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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
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24 février 2020

Mars : découvrez Olympus Mons

Le plus grand volcan du système solaire

Le plus haut volcan du Système solaire n'est pas terrien mais martien. Baptisé à l'origine Nix Olympica pour « Neige de l'Olympe », il est visible depuis la Terre avec un bon télescope.

Le volcanisme terrestre est déjà impressionnant par son activité et sa diversité. Le plus grand volcan de notre Planète est le Mauna Loa situé à Hawaï. Sa hauteur est de 4.170 m, mais ce n'est rien face à celle d'Olympus Mons, c'est-à-dire le mont Olympe.

Ce volcan martien culmine à 21.229 m au-dessus de la surface de référence de Mars (définie comme l'isobare 610,5 pascals de la pression atmosphérique). Avec cette hauteur, il est le plus grand répertorié dans le système solaire. La planète Mars n'étant pas soumise à la tectonique des plaques, les volcans formés vivent en général beaucoup plus longtemps que sur la Terre (presque 4 milliards d'années dans le cas d'Olympus Mons), d'où leur taille gigantesque.

Ce volcan bouclier s'est formé par empilement de lave émise par plusieurs cheminées. Même si aujourd'hui l'activité volcanique martienne est très réduite, on estime que les coulées de lave les plus récentes datent d'à peine 2 millions d'années. Ce qui laisse à penser que le volcan pourrait toujours être en activité aujourd'hui.

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16 février 2020

Djibouti envisage de lancer son propre satellite

Djibouti envisage de lancer d'ici deux ans son propre nanosatellite, a annoncé mercredi l'Agence Djiboutienne d'Information (ADI).

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Une rencontre en ce sens s'est tenue ce même mercredi au Palais de la République entre le chef de l'Etat djiboutien, Ismail Guelleh, et le professeur français Laurent Dusseau, directeur du Centre spatial de l'Université de Montpellier et directeur de la Fondation Van Allen, connue pour son apport stratégique et financier pour la recherche scientifique et spatiale en France, a précisé l'ADI.

Au cours de cette rencontre, le président djiboutien a pu visionner une vidéo sur les procédés techniques et pédagogiques nécessaires à la construction d'un satellite.

Dans une déclaration faite à la presse à l'issue de sa rencontre avec le président Guelleh, le professeur Dusseau, a loué le niveau de l'enseignement supérieur à Djibouti.

"Je suis entièrement confiant que, d'ici deux ans, Djibouti pourra se doter de son propre satellite", a-t-il dit en substance.

Le ministre djiboutien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Dr Nabil Mohamed Ahmed qui a pris part à cette rencontre, a quant à lui indiqué que le pays s'attellera rapidement à développer des compétences nationales en ingénierie de fabrication de nanosatellites... avec l'aide chinoise évidemment.

15 décembre 2019

L'Europe spatiale veut rester un géant de l'espace

L'agence spatiale européenne (ESA) s'est dotée d'un budget record pour financer ses futurs programmes, un investissement massif destiné à rester un géant de l'espace face à la montée en puissance des Etats-Unis et de la Chine, dans un secteur chamboulé par l'explosion des nouveaux acteurs.

