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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
presse
11 janvier 2014

Hebdi vient de paraître !

Le nouveau Hebdi vient de paraître, avec une page réservée au Val d'Argent

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8 novembre 2013

Honneur au ministre

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Dernièrement un ministre est venu dans le Val de Villé, à Albé très précisément ! Il y a même pris son repas ! Pourtant, son hélicoptère n'a pu atterrir sur l'aérodrome intercommunal ! Il a dû se contenter du terrain de football voisin ! Vous voulez savoir qui est ce ministre ? ce qu'il est venu faire ? pourquoi la garde républicaine ne l'a pas accueilli, ni même les autorités de la vallée. Vous le saurez en achetant le Heb'di du mois de novembre, en vente depuis ce matin !

 

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27 octobre 2013

"Aujourd'hui la Chine", c'est fini.

Le journal du net "Aujourd'hui la Chine" ne vit plus et disparaîtra définitivement le 1er janvier 2014 ! Voici le communiqué de la rédaction :

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"Aujourd'hui la Chine disparaîtra définitivement à la fin de l'année.

Nous avions fait le choix d'une indépendance, féroce, absolue, parfois urticante. L'équipe de journalistes s'est souvent bien amusé, en relayant ici des informations qui ne trouvaient pas leur place ailleurs. Mais l'indépendance n'est pas un gage deréussite économique. Aujourd'hui la Chine n'a tout simplement plus les moyens d'exister.

D'autres sites ont fait d'autres choix. Leurs "articles" sont des publicités déguisées, des "publireportages" que nous avons toujours refusés. Certains s'allient avec d'autres intérêts, qui peuvent les financer, et s'offrir un relais. Aujourd'hui la Chine préfère s'éteindre à ces compromissions.

Amis lecteurs, pas de tristesse, les journalistes qui ont fondé ce site te saluent. Et donnent rendez-vous dans de nouvelles aventures. Car nous n'avons pas fini de raconter la Chine."

L'équipe d'Aujourd'hui la Chine

17 juillet 2013

Afrique : quand les pouvoirs se mêlent de journalisme

On se rappelle du dieu-empereur Bokassa 1er qui présentait, assis sur un nuage, les informations télévisées à son peuple prié de croire ses âneries. Les temps ont changé, mais il reste des vestiges de cette époque dans toute l'Afrique (et pas seulement). Voyez comment les journalistes ont été obligés de réagir au Burkina-Faso.

manifestation_journalistes_ouagadougou_15_juillet_2013Ouagadougou, 16 juillet 2013  – Plus de 200 journalistes des médias d’Etat (radiodiffusion, télévision du Burkina, du Multimédia, des Centres d’émission et des Editions Sidwaya), sur appel du Syndicat des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC), ont observé un sit-in de trois heures au sein du ministère de la Communication, a constaté sur place Koaci.com. Les journalistes des médias publics entendent ainsi exiger l’arrêt de l’ «immixtion» des autorités du ministère de la Communication dans le traitement de l’information au niveau des médias publics.
En effet, une lettre signée du secrétaire général du Synatic, Justin Coulibaly a dénoncé vendredi dernier "l'immixtion" du ministère de la Communication dans le traitement de l'information par les médias publics, notamment lors de la marche de l’opposition politique organisée le 29 juin contre le Sénat.
Mais selon le ministre de la Communication, porte parole du gouvernement, Alain Edouard Traoré, «nulle part il ne s’est opéré une censure sur aucun élément de reportage, et l’accusation portée par le syndicat contre son ministère est gratuite et sans fondement». 
Pour M. Coulibaly, "l'immixtion du pouvoir dans les médias publics ne date pas d\'aujourd'hui, elle commence maintenant à prendre une certaine ampleur".
Les travailleurs des Médias d’Etat exigent également un «statut particulier, la reconstitution des carrières des agents, le rétablissement des rémunérations injustement coupées».

Depuis 2010, la Plateforme revendicative du SYNATIC, où figurent tous ces points, a été déposée au niveau du ministère de la Communication. «Les points évoqués par le syndicat pour justifier l’arrêt de travail ont fait l’objet de plusieurs concertations qui ont abouti à des propositions concrètes de solutions. Mais certains points sont au niveau du Premier ministre (Luc Adolphe Tiao, lui-même ancien journaliste, ndlr) qui travaille à y apporter des solutions», a indiqué le ministre Traoré au cours d’une conférence de presse. 

Fait historique, c’est la première fois que des journalistes des médias publics de l’Etat observent un mouvement d’humeur suivi d’un arrêt de travail.
Satisfait de la mobilisation des manifestants, le secrétaire général du Synatic, Justin Coulibaly a indiqué que le dialogue n’est cependant pas interrompu avec le ministère de la Communication à qui il a adressé le message du syndicat reçu par le secrétaire général du ministère, Adama Barro. Il a ensuite convié les journalistes à une conférence bilan à la bourse du travail.
Avant les journalistes des médias publics, les Gardes de sécurité pénitentiaire avaient, au cours du weekend dernier, observé un arrêt de travail pour exiger un traitement particulier, voire un statut particulier. Bien avant c’étaient les travailleurs de l’Asecna qui observaient une grève de 48heures immobilisant tous les avions à l’aéroport international de Ouagadougou. Les jours à venir risquent encore de connaitre des mouvements avec la manifestation annoncée de la Coalition contre la vie chère (CCVC) le 20 juillet et celle de l’Opposition politique contre le Sénat le 28 juillet, jour des élections sénatoriales.
L'opposition voit au Sénat, jugé «budgétivore» et «inopportun» un moyen pour le président Blaise Compaoré, au pouvoir depuis 1987, de faire réviser la Constitution afin de se représenter au terme de son dernier mandat en 2015. Mais selon le gouvernement, le Sénat votée le 21 juin 2013 et dont le président assurera l’intérim en cas de vacance du pouvoir, vise à «consolider la démocratie» au Burkina Faso. (extrait de Koaci.com)

