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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
paris
10 avril 2020

Macron : confinement et déconfiture

Emmanuel Macron prend un bain de foule dans les rues de Pantin !

macron4Après avoir visité mardi une maison de santé de Pantin, dans laquelle il avait ôté le masque qu'il portait en entrant, Emmanuel Macron a longuement salué d'en bas de l'immeuble des gens sortis aux balcons. Alors que sa voiture l'attendait, prête à partir pour La Courneuve, le président est alors parti à pied dans une rue perpendiculaire où passaient de nombreuses personnes malgré le confinement. Trente à quarante personnes se sont alors massées autour du chef de l'Etat, beaucoup le photographiant smartphone à la main, avec des cris parfois d'encouragement mais aussi de contestation. L’absence du mètre de distanciation sociale entre le président de la République et ces Français est critiquée par l’opposition.

Les images de cette rencontre ont été filmées par LCI et par de nombreux internautes, ce qui a suscité de nombreux commentaires sur les réseaux sociaux.

Et comme il veut éliminer tous les français contestataires, et le troisième âge pour régler le problème des retraites, il s'est rendu ce jeudi à Marseille !

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14 novembre 2019

Réseau anti-arnaques et "comme j'aime"

Pratique commerciale trompeuse !

Tout le monde a déjà vu à la télévision cette fabuleuse publicité "Comme j'aime". Mais qui sait que cette société a eu affaire à la justice ? A lire : le compte-rendu du "Réseau anti-arnaques", BP 10179, 79205 Parthenay Cedex.

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4 août 2019

Quand la papauté chasse les pauvres

À Paris, le Vatican menace d'expulser une locataire ainsi que son frère et sa sœur handicapés

vaticanUne locataire, ainsi que son frère et sa soeur handicapés, risquent de se faire expulser de leur logement parisien à cause de loyers impayés depuis avril 2015. L'appartement en question appartient au Vatican.

Selon une information du Parisien, Pascale N., une locataire de 59 ans, est menacée d'expulsion, en compagnie de son frère et de sa sœur handicapés, tous deux à sa charge. Son appartement, situé au 41 avenue Bosquet (VIIe), est géré par la société Sopridex au nom de l'Etat souverain du Vatican. N'ayant pas payé ses loyers depuis avril 2015 (même si l'Etat français s'en est chargé à sa place), elle risque aujourd’hui l'expulsion.  

L'avocat de Pascale a assigné Sopridex ce lundi 29 juillet devant le juge de l'exécution (magistrat chargé notamment des expulsions),  dans l'espoir d'obtenir un nouveau délai.

Après leur départ forcé de Tunisie en 1961, les parents de Pascale se sont installés dans un 160 m² au premier étage de l'immeuble, tandis que les travaux n'étaient pas encore achevés. Pascale explique qu'elle a dû s'occuper de ses parents, puis qu'elle a été victime des aléas de la vie : elle a dû abandonner son travail de directrice commerciale. Elle ne payait donc plus son loyer depuis avril 2015. 

À présent , elle touche 1.198 euros par mois, tandis que le montant mensuel du loyer est de 3.700 euros. La dette locative dépasse les 110.000 euros. L'État français rembourse pourtant tous les loyers impayés au Vatican depuis avril 2017.

"Dès que j'ai été incapable de payer, j'ai entrepris les démarches pour un logement social adapté, j'ai même écrit au représentant du Vatican, et je continue à remuer ciel et terre », assure Pascale au Parisien. 

Cette dernière reproche à Sopridex de bloquer la situation: "Elle m'empêche d'avoir un plan de surendettement, or sans ce plan, aucun bailleur social n'acceptera notre dossier. On veut nous faire sortir de l'appartement mais on ne nous en donne pas les moyens !"

