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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

27 novembre 2015

Des nouvelles du Conseil Départemental

 

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C'est bien  souvent que le Conseil Départemental 67 prend des délibérations concernant le Val de Villé. Les citoyens, voire les élus, sont rarement informés. Il serait pourtant intéressant que notre binôme d'élus fasse paraître un bulletin d'information. En attendant, voici les délibérations du mois d'octobre qui concernent deux communes de la vallée.

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26 novembre 2015

Une réunion du conseil municipal de Villé

Quelques jours avant le "Noël des coeurs", le maire de Villé invite à une réunion du conseil municipal mardi, 1er décembre à 20 h 00 !

Ordre du jour

 

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1) Décision budgétaire modificative n° 3

2) Renouvellement d'une ligne de trésorerie

3) Autorisation de mandatement anticipé des dépenses d'investissement pour 2016

4) fixation des tarifs pour 2016

5) détermination des critères d'évaluation de la valeur professionnelle

6) gratification de fin d'année

7) tableau des effectifs pour 2016

8) transfert de propriété des chalets en bois

9) intercommunalité : schéma de mutualisation des services

10) programme des travaux forestiers pour 2016

11) agenda d'amélioration programmée de l'accessibilité des bâtiments communaux

12) divers

13) communications du maire

La réunion est ouverte au public !

23 novembre 2015

RN 59 : plus de questions que de réponses

Le maire de Châtenois s'était fâché tout net après la décision pour l'APRR de baisser le coût du péage de Sainte-Marie-aux-Mines et s'était fendu d'un courrier au ministre des transports Alain Vidalies. Ce dernier vient de donner des précisions. Si le ministre avoue une augmentation du trafic des poids-lourds, il la chiffre à 750 camions/jour provisoirement.

Il faut mettre un gros point d'interrogation sur ce chiffre : avant la fermeture du tunnel en 2000, le trafic poids-lourds à Châtenois (giratoire de Val de Villé) à 1600 par jour, et comprenait les transports locaux, interrégionaux et internationaux ou de grand transit. Il semble qu'on s'achemine vers le maintien d'une interdiction pour le grand transit, qui représente 10 à 15% des poids-lourds sur cette route. Avec les arrêtés pris dans ce sens, on arrivera donc à 1300 à 1400 passages de camion par jour.

On ne peut que rester très sceptique sur la manière de limiter le trafic à 750 poids lourds/jour. Quant au tronçon Val de Villé - Lièpvre, ne rêvons pas, il n'est pas inscrit au Contrat de Plan Etat - Région.

vidaliesArticle des DNA du 22/11/2015

 Richert, la langue de bois 

Evidemment, le président - candidat aux Régionales n'a pas pu s'empêcher de venir en parler à Châtenois avec une langue de bois bien sculptée. Selon lui, l'Etat ne s'est pas encore engagé à entreprendre les travaux. Et de qui se moque-t-il donc ? lui qui, président du conseil général du Bas-Rhin en 2003, a transféré les fonds prévus pour la RN 59 (contournement de Châtenois et tronçon Val de Villé - Lièpvre) vers Mertzwiller. Sans ce transfert, peut-être, au lieu d'attendre les premiers bulldozers pour 2017, aurait-il déjà vu depuis longtemps les derniers engins partir. Mais pardonnons-lui cet oubli, il est en campagne et il a d'autres chats à fouetter. Le jour des élections, les riverains et les usagers ne l'oublieront pas.

richert

22 novembre 2015

Téléthon 2015

A Thanvillé 

telethon

21 novembre 2015

Chemin de fer africain : Bolloré bloqué par Rocard

Selon des informations de Challenges, confirmées par Reuters, la société française Geftarail demande à la Cour internationale d’arbitrage l’arrêt des travaux lancés sur le tronçon Cotonou-Niamey de la boucle ferroviaire que construit le groupe Bolloré depuis 2014, un différend très sérieux opposant les sociétés de Vincent Bolloré et celles qui sont soutenues par l'ancien premier ministre Michel Rocard.

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Le bureau d’étude français Geftarail et sa filiale nigérienne ont enclenché une procédure auprès de la Cour internationale d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale à Paris en vue d’obtenir l’arrêt les travaux sur la boucle ferroviaire ouest-africaine lancée par Vincent Bolloré, a rapporté l’agence Reuters le 17 novembre, citant des documents judiciaires et confirmant ainsi une information de l’hebdomadaire français Challenges. La procédure concerne le tronçon entre Cotonou et et Niamey, dont les travaux ont démarré l’an dernier et pour lequel Bolloré a signé des conventions avec les gouvernements béninois et nigérien.