espace"C'est un pas de géant pour l'Europe, cinquante ans après le débarquement sur la Lune", s'est félicité Jean-Yves Le Gall, le président du CNES, l'agence spatiale française. 
Les 22 pays membres de l'ESA, réunis à Séville, ont alloué une enveloppe de globale de 14,4 milliards d'euros aux futurs programmes spatiaux, sur une durée de trois à cinq ans. "Je suis heureux, c'est plus que ce qu'on avait demandé (14,3 milliards d'euros) !", s'est félicité Ian Wörner, le directeur général de l'ESA, lors d'une conférence de presse.
Il s'agit d'un budget record dans l'histoire de l'organisation intergouvernementale fondée en 1975, auquel vient s'ajouter celui de la Commission européenne (16 milliards d'euros sur sept ans). 
L'accord trouvé entre les différents pays après deux jours de discussions "est un témoignage évident de notre ambition commune pour l'Europe", a commenté la ministre française de la Recherche, Frédérique Vidal, qui co-présidait la réunion.
L'Allemagne a mis sur la table la plus grosse enveloppe (3,3 milliards d'euros), devant la France (2,7 milliards), devenant ainsi, sur le long terme, le premier pays contributeur de l'ESA. "Mais sur les trois prochaines années, la France reste en tête", a précisé la ministère de la Recherche. 
Rapporté aux 500 millions d'habitants des 22 pays, le budget spatial européen représente 8 euros par an et par citoyen.
Cette impulsion s'inscrit dans une nouvelle donne internationale, avec la montée en puissance des Etats-Unis et de la Chine, qui investissent massivement dans l'espace - le budget américain est cinq fois supérieur à celui de l'ESA - mais aussi celle des pays émergents, comme l'Inde.
 

L'observation de la Terre en pointe 

 
Pour maintenir sa place de choix sur l'échiquier spatial, l'Europe a donc musclé l'ensemble de ses programmes, scientifiques, d'exploration (station spatiale internationale, Lune, Mars), d'accès à l'espace (fusées, port spatial de Kourou) et de développement des applications (observation de la Terre, télécommunications...).
L'observation de la Terre voit ainsi ses moyens exploser (2,5 milliards d'euros, soit une hausse de près de 90% depuis 2016), notamment pour son programme phare Copernicus, pour qui l'agence spatiale va fournir six nouvelles sentinelles afin de "mieux surveiller et mieux prévoir le changement climatique" a précisé Frédérique Vidal. 
"L'Europe va garder son leadership mondial dans ce domaine", se réjouit l'ESA. Pour le patron du CNES, l'investissement massif dans la surveillance de la Terre "façonne une nouvelle Europe spatiale, plus proche des citoyens avec des préoccupations climatiques".
L'ESA mise aussi beaucoup sur l'exploration de Mars et de la Lune (près de 2 milliards d'euros), dans un contexte marqué par les annonces américaines de retour sur la Lune dès 2024. Au menu: le développement d'un module de service pour la future mini station en orbite lunaire, Gateway. 
Sur Mars, outre son projet d'exploration Exomars qui devrait partir en 2020, le Vieux continent entend jouer sa partition dans la mission américaine "Mars sample return", qui doit ramener sur Terre des échantillons de la planète rouge. "L'enjeu pour l'Europe est de ramener des échantillons purs", explique Gilles Rabin, chargé de la science au CNES.
L'Europe espère pouvoir maintenir un accès souverain à l'espace (2,6 milliards d'euros), alors que le marché des lanceurs est chamboulé par l'explosion du nombre d'acteurs privés, dont la firme américaine Space X et sa fusée Falcon 9, qui défie la compétitivité européenne avec sa technologie du réutilisable.
La réponse européenne, la future Ariane 6, dont le lancement est prévu en 2020, prévoit le développement du moteur à bas coûts Promethéus et un démonstrateur d'étage réutilisable, Thémis, permettant de maîtriser les technologies de retour sur terre.
Le président d'Arianespace, Stéphane Israël, a salué auprès de l'AFP la "mobilisation" de l'ESA. Son budget "nous donne les moyens" pour "la montée en puissance d’Ariane 6 et les financements de démonstrateurs technologiques innovants absolument essentiels pour assurer une compétitivité durable", a complété dans un communiqué André-Hubert Roussel, président exécutif d’ArianeGroup.(selon AFP)

26 octobre 2018

La Chine veut lancer une lune artificielle pour éclairer la Terre

 

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Selon l'AFP, La Chine veut lancer dans l'espace d'ici 2020 une "Lune artificielle", qui réfléchirait sur Terre la lumière du soleil durant la nuit et permettrait de réaliser des économies d'éclairage, a annoncé vendredi un média d'Etat. 

Ce satellite équipé d'une pellicule réfléchissante serait chargé d'illuminer la grande ville de Chengdu (sud-ouest) et devrait être huit fois plus lumineux que l'astre lunaire, rapporte le journal China Daily.  