Me Baptiste de Monval, qui défend les intérêts de Pascale N., a expliqué de son côté que : "Le Vatican a contesté les mesures imposées par la commission de surendettement ce qui a pour conséquence directe de bloquer le relogement de Madame N. Pourtant, il continue de s'opposer aux demandes de délai à une mesure d'expulsion de ma cliente."

SDF, pour un logement adressez-vous au pape !

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8 mai 2019

La diaspora algérienne

Depuis février dernier, les Algériens de France se mobilisent par milliers tous les dimanches, à Paris et dans d’autres villes, en signe de solidarité avec les millions de manifestants qui battent le pavé en Algérie.

alg_rie

Sur le pavé parisien, chaque dimanche, es mêmes slogans retentissent: « Pouvoir assassin », « FLN dégage», « FLN au musée »,  « Le peuple veut la chute du régime »,« Un seul héros, le peuple »,«Mangeurs de cachir*, laissez-nous »…

Vers l’avènement d’une IIème République

En France, la diaspora algérienne s’organise pour être en phase avec le mouvement populaire qui rejette le système imposé en 1962 et les personnalités qui l’ont servi. C’est le cas de Nadia Bey, journaliste, qui m’a invité à une « Conférence-débat-propositions » le 25 avril dernier, à Saint-Denis.

Pour commencer, il a évidemment été question de démocratie, de pluralisme et de liberté de la presse. Les femmes, très nombreuses, ont réclamé l’abrogation du code de la famille, inspiré par la charia. Ces revendications, défendues passionnément des deux côtés de la Méditerranée, seront du ressort du Parlement de la IIème République algérienne dont l’avènement est souhaité par tous.

En attendant, le système perdure. L’heure est à la mobilisation et au combat. La création d’une ou de plusieurs fédérations représentatives de la diaspora est à l’ordre du jour. L’interdiction faite aux bi-nationaux(article 51 de la Constitution),  d’accéder à de hautes responsabilités en Algérie est perçue comme une offense à leur patriotisme et les empêche de revenir dans leur pays pour contribuer à son développement.

Lutter contre la corruption

Intervenant à mon tour en fin de soirée, j’indiquais qu’en Suisse, où une loi permet de bloquer à titre préventif les avoirs des « potentats », un avocat d’origine algérienne avait entamé des démarches pour que soient gelés les comptes du clan Bouteflika afin que l’argent ne puisse être transféré vers des destinations sans traçabilité.

Parmi les propositions destinées à aider le peuple algérien à lutter contre la corruption qui gangrène le pays, j’ai proposé que la diaspora algérienne interpelle les parlementaires français pour qu’ils votent une loi permettant, comme en Suisse, de mettre préventivement sous séquestre les avoirs et les biens de dirigeants corrompus.

Je me suis aussi demandé comment des sommes considérables d’argent sale sont déposées sans problème dans des banques françaises, alors qu’un simple citoyen doit justifier l’origine d’un transfert dépassant 10 000 euros.

J’ajoutais : « Qui dit corruption dit corrupteurs ». Je me suis alors interrogé tout haut, en me demandant si des surfacturations effectuées par certaines entreprises ou si des rétro-commissions n’aboutissaient dans les caisses de partis politiques français.

Gaïd Salah n’est pas « Monsieur mains propres »

Le 30 avril dernier, à Constantine, le général Ahmed Gaïd Salah, chefd’État-major de l’ANP et vice-ministre de la Défense, qui dirige de facto l’Algérie a déclaré avoir en sa possession « des dossiers lourds de corruption … dévoilant des faits de spoliation des fonds publics avec des chiffres et des montants faramineux ». Ces derniers temps, il a ordonné l’incarcération de généraux et d’oligarques corrompus. D’autres arrestations sont annoncées. Mais, pour la rue algérienne, Gaïd Salah n’est pas pour autant  « Monsieur mains propres ». Dans un câble datant de 2007 révélé par Wikileaks, Robert Ford, ambassadeur américain à Alger, le présentait comme «peut-être le fonctionnaire le plus corrompu de l’armée ». Ahmed Gaïd Salah devrait se retirer pendant qu’il en est encore temps.