Pénalités

Geftarail et sa filiale Africarail, fondées par l’expert français Michel Bosio avec l’appui de l’ancien Premier ministre Michel Rocard, indiquent avoir ratifié dès 1999 un protocole d’accord avec le Niger, le Bénin ainsi que le Burkina Faso et le Togo pour la conduite d’un projet ferroviaire similaire à celui mené par Bolloré. La procédure d’arbitrage ne concerne pas le groupe Bolloré mais seulement le Niger et le Bénin. Geftarail et Africarail demandent au tribunal arbitral d’ordonner à ces deux pays de stopper les travaux sur la ligne ferroviaire. Les plaignants exigent en outre une pénalité de 50 000 euros pour chaque jour de retard pris dans l’application de ces mesures ainsi que des dommages et intérêts dont le montant n’a pas été spécifié.

Consortium

Contacté par Reuters, Michel Bosio a réaffirmé que la procédure lancée à Paris n’était pas dirigée contre Vincent Bolloré. « La solution que nous proposons est que, plutôt qu’il mène seul le projet ferroviaire et en violation de nos droits, nous créions un consortium pour obtenir un financement pour cet important projet de développement”, a-t-il expliqué.

Geftarail n’est pas le seul acteur à contester l’attribution au groupe Bolloré des concessions pour cette boucle ferroviaire. C’est également le cas de l’entrepreneur béninois Samuel Dossou, qui indique avoir également signé des accords avec les États partenaires de cette boucle ferroviaire.

Le groupe Bolloré estime ne pas être concerné par ces contestations, rejetant vers les États la responsabilité “des droits antérieurs qu’ils auraient pu accorder à des tiers”, avait indiqué Vincent Bolloré au quotidien Le Monde en septembre. (selon "Actu Bénin")

Pour l'instant ce sont les pays africains concernés, déjà bien pauvres, qui paient les pots cassés du fait des retards dans l'amélioration de leurs infrastructures de transports.

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20 novembre 2015

Drapeau français en berne à Elzach

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Elzach, jumelé avec Villé, et Waldkirch, jumelé avec Sélestat, ont manifesté leur solidarité, en hissant à demi-mât sur la façade de sa mairie, un drapeau français. Beaucoup d'habitants de ces deux agglomérations ont aussi des amis parisiens.

Lors du dernier concert de jazz à Walkirch ce mercredi, le quartett "Jazz und Swing" a débuté par le célèbre "I love Paris" de Franck Sinatra.

19 novembre 2015

Le "cerveau" a-t-il été abattu à Saint-Denis ?

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Abdelhamid Abaaoud, cerveau présumé des attentats du 13 novembre, ferait partie des terroristes tués ce mercredi 18 novembre lors d'un assaut du RAID et de la BRI à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), selon Claude Moniquet. L'ancien membre de la DGSE et expert en contre-terrorisme était l'invité de RTL Soir. Il s'appuie sur trois sources différentes, deux en France, une en Belgique, dans les milieux sécuritaires. 

Alors que les enquêteurs pensaient dans un premier temps qu'il se trouvait en Syrie, Abdelhamid Abaaoud était la cible de l'opération policière démarrée à 4h30 ce matin. Des vérifications sont en cours pour savoir si le jihadiste belge, surnommé Abou Omar al-Baljiki, se trouvait dans l'appartement ciblé. Sept personnes ont été interpellées ce matin. Cinq d'entre eux sont suspectés d'être des terroristes ou des potentiels terroristes. Les deux autres sont suspectés d'être leurs complices.

En plus d'Abdelhamid Abaaoud, les enquêteurs traquent toujours Salah Abdeslam, 26 ans, soupçonné d'être l'un des tireurs qui ont mitraillé vendredi les terrasses de cafés et restaurants parisiens, avec son frère Brahim Abdeslam, qui s'est fait exploser. L'homme est activement recherché, notamment en Belgique, où les attaques ont été organisées selon les autorités françaises. (selon RTL)

  • Confirmation ce jour à 13 h : Le procureur de Paris confirme que le cerveau Abdelhamid Abaaoud a été abattu à Saint-Denis ! 
18 novembre 2015

Un djihadiste évadé de prison ?