Un premier exemplaire devrait d'abord être envoyé dans l'espace, suivi en cas de réussite de trois autres en 2022, a expliqué au quotidien Wu Chunfeng, le chef de la Tian Fu New Area Science Society, l'organisme responsable du projet.  

"La première Lune sera principalement expérimentale, mais les trois envoyées en 2022 constitueront le véritable produit fini. Elles auront un grand potentiel en termes de services à la population et d'un point de vue commercial", selon M. Wu. 

En renvoyant sur Terre la lumière du soleil, le satellite, qui évoluerait à 500 km d'altitude, est censé pouvoir se substituer partiellement à des lampadaires. Il pourrait ainsi faire économiser environ 1,2 milliard de yuans (150 millions d'euros) d'électricité par an à la ville de Chengdu s'il arrive à illuminer une superficie de 50 km2. 

La source de lumière artificielle pourrait également être utilisée après des catastrophes naturelles, en déviant les rayons solaires vers des zones terrestres où l'alimentation électrique a été coupée, a souligné Wu Chunfeng. 
Pékin mène depuis de nombreuses années un ambitieux programme spatial pour rattraper son retard sur les Etats-Unis et la Russie. Le pays prévoit notamment d'envoyer un petit robot nommé Chang'e-4 sur la face cachée de la Lune d'ici fin 2018. 

La Chine n'est pas le premier pays à tenter de réfléchir les rayons du soleil sur la Terre. Dans les années 1990, des scientifiques russes avaient mis au point un projet similaire baptisé Znamya ("Bannière"), arrêté après quelques essais.
19 décembre 2017

Découverte dans l'univers

Le plus ancien "trou noir" de l'univers, un formidable colosse.

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L'existence même de ce mastodonte, 800 millions de fois la masse de notre Soleil, aussi tôt dans l'histoire de l'univers, est une énigme pour les astronomes.

Il est aussi gros que distant, et c'est une vraie surprise. Un trou noir hypermassif, de 800 millions de fois la masse de notre Soleil, dont la lumière a mis 13 milliards d'années pour parvenir jusqu'à nous, par une équipe internationale de chercheurs (travaux publiés dans "Nature" et "The Astrophyscial Journal Letters"). C'est un record de distance absolu pour un objet de ce type (le précédent record datait de 2011), mais aussi un record de poids pour un astre aussi lointain. «Il est au moins dix fois plus gros que le précédent trou noir supermassif détecté à ce type de distance», précise Bram Venemans, astronome à Heidelberg (Allemagne), qui coordonne la recherche de ce type d'objets dans les confins de l'univers visible depuis plusieurs années.

La découverte proprement dite est quant à elle à mettre au crédit des télescopes Magellan de l'observatoire de Las Campanas, au Chili, après une recherche systématique réalisée sur un très grand nombre d'étoiles. Le trou noir a ensuite fait l'objet de campagnes d'observation approfondies avec les réseaux de radiotélescopes VLA (Nouveau-Mexique) et NOEMA de l'Iram, situé dans les Alpes françaises. Ces derniers ont notamment réussi à détecter la galaxie au sein de laquelle se cachait le mastodonte.

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7 août 2017

Curiosity : cinq ans sur la planète Mars

Le petit robot à six roues, de 900 kg, de la taille d'un petit 4x4, a parcouru 17 km depuis son arrivée le 6 août 2012.

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Les équipes internationales qui pilotent le robot Curiosity ont célèbré dimanche les cinq ans de la mission martienne. Initialement prévue sur deux ans, elle vise à évaluer l'habitabilité de la planète rouge et à préparer les futures missions habitées, vers 2033.

Emmené par la Nasa, ce programme fait aussi intervenir des ingénieurs du Cnes, l'agence spatiale française et plusieurs scientifiques français dont les Toulousains de l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie, chargés d'opérer la caméra laser ChemCam embarquée sur le rover américain.