* NB : Le sandwich au cachir, saucisson halal à base de bœuf ou de volaille, appelé aussi « chitta », est devenu le symbole des corrompus depuis que le FLN en a offert avec quelques dinars, pour attirer la population dans ses meetings.

(Gilles Munier, journaliste)

17 avril 2019

Incendie à Notre-Dame

La colère des historiens

incendie

Au lendemain du terrible incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, les spécialistes en art tirent la sonnette d'alarme sur l'entretien des monuments.

"C'est l'incendie de trop". Les architectes et historiens sont en colère. Invités sur Franceinfo et BFMTV, au lendemain de l'incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, ils estiment que ce drame aurait pu être évité et pointent le manque d'entretien des bâtiments historiques en France.

Alexandre Gady, historien de l'art, estime que l'édifice est malheureusement "perdu".

"On ne va pas reconstruire Notre-Dame, on va la réparer. Mais on l'a perdue. On se dit qu'un tel édifice, dans une ville comme Paris, dans un pays qui est la sixième puissance mondiale, ça a un côté profondément dérisoire d'assister impuissant à ce qu'il s'est passé", se désole-t-il sur Franceinfo.

La problématique de l'eau


Outre la charpente, datant du XIIIe siècle, partie en fumée, l'historien Alexandre Gady s'inquiète de la quantité d'eau qui a été déversée dans la cathédrale par les pompiers pour éteindre les flammes. "Le pire ennemi de l'architecture, ce n'est pas le feu paradoxalement, mais l'eau qui a été déversée pour sauver la cathédrale, qui va se retourner contre elle. Il va y avoir des infiltrations, des champignons, et un taux d'hydrométrie qui va mettre en danger les œuvres qui sont encore à l'intérieur", détaille-t-il sur BFMTV.

L'historien de l'art pointe par ailleurs le manque de budget alloué au patrimoine. "Nous disons depuis des années que le budget des monuments historiques est trop faible, qu'on en fait une variable d'ajustement, mais à un moment, ça devient des problèmes de sécurité graves",estime-t-il au micro de Franceinfo. Et d'ajouter :"L'état du patrimoine n'est pas du tout à la hauteur du niveau d'un grand pays. On a rogné sur les budgets, cherché des pis-aller, jusqu'au dernier, le loto du patrimoine. Tout ça est bien sympathique, mais le patrimoine, c'est une charge régalienne, c'est l'image de la France, c'est notre histoire ! À force de faire des petits bouts de trucs à droite et à gauche, on finit par le mettre en danger."

La responsabilité de l'État ?


Une négligence qui est visible dans d'autres églises parisiennes, selon Didier Rykner, rédacteur en chef du magazine la Tribune de l'Art, à BFMTV."J'ai visité il y a quelque temps l'église de la Madeleine. J'ai pris des photos de prises électriques dans tous les sens... ce n'est absolument pas aux normes. Demain, la Madeleine peut flamber. Il faudrait que madame Hidalgo se rende compte que les églises de Paris sont dans un état désastreux", assure Didier Rykner, qui demande à l'État de "prendre sa responsabilité" dans ce drame. (selon "Orange News")

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16 avril 2019

Notre-Dame de Paris en flammes

Les images de l'effondrement de la flèche 

4 octobre 2018

Une affaire Naomi à Paris ?

Décès d'une nonagénaire :

le Samu n'est pas intervenu, une enquête est ouverte.

SAMU

Elle avait 96 ans. Le Parisien révèle mercredi 3 octobre qu'une enquête a été ouverte pour éclaircir la cause du décès d'une nonagénaire mardi à Paris.

