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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

27 juin 2014

Françafrique : encore des scandales qui se dévoilent ?

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L’ancien Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire (2002 à 2005), Gildas Le Lidec vient de publier son mémoire dans lequel il révèle que Guillaume Soro (aujourd'hui président de l'Assemblée Nationale ivoirienne, après avoir été premier ministre) a tenté de l’assassiner en 2003 à Yamoussoukro mais il n’aurait eu la vie sauve que grâce à l’intervention des diplomates Italiens et Espagnols.

Il raconte: « Au cours d’une altercation que j’ai eue avec Guillaume Soro à Yamoussoukro Rechercher Yamoussoukro en 2003, ce dernier (Soro) se précipita sur moi, ses mains en avant qu’il resserra progressivement autour de mon cou. Je ne dus mon salut qu’à l’intervention efficace des ambassadeurs d’Espagne et d’Italie », révèle le diplomate dans son livre intitulé « De Phnom Penh à Abidjan : Fragments de vie d’un diplomate » qui vient de paraitre aux Editions L’Harmattan. L’état-major de Guillaume Soro n’a pas tardé pour dénoncer ce qu'il appelle "des accusations grotesques de l’ex-ambassadeur de France qui ne cherche qu’à inspirer de la pitié plus qu’autre chose".

Guillaume Soro dit avoir appris connaissance des accusations formulées par M. Gildas Le Lidec avec amusement. Dans le livre, Le Lidec indique clairement avoir échappé à une tentative de mort par étranglement des mains de M. Soro, lors d’une réunion à Yamoussoukro mais a été sauvé par les ambassadeurs d’Italie et d’Espagne.

Plus loin, les accusations font état de ce que Guillaume Soro, Secrétaire général des Forces Nouvelles d’alors lui a demandé son concours pour perpétrer un attentat contre Gbagbo à Abidjan, par la fourniture d’une camionnette bourrée d’armes et d’explosifs. Pour l’état-major de M. Soro, les accusations sont un pur mensonge qui souille la dignité de l’auguste corporation des ambassadeurs de France, dont M. Le Lidec fut membre.

« La réunion à laquelle il fait allusion s’est tenue à Yamoussoukro et avait été convoquée par le Premier Ministre Seydou Elimane Diarra. M. Soro s’y est rendu parce que la France, représentée par M. Le Lidec, s’était porté garant de sa sécurité. Les discussions viriles qui ont eu lieu à cette occasion ont certainement ébranlé la nature poltronne de ce monsieur. Mais qui, sain de corps et d’esprit, pourrait imaginer que Guillaume Kigbafori Soro se mette en tête d’étrangler l’ambassadeur de France dans une enceinte gardée par plusieurs centaines de soldats français ? », écrit la Direction de la Communication de Guillaume Soro.

Pour le service de l’actuel président de l’Assemblée nationale ivoirienne, lorsqu’un ambassadeur est capable d’imaginer une scène, d’en créer les personnages et d’en inventer les effets, on comprend qu’il a quitté le champ de la réalité pour s’engager dans la voie de la fiction.

« A partir de là, tout ce qu’il raconte dans son livre participe de la mythologie qu’il veut construire autour de lui pour masquer les carences et les errances d’une carrière diplomatique morne et sans reliefs », peut-on lire dans la réaction de la Direction de la Communication de M. Soro.

Le diplomate français accuse le patron des Forces Nouvelles de l’avoir contacté en 2002 lors de leurs premières rencontres à Bouaké, la ville qui était le fief de la rébellion pour mener une action en vue d’éliminer physiquement Laurent Gbagbo.

« Au cours de nos premières rencontres à Bouaké, Guillaume Soro m’a demandé de préparer une camionnette bourrée d’armements et d’explosifs, de lui indiquer seulement l’adresse où elle serait garée dans Abidjan et qu’il se chargerait du reste pour éliminer Gbagbo», écrit le diplomate.

