013 : l'écotaxe pour les poids-lourds (ou taxe Bur, du nom de son inventeur le député alsacien UMP Yves Bur) va être mise en place ! Non mais sans blagues, faire le test à partir du 1er avril sur la RN59 qui est la route d'accès au tunnel de Sainte-Marie-aux-Mines qui lui-même est payant, voilà qui relève de l'irresponsabilité ! C'est envoyer un peu plus les camions dans les cols par tous les temps ! Bonjour la sécurité ! Lorsqu'on discute avec les élus, tous promettent une baisse du péage et dans les faits ils l'augmentent ! Nous leur rappellerons toujours que la RN 59, c'est 90 morts sur 25 km en 30 ans ! Messieurs les élus, faites ce que vous promettez aux élections, pas ce que voulait un seul élu aujourd'hui minoritaire avant les élections !

Publicité
Publicité
Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
Derniers commentaires
Archives
Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
Visiteurs
Depuis la création 2 249 185
Publicité