Selon le quotidien local, la vieille dame, victime d'un malaise vers 12h45, est parvenue à alerter sa gardienne d'immeuble avec son téléphone portable. Celle-ci a contacté le Samu qui n'a envoyé personne sur place, selon les informations du ParisienLa police est arrivée au domicile de la nonagénaire et a constaté son décès. Les agents ont dit au Samu "leur étonnement de leur non intervention". Ils en ont ensuite informé le parquet qui a ouvert une enquête. 

Que s'est-il vraiment passé dans l'appartement ?

Selon Le Parisien, l'opératrice du Samu aurait indiqué qu'une ambulance arrivait avant que le médecin régulateur ne reprenne la communication. Il aurait demandé à la gardienne de prendre le pouls de la victime. Celle-ci, sans formation de secouriste et en situation de stress, n'aurait pas réussi. Le médecin aurait conclu à la mort de la vieille dame, affirme Le Parisien.

L'AP-HP a expliqué sa décision sur Twitter. "Devant les signes cliniques présentés", le médecin régulateur a diagnostiqué "un arrêt cardio-respiratoire" et a pris la décision "de ne pas engager de manœuvre de réanimation sur la patiente de 96 ans". L'assistance publique s'est aussi défendue auprès du Parisien : "Le médecin régulateur prend l'appel de quelqu'un qui n'est pas secouriste. Et cherche la stratégie la plus adaptée ".

Si une personne n'arrive pas à mesurer votre pouls par ignorance, c'est que vous êtes mort. Incroyable mais vrai !

20 septembre 2018

Le capitalisme s’auto-dévore au niveau mondial

Après la dégringolade de la bourse de Shanghai, les bourses du monde suivent le pas. En perdant en une journée les bénéfices réalisés en une année. On prend les paris - ce seront nous qui épongerons ces pertes.

wall_street

Il fallait s’y attendre – les bourses ne peuvent pas éternellement gagner de l’argent qui vient de nulle part. Et depuis le début de la semaine, c’est la dégringolade. Shanghai, Wall Street, Paris, Francfort, Tokyo – partout, les indices boursiers ne cessent de baisser. La compassion pour ces pertes reste toutefois limitée – même si, comme toujours, ce seront les citoyens et citoyennes qui devront régler l’ardoise. On nous dira une nouvelle fois que les spéculateurs-investisseurs soient «indispensables au système» et cela suffira comme justification pour injecter des milliards et des milliards dans ce système financier et boursier corrompu.

Le CAC 40 à Paris, le DAX à Francfort; Dow Jones et le NASDAQ à New York, les bourses à Athènes, Tokyo, Shanghait – toutes ont vécu un debut de semaine que l’on doit qualifier de «krach».

Les «traders» sont restés bouche bée devant les courbes sur leurs écrans qui montrent  les transactions effectuées par ordinateur sans aucune intervention humaine, mais pour une fois, ces automatismes n’ont pas généré de l’argent, mais ils en ont brûlé. On estime que le début de cette semaine aura coûté 3 billions d’euros à l’économie mondiale. Est-ce que le capitalisme tel qu’on le connaît, toucherait à ses limites ?

Si les responsables ne pouvaient pas trouver le moyen pour faire payer les autres, selon la bonne vieille devise «on privatise les bénéfice et on socialise les pertes», on pourrait même s’en frotter les mains. Car ce système boursier n’est autre qu’un casino géant où des boutonneux sortant des grandes écoles peuvent parier des sommes inimaginables sur des bénéfices ou des pertes. Tant que ce système fonctionne, «les marchés» sont heureux, encaissent des fortunes sans produire quoi que ce soit, sans donner de vraies impulsion à l’économie réelle, mais dès que la bourse tousse quelque part dans le monde, tout le monde en tombe malade.