Déposé par une sonde dans le cratère de Gale, après neuf mois de voyage, le robot mobile à six roues, de 900 kg, de la taille d'un petit 4x4, a parcouru 17 km depuis son arrivée le 6 août 2012. Ses déplacements sont pilotés à distance par les opérateurs du Jet Propulsion Laboratory de la Nasa, depuis la Californie.

Pour réaliser ses analyses, le rover martien s'appuie sur dix instruments embarqués, dont deux franco-américains. C'est le cas de la caméra laser ChemCam (Chemistry Camera) qui a été en grande partie imaginée et conçue à Toulouse par les équipes du Centre national d'études spatiales (Cnes) et de l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap).

Hissée sur le mât du robot Curiosity, cette caméra chimique permet de réaliser à distance des tirs sur le sol et les roches pour connaître leur composition.

 Mars a été habitable 

curiosity«Le rover vise un échantillon et ChemCam envoie un faisceau laser très puissant, jusqu'à sept mètres, qui va provoquer une étincelle sur la roche. La lumière émise, différente selon le type de roche, va être utilisée pour une analyse spectrale», explique Olivier Gasnault, co-responsable des opérations scientifiques de ChemCam et chercheur à l'Irap.

«Cet instrument permet des mesures à distance, ce qui évite de déplacer le robot et donne un aperçu rapide de son environnement. En cinq ans, nous avons procédé à un peu plus de 480 000 tirs», précise le chercheur. En fonction de l'analyse des données, de futures cibles de roches sont choisies.

«Dès la première année, Curiosity a trouvé un ancien lac dont on pense que l'eau était compatible avec une vie microbienne. Ce lac et ceux qui ont été découverts par la suite, tous asséchés, sont restés suffisamment longtemps pour que la roche se transforme partiellement en argile attestant d'un environnement adéquat pour l'émergence de la vie. Cela confirme que Mars a été une planète habitable il y a 3 milliards d'années», explique Olivier Gasnault.

Reconduite deux fois

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Le robot Curiosity longe actuellement une crête de 6 km de long à la base du mont Sharp, une montagne de sédiments consolidés en roches. Plusieurs couches géologiques, témoignant d'un changement climatique sur la planète rouge, y ont été repérées par les satellites. L'objectif dans les prochains mois est de permettre au rover de gravir cette crête pour aller explorer la zone argileuse qui se trouve derrière.

«Nous voulons comprendre les différences entre les roches argileuses visibles par satellite, qui attestent de l'altération des roches en présence d'eau dans le passé et d'autres matériaux argileux, découverts par le rover, pour appréhender, à partir d'une géologie locale, l'histoire globale de la planète Mars», précise Olivier Gasnault.

Prévue pour durer 23 mois, la mission Curiosity dans laquelle la Nasa a engagé plus de 2,5 milliards de dollars, a déjà été reconduite deux fois. La mission suivante, appelée Curiosity 2 ou Mars 2020, consistera à rechercher des traceurs biologiques, c'est-à-dire des traces de vie ancienne, à la surface de la planète rouge. (Selon "L'essentiel luxembourgeois")

26 septembre 2016

Surréaliste !

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Le plus grand radiotélescope du monde est entré en service ce dimanche dans le sud-ouest de la Chine. Dans le cadre d'un projet faramineux, l'ambition de cette installation est, selon Pékin, de détecter une vie intelligente extraterrestre.

Appelé par les scientifiques Five-hundred-metre Aperture Spherical Radio Telescope (FAST), le télescope a commencé à fonctionner vers midi, a annoncé l'agence "Chine nouvelle". Le FAST, qui présente une ouverture sphérique d'un diamètre de 500 mètres, couvrant une surface équivalente à 30 terrains de football, est installé dans une zone rurale de la province du Guizhou (sud-ouest), entre trois collines karstiques.