Un détenu musulman radicalisé s’est évadé de la prison de Clairvaux, dans le département de l’Aube en France depuis trois semaines, ont annoncé, ce mercredi, des sources proches du dossier. Il s’agit d’Eric Youssef qui après une permission, n’est pas revenu à la maison centrale de Clairvaux. Est-il en lien avec les attentats de Paris commis le 13 novembre dernier ?

prison

Moins d’une semaine après les attentats de Paris qui ont coûté la vie à au moins 130 personnes et fait plus de 200 blessés, une source proche du dossier a annoncé, ce mercredi, qu’un détenu musulman radicalisé s’est évadé de la maison centrale de Clairvaux dans le département de l’Aube. Il s’agit d’un certain Eric Youssef.

« Le détenu s’est évadé , il y a environ trois semaines à l’occasion d’une permission de sortie », affirme une source proche du dossier. Ce dernier alors en permission n’a jamais regagné la prison de Clairvaux. Connu pour sa radicalisation à l’islam durant sa détention, son non-retour à la maison d’arrêt suscite la controverse.

En effet, certains membres du personnel administratif de la prison se sont opposé à la permission de ce détenu qualifié de « vindicatif ». Frédéric Stoll, syndicat de FO-pénitentiaire, s’est dit « étonné » d’une permission pour un tel détenu qui avait été condamné en 2006 à vingt ans de réclusion pour le meurtre d’un commerçant à Versailles, en 2004.

Une information qui pour l’heure n’a pas été confirmée par la Direction interrégionale des services pénitentiaires (DISP) dont dépend la prison de Clairvaux. Toutefois, s’il s’avère que le détenu s’est bien évadé quelques jours avant les attentats de Paris, son lien avec les terroristes pourrait être établi. (publié par "Afrik.com")

17 novembre 2015

La Suisse a des banques, mais aussi des djihadistes

Enquête sur la piste de djihadistes suisses

16 novembre 2015

Vendredi, 13 novembre : Mabrouk Soltani, une autre victime de DAESH

Alors que huit terroristes provoquaient un carnage à Paris, ce même vendredi 13 novembre, les djihadistes de DAESH décapitaient dans la campagne tunisienne un jeune berger de 16 ans et faisaient rapporter la tête à sa famille par son jeune cousin de 14 ans. 

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Vendredi, en fin d’après-midi, la famille Soltani reçoit la tête de Mabrouk par le biais de son cousin, Hamed (14 ans) qui l’accompagnait au moment de son exécution par des terroristes à Jebel Mghila, dans la délégation de Jelma, gouvernorat de Sidi Bouzid.

Les 2 adolescents, bergers de leur état, ont été croisés par 3 individus armés. Ces derniers leur ont pris 5 brebis. Mabrouk a refusé de leur donner une 6ème. Pour le corriger de leur avoir tenu tête, ils l’ont agressé et ligoté, ainsi que son compagnon. Ils l’ont ensuite  décapité, et mis sa tête dans un sac en plastique qu’ils ont confié à son cousin, en lui intimant l’ordre de rentrer au village et en lui recommandant : "Emmène ça à sa mère et dis lui de faire du couscous avec ! ».  Et de demander aux membres de la famille de venir eux-mêmes chercher le corps !

A son retour au village, l’adolescent a remis le sac au frère ainé de la victime, Jilani, qui l’a conservé dans le frigo familial. C’est en tout cas ce qu’il a raconté aux médias, en déplorant que les autorités ne se soient pas manifestées jusqu’au milieu de la soirée.

chien

Mabrouk Soltani avait été déscolarisé à cause des difficultés financières de la famille. Son père étant décédé et sa mère, Zohra, est aveugle. Il a dû prendre la responsabilité de travailler comme berger et de sillonner la montagne pour faire paitre son troupeau et ramasser ce qui pouvait aider à subvenir aux besoins de sa famille. Le matin, vers 10 heures, le berger a quitté la maison, comme à l’accoutumée, mais ce triste vendredi 13 novembre sera son dernier jour. Des soldats de l’armée tunisienne ont été déployés dans la région et des opérations de ratissages sont menées dans la zone montagneuse. C'est le chien du jeune Mabrouk qui a finalement retrouvé son corps.

Mabrouk Soltani est le plus jeune martyr depuis que la Tunisie est en guerre contre le terrorisme. Son jeune cousin est sous le choc de ce qui lui est arrivé. Il a été transféré, hier soir, à l’hôpital régional et son père demande une assistance psychologique.

Une histoire comme il en arrive tous les jours dans le soi-disant Etat Islamique... N'oublions pas que DAESH, Al-Quaïda, AQMI, Ansar Dine, Boko Haram, c'est l'horreur permanente.

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