Sur cette accusation, la réponse est claire du côté de Guillaume Soro, qui a dirigé une opération complexe et méticuleuse comme le « 19 septembre », pour laquelle il avait fallu des dizaines même des centaines de repérages dans la ville d’Abidjan, pour en connaître chaque parcelle et mémoriser les zones névralgiques. Et ce dernier n’a demandé aucune aide à l’ambassadeur qui venait d’être nommé pour aller positionner une camionnette bourrée d’armes à Abidjan afin qu’il s’en saisisse pour commettre un attentat.

La note de riposte indique que Soro n’avait pas eu besoin de Gildas Le Lidec pour avoir les armes, les hommes, les munitions et la stratégie pour mener le 19 septembre. Le camp de Guillaume contre-attaque et accuse M. Le Lidec d’avoir de l’aversion pour Guillaume Soro et d’avoir persuadé l’Elysée d’accompagner Laurent Gbagbo dans sa décision d’attaquer Bouaké et de bombarder cette ville ainsi que ses habitants. « À défaut d’avoir réussi à faire assassiner Guillaume Soro, Le Lidec s’offre une petite vengeance solitaire à coups de mensonges et de diffamations. Plus qu’autre chose, il nous inspire de la pitié », conclut la Direction de la communication de Guillaume Soro.

Enquête menée par Didier Assogba et Roger Musandji, Oeildafrique.com

 NB : Affaire de Bouaké : 9 soldats français et de nombreux civils tués, dans un bombardement dont on a accusé l'ancien président Gbagbo, histoire pour la France de l'époque de pouvoir justifier son soutien à Ouattara. 

Rappel :  Michèle Alliot-Marie : n'est pas OSS 117 qui veut. et Alliot-Marie et OSS 117 (suite)

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26 juin 2014

Marché du terroir de Villé

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25 juin 2014

Pas de groupe parlementaire européen pour le FN

marine

La présidente du Front national Marine Le Pen n'a pas réussi à rassembler assez de partis eurosceptiques pour former un groupe au parlement européen, a assuré lundi soir son allié néerlandais Geert Wilders.

"Nous n'avons malheureusement pas réussi à former une fraction au parlement européen avec six autres partis", a déclaré Geert Wilders, cité par l'agence de presse néerlandaise ANP. Les partis avaient jusqu'à lundi pour s'enregistrer en tant que groupe parlementaire suite aux élections européennes de fin mai ayant vu une nette progression des eurosceptiques. Geert Wilders et Marine Le Pen avaient conclu un accord avant les élections en vue de "détruire de l'intérieur" l'Union européenne.

Au moins 25 députés (sur un total de 751) issus de sept pays différents sont requis pour former un groupe parlementaire, ce qui permet de bénéficier d'une plus grande visibilité ainsi que de subventions. Or, si le nombre de députés n'est pas un problème, les partis eurosceptiques ont du mal à concilier des points de vue parfois antagonistes. Il manque deux pays à la présidente du Front national, dont le parti a terminé en tête des européennes en France, pour que le compte soit bon.

Elle espérait convaincre d'autres partis à rejoindre le FN, le PVV de Geert Wilders, le Parti de la liberté autrichien (FPÖ), la Ligue du Nord italienne et le Vlaams Belang flamand (Belgique). Geert Wilders, connu pour ses positions anti-islam, a indiqué que la collaboration entre ces cinq partis "sera poursuivie avec pour but de pouvoir former une fraction avant la fin de l'année avec de nouveaux partenaires". Une association avec le parti polonais Congrès de la Nouvelle droite (KNP), dont les positions homophobes dérangent notamment Geert Wilders, avait été envisagée, mais finalement abandonnée.

"Le PVV a vraiment envie de former une fraction, mais pas à n'importe que prix", a soutenu M. Wilders, selon lequel son parti devrait "construire un pont trop important" pour collaborer avec le KNP, qui souhaite également abolir le droit de vote pour les femmes.

Le FN et Marine Le Pen n'auront donc que très peu de temps de parole au Parlement Européen. Cette dernière aura donc tout le temps pour museler son plus que remuant père. 

24 juin 2014

Les cyclistes devraient-ils casquer ou se casquer ?