29 juin 2013

Presse libre à l'africaine

Assale_TiemokoLa Côte d'Ivoire est un modèle de démocratie, la preuve est que Nicolas Sarkozy en a désigné le président Alassane Ouattara, qu'il a lui-même marié à une française lorsqu'il était maire de Neuilly. Pour la forme, il a quand même organisé une petite bataille à Bouaké, avec l'intervention de la force Licorne, qui a coûté de nombreuses vies ivoiriennes et françaises, histoire de faire apparaître l'ancien président comme un tyran sanguinaire. Demandez à Michèle Alliot-Marie, ministre des armées à cette époque ce qu'elle en pense !

Mais notre cher Ouattara n'est pas très réceptif aux cours de démocratie de son mentor, et il a du mal à accepter la presse d'opposition, surtout lorsqu'elle est satirique à la mode "Canard Enchaîné" ! Alors les visites de la DST dans les locaux du bihebdomadaire "L'Eléphant Déchaîné" ne se comptent plus, tout comme les convocations au poste de police ou de gendarmerie. Un peu de ras-le-bol hier a amené tous les journalistes de la rédaction à accompagner leur collègue convoqué à la brigade de renseignements de la Gendarmerie dite Nationale !

A lire dans le quotidien "News Abidjan.net" : "ABIDJAN - Deux responsables du journal satirique et d’investigation ivoirien L’Eléphant déchaîné ont été entendus vendredi par la gendarmerie à Abidjan pour "fuite d’informations sensibles concernant la sécurité" du pays, a-t-on appris auprès de leur avocat. "Le directeur de la publication, Valéry Bony, et le rédacteur en chef et auteur de l’article incriminé, Wenceslas Assohou, ont été convoqués par la cellule d’enquête de la gendarmerie" pour "fuite d’informations sensibles concernant la sécurité de la Côte d’Ivoire", a déclaré à l’AFP Me Emile Suy Bi Gohoré. Cette audition, qui "a commencé à 10H00 (heure locale et GMT) pour s’achever à 16H00", fait suite à "une plainte déposée par le ministre de la Défense (Paul Koffi Koffi) qui souhaiterait avoir les sources des journalistes" à l’origine de l’article, qui reproduisait "des échanges de courriers entre ministres", a-t-il poursuivi. "Aucune charge n’a été retenue" contre les deux journalistes, a précisé Me Gohoré, affirmant qu’il s’agissait de "la toute première convocation" qu’ait connue ce journal. Dans l’article en cause, publié la semaine dernière et intitulé "On se presse lentement pour payer la facture!", le journal a affirmé que le ministère de la Défense tardait à payer des sociétés qui ont réalisé des travaux de réhabilitation d’infrastructures militaires après la crise postélectorale de 2010-2011, qui a fait environ 3.000 morts. L’article reproduisait notamment des documents présentés comme des échanges de courriers entre les ministères de la Défense et de l’Economie. Créé il y a deux ans, L’Eléphant déchaîné, qui paraît deux fois par semaine, s’est rapidement fait une place à part dans le paysage médiatique ivoirien, mêlant révélations sur des scandales financiers et caricatures mordantes, sur le modèle de l’hebdomadaire français Le Canard enchaîné. Dans son éditorial publié dans l’édition de ce vendredi et annonçant cette convocation par la gendarmerie, le directeur de la publication assurait que le journal était "prêt à assumer" les conséquences de ses écrits, au nom du "rêve" de voir une société où la bonne gouvernance serait "la norme".
ck-tmo/lbx

(Vu depuis un satellite français lancé spécialement de la base de Kourou pour superviser cette affaire !)

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12 avril 2013

Bientôt dans tous les kiosques, Heb'di du mois d'avril !

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9 mars 2013

Heb'di s'incruste dans le Val de Villé

Le mensuel satirique Heb'di vient de paraître ! Médaille d'or au Val de Villé avec deux articles bien sentis ! Chers élus de la vallée, si vous voulez trois marches sur le podium le mois prochain, 

REMUEZ - VOUS !

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Et la "zone" de Maisongoutte, là où on a l'habitude de cacher chaque sou dans une chaussette !

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8 février 2013

Des vérités qui font mal

Samedi, dans tous les kiosques et chez tous les marchands de journaux

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26 janvier 2013

Satire en Alsace

hebdi000Nombreux élus à travers le monde n'aiment pas l'ironie à leur égard, quand bien même ils se moquent du monde dans leurs réunions (voyez la dernière réunion du conseil municipal de Villé en exemple). C'est que souvent les journaux satiriques tapent juste ! Et dans un régime démocratique, la presse doit être libre ! A voir la vidéo : Heb'di le mensuel satirique alsacien

15 septembre 2012

A la "une" ?

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