Plus de 10.000 habitants déplacés

L'installation, dont la construction avait commencé en mars 2011, a coûté 1,2 milliard de yuans (165 millions d'euros) et dépasse nettement en dimension le radiotélescope d'Arecibo, située dans l'île de Porto Rico, qui a un diamètre de 305 mètres. Le directeur général de la Société chinoise d'astronomie, Wu Xiangping, avait déclaré l'an passé à “Chine nouvelle” que le haut degré de sensibilité du FAST allait “aider à rechercher de la vie intelligente en dehors de notre galaxie”.

Près de 10.000 habitants résidant dans un rayon de cinq kilomètres autour du dispositif d'écoute ont été réinstallés plus loin pour laisser place au télescope. (selon M6)

29 juillet 2016

Comète Tchouri : le petit robot Philae est mort

Afin de préserver l’énergie de la sonde Rosetta, qui s’éloigne de plus en plus du Soleil, l’Agence spatiale européenne a décidé de couper définitivement le contact avec le robot Philae à la surface de Tchouri.

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Dans l’optique de préserver l’énergie de la sonde Rosetta, qui s’éloigne de plus en plus du Soleil, l’Agence spatiale européenne a décidé de couper définitivement le contact avec le robot Philae à la surface de Tchouri. En clair, le lien avec le petit robot Philae, envoyé sur la comète Tchouri par l’Agence spatiale européenne (ESA) a été définitivement rompu. L’ESS, qui n’est autre que le module servant à la communication entre Philae et la sonde Rosetta en orbite autour de Tchouri, a été désactivé ce mercredi 27 juillet 2016, à 11 heures. C’est ce qu’a annoncé le CNES, l’agence spatiale française. Selon les scientifiques, cette décision se justifie par la nécessité de préserver l’énergie de Rosetta, car la sonde se trouve maintenant trop loin, à 520 millions de kilomètres, de sa seule source d’énergie : le Soleil.

Et même si ses panneaux solaires sont les plus grands jamais envoyés dans l’espace, avec notamment 35 mètres d’envergure, ils ne suffisent plus à couvrir tous ses besoins en énergie. Le peu d’énergie restante sera désormais réservé au fonctionnement des instruments scientifiques et aux manœuvres orbitales de fin de mission, précise le CNES.

11 mars 2016

Découverte : cette galaxie très lointaine jamais observée

Située à plus de 13,4 millions d’années-lumière de la Terre, la galaxie GN-z11 est apparue au bout de la lunette optique du télescope spatial Hubble.

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La galaxie GN-z11, située à plus de 13,4 millions d’années de la Terre, donc la plus lointaine jamais observée, a été observée au bout de la lunette optique du télescope spatial Hubble.

Selon une information révélée ce lundi 7 mars 2016 par Europe 1, c’est une première en astronomie qu’une galaxie très lointaine ait été observée à l’aide du télescope spatial Hubble.

Des informations révélées par la Nasa qui précise que la galaxie GN-z11, située à 13,4 milliards d’années lumières de la Terre, indique qu’il s’agit là d’un miracle ou presque, rendu possible par la vitesse « soutenue » des étoiles de cette galaxie, responsable de l’intensification de leur luminosité dans l’espace.

En activité depuis les années 1990, le télescope Hubble révèle des images d’excellente qualité permettant d’aller jusqu’à déterminer la taille de l’objet céleste observé. Il y a 13,4 milliards d’années-lumière, GN-z11 était 25 fois plus petite et 100 fois plus légères que la Voie Lactée. Selon les astronomes, elle représente pour le moment la plus veille galaxie jamais observée.

4 mars 2016

Un satellite observe le soleil depuis 5 ans

Solar Dynamics Observatory (SDO) est un sac plastique d'observation du soleil lâché par la NASA le 11 février 2010. Sa mission est de transmettre des informations à la Terre dans le but de mieux connaître le Soleil et son champ magnétique. Grâce a ses instruments ce laboratoire spatial est capable d'enregistrer des images d'une résolution native de 4096x4096 pixels avec différents traitements. La vidéo publiée par la NASA a été réalisée grâce à 200 milliards d'images représentant 2600 Terra-octets de données enregistrées tout au long des 1826 jours que ce sac plastique observe sur notre étoile.

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