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Dans le Schleswig-Holstein (Nord de l'Allemagne), un tribunal avait décidé de n’indemniser que partiellement une cycliste après un accident, au motif qu’elle ne portait pas de casque. Pourtant, en Allemagne, tout comme bien d'autres pays européens, aucune loi n’oblige les cyclistes à en avoir un. L’affaire a été examinée par la Cour fédérale de Justice à Karlsruhe qui a donné raison à la victime.

L’affaire remonte à 2011, lorsqu’une physiothérapeute s’était grièvement blessée à la tête alors qu’elle se rendait à son travail à vélo. Une automobiliste garée sur le côté de la route avait ouvert la portière de son véhicule et la cycliste n’avait pu l’éviter. Deux ans plus tard, les juges du tribunal du Schleswig-Holstein n’ont cependant accordé que 20% des réparations à la victime, décision surprenante puisque le port du casque n’est pas obligatoire en Allemagne. L’affaire a donc été portée jusqu’à Karlsruhe où les juges de la Cour fédérale se sont prononcés mardi 17 juin en faveur de la victime en affirmant qu’un cycliste a droit à une indemnisation totale après un accident, avec ou sans protection.

Cette décision relance des débats en Allemagne sur l’obligation de porter ou non un casque. Ceux-ci promettent d’être houleux dans un pays où le vélo est un moyen de transport plébiscité mais où le port du casque, du moins chez les adultes, l’est moins puisque seulement 15% des cyclistes l’ont porté en 2013 (source : BASt, office fédéral pour les routes).

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Du côté des partisans du casque, représentés notamment par les compagnies d’assurance, on insiste essentiellement sur l’aspect sécurité du casque qui, dans bien des cas, peut sauver des vies. Quant aux opposants, dont le fer de lance est l’ADFC (Club de cyclisme allemand), ils s’appuient sur une argumentation bien huilée. En rappelant que le casque n’est pas obligatoire dans des pays où les vélos sont omniprésents comme les Pays-Bas ou le Danemark, ils montrent bien que cela n’est pas non plus nécessaire en Allemagne, d’autant que le vélo n’est pas un sport à risque. Au contraire, l’introduction en 1991 de l’obligation de porter un casque en Australie avait engendré une baisse considérable du nombre de cyclistes : une telle législation serait donc une erreur. Un porte-parole de l’ADFC souligne même, non sans ironie, que porter un casque protège certes mieux en cas d’accident, mais que dans ce cas-là, on pourrait également obliger les piétons à en mettre puisqu’ils sont, après tout, eux aussi exposés.

Néanmoins, même si les discussions autour de cette question vont probablement se poursuivre, Alexander Dobrindt (CSU), ministre fédéral des transports, a coupé court au débat en se montrant en défaveur de l’introduction d’une obligation de port du casque. Finalement, c’est à chacun de décider s’il veut ou non porter une protection... comme en France aussi.

23 juin 2014

Il y a 25 ans l'Elztal : pour un contournement, contre les éoliennes

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Deux communes du Centre-Alsace sont jumelées avec des communes de l'Elztal et du Simonswäldertal : Sélestat (avec Waldkirch), Villé (avec Elzach) : voir photo ci-dessus, le maire de Sélestat Gilbert Estève à Waldkirch.

La "Badische Zeitung" du 22 juin 2014 présente une rétrospective de ce qui s'est passé il y a 25 ans dans ces communes. Dès mai 1989, des manifestations ont lieu à Waldkirch : 2000 personnes revendiquent "une Europe sociale" et moins d'heures de travail hebdomadaires. Dans la vallée de l'Elz, après la faillite des filatures Kollnau en 1988, le taux de chômage est de 5,8%. A Elzach, la municipalité crée "un jardin d'enfants". L'archevêque de Lima au Pérou visite l'Elztal. Le conseil municipal d'Elzach et son maire Bernhardt étudient une n-ième variante d'une route de contournement.

Les citoyens du bourg protestent à travers une association "Les Hiboux de l'Elztal" contre le bruit des avions à réaction volant à basse altitude lors des manoeuvres de l'OTAN. Des comités se créent pour protester contre la construction d'éoliennes. De nombreux riverains exigent une route de contournement. 25 ans plus tard, la route de contournement est réalisée depuis belle lurette, les éoliennes se développent sans aucune récrimination (il semble bien que sur ces deux points, le Centre-Alsace ait au moins un quart de siècle de retard).