Le meilleur moyen pour éviter ces «catastrophes boursières», serait de les abolir. Il est inconcevable que des start-ups n’ayant jamais gagné le moindre cent, soient évaluées plus fort que des entreprises industrielles vieilles de centaines d’années. Ce système est profondément malade et corrompu, et constitue peut être le plus grand fléau de notre époque. Combien de temps encore allons-nous accepter que ce soient ces «marchés» qui décident du bien-être de peuples entiers ? (selon "Euro-journalists")

19 avril 2018

Grèves : et maintenant le métro ! et les syndicats de l'énergie !

La CGT-RATP dépose un préavis

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Concrètement, cette grève a débuté ce mercredi, 18 avril à 20h00 et se terminera samedi, 21 avril à 7h00. Pour justifier cette grève, le syndicat évoque la répression des droits "enfants malades", l'augmentation de la CSG, le gel des salaires, les suppressions de postes, la dégradation des conditions de travail. La CGT met aussi l'accent sur le démantèlement du service public et ses conséquences néfastes en matière de transports. L'UNSA a déposé un préavis pour permettre aux agents de participer à la manifestation prévue ce jour.

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 La CGT annonce 3 dates pour les coupures de courant, et ce n'est qu'un début !

La FNME-CGT, première organisation syndicale dans l'énergie, a annoncé mercredi son intention de faire grève jusqu'à la fin juin pour "un nouveau service de l'électricité et du gaz", avec des actions comprenant "des coupures ciblées" d'entreprises.

La fédération énergie souhaite mettre en œuvre la "convergence des luttes", a expliqué à l'AFP Sébastien Menesplier, secrétaire général de la CGT Mines-Énergie, alors que la CGT organise au niveau national une journée de mobilisation interprofessionnelle jeudi.

Des assemblées générales vont se tenir mercredi et jeudi avec les salariés, lors desquelles seront mises "en débat des interventions sur l'outil de travail", a-t-il dit. 

Ces actions peuvent être "des coupures ciblées, en direction des entreprises où les employeurs licencient" ou "criminalisent l'action syndicale", a-t-il avancé, citant Carrefour en exemple, ou encore "des actions de baisse de production de l'électricité et de gaz qui peuvent commencer dès mercredi soir".

"Des actions en direction des usagers pour ceux qui ont subi des coupures d'énergie" sont également envisagées, ainsi que "des basculements d'heures pleines en heures creuses" pour faire baisser la facture des usagers, a-t-il ajouté.

Fin mars, la FNME-CGT avait annoncé appeler à la grève à partir du 3 avril et jusqu'au 28 juin, soit sur la même période que la grève à la SNCF.

Pour rouler, les trains "ont besoin d'énergie, donc on a aussi des actions à mener en ce sens", a averti M. Menesplier, alors que le quatrième épisode de grève des cheminots contre la réforme ferroviaire a débuté mardi soir.

Mais la fédération énergie porte également ses revendications propres. Alors que la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), déterminant la trajectoire énergétique de la France pour 2019-2023, est actuellement "débattue publiquement, on souhaite se faire entendre et peser dans le débat", a expliqué M. Menesplier.

Il faut "commencer par faire un bilan de la déréglementation énergétique qui depuis quasiment 20 ans (...) n'a apporté que des effets dévastateurs tant pour les salariés que pour les usagers", a-t-il déclaré.

D'autres "temps forts" sont prévus les 24, le 26 avril, le 1er mai, les dates suivantes restant encore à déterminer.

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21 novembre 2017

Manifestations contre la vente de migrants comme esclaves en Libye

On aurait aimé voir le président de la République à la tête de la manifestation parisienne. Hélas, il n'est ni Spartacus ni Toussaint Louverture, ni-même Victor Schoelcher. Il est à la fois Rothschild et Trump ! 

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 Manifestation devant l'ambassade de Libye à Paris

Affrontements et gaz lacrymogène à Paris

+DE 30 MILLES MANIFESTANTS AFRICAINS A PARIS CONTRE L'ESCLAVAGISME EN LIBYE

Les "noirs" marchent sur les champs Elysées contre l'esclavage en Libye

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