Enfin, au niveau sportif, Veronika Jacob et Peter Böhler deviennent vice-champions d'Allemagne de culturisme.

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22 juin 2014

Soirée-guinguette à Villé

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21 juin 2014

La Françafrique, financeur de l'UMP depuis bien longtemps

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Prévue le 26 juin prochain, la sortie du livre de l’ex-Président ivoirien Laurent Gbagbo ne va décidément pas passer inaperçue. Dans cet ouvrage coécrit avec un journaliste français, l’ancien chef de l’État détenu à la CPI apporte des témoignages inédits notamment sur ses anciennes relations avec le gouvernement Chirac.

« Villepin et Bourgi m’ont demandé de financer la campagne de Chirac en 2002 ». C’est l’une des phrases extraites du livre « Pour la vérité et la justice » de Laurent Gbagbo que s’est procuré l’Agence de Presse Africaine (APA) ce vendredi. Selon la note de présentation du livre, Laurent Gbagbo restitue à François Mattei, journaliste et co-auteur du livre,« un récit riche en révélations sur les responsabilités françaises dans cette affaire hors norme, rythmé par les confidences inédites » du chef de l’État ivoirien déchu. L’ouvrage qui paraît le 26 juin prochain aux Éditions du Moment revient, entre autres, sur des « dossiers noirs des relations françafricaines », comme l’indique l’APA.

En effet, Gbagbo y raconte avoir été sollicité, en 2001, par Dominique de Villepin, alors ministre français des Affaires étrangères, et l’avocat franco-libanais Robert Bourgi, pour rémunérer la campagne présidentielle de Jacques Chirac. « C’était en 2001, je pense. Villepin et Robert Bourgi m’ont demandé de cracher au bassinet pour l’élection en 2002 en France. Nous étions au Voltaire, un restaurant qui est sur le quai du même nom, près de la Documentation française », a t-il révélé, ne lésinant pas sur les détails. « C’était le prix pour avoir la paix, en Françafrique » peut-on lire dans le livre.

Le journaliste français François Mattei, complète le propos en pointant la difficulté à refuser une telle faveur aux « autorités françaises lorsque celles-ci sont militairement les patrons sur le terrain ». C’est semble t-il le dilemme auquel était confronté l’ancien président ivoirien, conscient de la force de ses adversaires français. « Quand il y a un tel déséquilibre entre le puissant et le faible, quelle marge de manœuvre reste-t-il au faible ? C’est ce sur quoi compte les tenants de la Françafrique », dénonce le journaliste dans le livre. 

Les confidences de Gbagbo se muent en confessions lorsqu’il avoue ne pas être « fier de cet épisode ». « Je pensais y gagner la marge de manœuvre nécessaire pour avancer vers nos objectifs », admet-il. L’ex chef d’État souligne quand même qu’il ne se serait jamais autorisé à financer la campagne de Chirac. « Je n’aurais pas accepté. Ils le savaient. Cela n’a pas amélioré nos relations » écrit-il. D’ailleurs, Mamadou Koulibaly, Président de l’Assemblée nationale, cité dans l’ouvrage, y révèle avoir signifié au Président ses réticences. «  J’ai dit au président (Gbagbo) que nous étions un pays pauvre et que nous n’avions pas d’argent pour financer des élections d’hommes politiques de pays riches », peut-on lire dans le livre.

L’ouvrage dont le sous titre est Côte d’Ivoire : révélations sur un scandale français compte 320 pages et promet des révélations qui risquent de bousculer le paysage politique français.

texte signé : Marie Hélène SYLVA
Paris – Oeildafrique.com

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20 juin 2014

Histoires de Marseillaise

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Au Brésil, le match France - Honduras a été privé d'hymne national pour cause de sono défaillante. A Villé, pour la retraite aux flambeaux du 13 juillet, le problème est tout autre. Le défilé nocturne, aux torches et aux lampions, s'arrête devant l'hôtel de ville, et une fanfare entame la Marseillaise. Oui, mais... les fanfares dans la vallée se font vieillissantes et rares. Et à la date d'aujourd'hui, la municipalité fait chou blanc pour trouver des musiciens et prévoit déjà de louer à la Communauté des Communes une sono restante du stock utilisé autrefois au Saint-Gilles. Espérons que l'on en trouvera encore une en état de marche et que le résultat soit meilleur qu'à la coupe du monde. Car, avec le spectacle de Décibulles en concurrence, les quelques voix en état de chanter ne suffiront pas pour être entendues. Espérons aussi que l'électricité, pour cause d'économie, ne soit pas coupée ce soir-là. Quant au son, ce blog est prêt à participer à la fête et à mettre à disposition une video de la Marseillaise, geste que tous les élus se chargeront d'honorer au garde-à-vous.

19 juin 2014

Cameroun : des ministres complices de Boko Haram

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A la suite des derniers échanges de tirs et affrontements entre la secte islamiste Boko Haram et l’armée camerounaise au Nord-Cameroun à la frontière avec le Nigéria dans la localité de Waza, un important responsable du groupe terroriste a été capturé par des éléments de l’armée camerounaise.

"L’arrestation a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi. Il s’agit de Aladji Abdallah, qui était en possession de 11 000 euros, en billets de 500 au moment de son interpellation. Aladji Abdallah est un ancien vendeur de voitures avant de se reconvertir à l’islam. Il avait senti le bon filon avec l’arrivée de Boko Haram, à qui il a offert ses services. Les agents de renseignements camerounais ont été curieux d’en savoir plus sur son train de vie à l’image d’un prince qui poussait la curiosité. Cet homme avait participé à la libération de la famille Fournier et du père Georges Vandeubeusch.

Aladji Abdallah avait récemment contacté Cavayé Yeguie Djibril, le Pan, pour négocier la libération des religieux. Depuis son arrestation, il est auditionné par les forces de défenses camerounaises qui se disent déterminées à extirper le mal du terrorisme des terres camerounaises. Aladji Abdallah a fini par craquer. Ainsi, il a commencé par donner les noms des complices du mouvement terroriste nigérian au Cameroun. Aladji Abdallah a nommément cité le vice premier ministre camerounais chargé des Relations avec les Assemblées, Amadou Ali, originaire de l’Extrême-Nord. Abdallah mentionne également le nom du ministre secrétaire général de la présidence de la République, Ferdinand Ngo Ngo. Il a aussi impliqué dans la liste des personnalités dans le partage du butin, le député Rdpc. Abba Malla, également originaire de l’Extrême-Nord du Cameroun.

Des accusations assez graves pour le pouvoir de Paul Biya qui se doit agir au plus vite pour clarifier les choses dans cette lutte contre Boko Haram. Le pion Abdallah de Boko Haram se trouve actuellement à Yaoundé dans la capital camerounaise pour la suite de l’enquête." (Extrait de "Oeil d'Afrique").

Complices des actions ou même membres de Boko Haram ? Ou intermédiaires qui se sont remplis les poches à l'occasion de libération d'otages ? Pourtant, la thèse officielle n'est-elle pas que la France ne verse jamais de rançon ? Et comment extirper le terrorisme avec des ministres qui jouent le double jeu ?

18 juin 2014

Un nouveau réseau d'éoliennes à Elzach

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La construction de trois nouvelles éoliennes sur la colline de Prechtal est prévue au mois d'août. Auparavant, il s'agit d'aménager l'accès au site pour pouvoir amener sur place les grues et les véhicules lourds. Les trois éoliennes ont été planifiées par la société "E-Werk Mittelbaden" et fourniront l'électricité verte à 7000 ménages. Les turbines seront à une hauteur de moyeu de 149 mètres et une hauteur totale de 200 mètres. Le diamètre des rotors est de 101 mètres. La production annuelle sera de 19 millions de kilowatts-heures. En premier lieu seront aussi posés les câbles pour le raccordement électrique au réseau. Des mesures de protection des oiseaux seront prises lors de l'abattage des arbres. D'autres éoliennes devraient être prévues par la suite sur la même colline.

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Le mât de mesure du vent sera démantelé avant la construction des éoliennes.

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