Des touristes ont vu et photographié lundi un loup à proximité de la commune de Vöhrenbach, située dans le district de Fribourg-en-Brisgau. Une analyse des clichés réalisée par l’Institut de recherche et d’expérimentation forestières de Fribourg a permis de confirmer que l’animal état bel et bien un loup, a déclaré un représentant du ministère de l’Environnement. Les vacanciers ont pris les photos depuis leur voiture, alors que le loup traversait tranquillement la route en direction de Titisee-Neustadt avant de disparaître dans un fourré.
«Tant que les loups n’ont pas trouvé de territoire adéquat, ils se déplacent en permanence et parcourent de grandes distances », a précisé le ministère. Par ailleurs, on ignore pour le moment s’il s’agit du même animal qui a tué trois moutons en novembre à Bad Wildbad (arrondissement de Calw) et des cervidés en décembre à Simmersfeld (arrondissement de Calw) et Bad-Rippoldsau-Schapbach (arrondissement de Freudenstadt).
Un marin polonais de 54 ans a été secouru dimanche dernier au large de La Réunion après avoir dérivé sept mois dans l'océan Indien selon ses dires, a-t-on appris mardi soir auprès de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM).
L'embarcation de fortune de ce marin de nationalité polonaise a été repérée au large des côtes du nord par un voilier qui a alerté les secours.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour déterminer les circonstances de l'aventure vécue par le marin.
Le cinquantenaire a indiqué qu'il dérivait en mer depuis sept mois. Il a affirmé avoir pris la mer en mai dernier au départ de l'Union des Comores située au sud-est de l'Afrique. Il comptait se rendre en Afrique du Sud pour y trouver du travail.
Son embarcation, une chaloupe de sauvetage de paquebot qu'il a lui-même aménagée, est très vite tombée en panne, selon ses dires. Sans aucun moyen de communication ni instruments de navigation -il les auraient cassés- et avec des provisions prévues pour un mois, le marin dit avoir dérivé entre les Maldives, l'Indonésie et l'île Maurice avant d'être secouru au large de La Réunion.
Avec son chat pour seule compagnie, le cinquantenaire affirme avoir survécu en mangeant un demi sachet de soupe chinoise par jour parfois agrémentée par le produit de sa pêche.
Le marin a précisé qu'après 10 ans passés aux Etats-Unis, il s'est rendu en Inde en 2014 pour y acheter son embarcation. Il avait l'intention de naviguer jusqu'en Pologne mais son bateau a perdu son mât et il a dérivé jusqu'aux Comores.
Le cinquantenaire, qui a endommagé son embarcation en accostant, est resté plusieurs mois dans l'archipel comorien, où il a réparé son bateau, avant de reprendre la mer en mai.
Pris en charge par l'association des "Gens de la mer", le marin se dit dans l'impossibilité de repartir aux Etats-Unis, son permis de séjour ayant expiré. Il n'envisagerait pas non plus de retourner en Pologne. Il espère pouvoir réparer son bateau et rester quelques temps à La Réunion.
Alors que la communauté des communes de la vallée de Villé est à la pointe technologique puisqu'elle envisage la possibilité de mettre en place un atelier de fabrication numérique (FabLab), Jean-Marc Riebel, son président, vient seulement de se mettre à la page dans ce domaine. Mieux vaut tard que jamais ! Il a en effet précisé, devant les élus du conseil communautaire, qu'il venait tout juste de découver un nouveau terme :ce qu'on appelle "les geeks..." MDR (pour mort de rire) ou LOL (pour laughing out loud, rire aux éclats en français) comme on dit sur internet ! Le terme de geek n'est pourtant pas si récent pour désigner une personne qui s'y connaît en informatique notamment. (DNA du 24/12/2017).
Ah si Jean-Marc Riebel venait, comme par exemple le maire de Villé André Frantz, un peu plus souvent sur ce blog, ou s'il avait "un mur" facebook, ou s'il fréquentait les réseaux sociaux... Il serait initié depuis belle lurette. Et il ne serait pas sans ignorer ceux qui sabordent sa belle oeuvre depuis leur mairie, comme en diffusant à retardement les "comcom.infos" et les enquêtes qui y sont lancées.
La Tunisie a suspendu les vols d’Emirates Airlines après un tollé général au sujet des mesures de sécurité dans les Emirats Arabes Unis visant les femmes d’Afrique du Nord en général et de Tunisie en particulier.
Le ministère des Transports de Tunisie a déclaré qu’il avait suspendu les vols d’Emirates Airlines vers Tunis jusqu’à ce que la compagnie aérienne trouve une solution appropriée pour exploiter des vols "conformément au droit international et aux accords". Cette décision est la conséquence de mesure de brimade prise par les Emirat Arabes unis contre des femmes du Maghreb. Un certain nombre de femmes tunisiennes ont, en effet, déclaré que leurs voyages dans l’État du Golfe avaient été retardés et que certains d’entre eux avaient été contraints de subir un examen plus approfondi de leur visa et certaines n’auraient pu embarquer.
Cette situation a déclenché des réactions de colère sur les médias sociaux et les médias en Tunisie et les Emirats n’ont pas apporté de réponse satisfaisantes pour expliquer les raisons de ce traitement particulier. Anwar Gargash, le ministre des Affaires étrangères des Emirats Arabes Unis, a déclaré sur Twitter : "Nous avons contacté nos frères tunisiens au sujet des informations de sécurité qui nécessitaient des procédures spécifiques (...) Nous devons éviter les tentatives trompeuses ... Nous valorisons les femmes tunisiennes et les respectons", a-t-il ajouté, sans préciser.
Malgré la levée officielle de la restriction, les groupes de défense des droits de l’homme tunisiens ont condamné ces mesures comme "discriminatoires et racistes" rapporte The Guardian qui explique que la Tunisie a essayé de rétablir les relations diplomatiques avec les EAU, qui ont été endommagées par sa révolution de 2011 et après que le parti islamique al-Nahda, qui a des liens étroits avec le Qatar, soit arrivé au pouvoir dans le pays nord-africain. Les relations entre le Qatar d’une part et l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, Bahreïn et l’Egypte d’autre part ont été rompues depuis juin après que les quatre pays arabes ont accusé Doha de soutenir des groupes terroristes dans la région.(Afrik.com)
L’Assemblée générale de l’ONU a adopté jeudi à une large majorité une résolution condamnant la reconnaissance par Washington de Jérusalem comme capitale d’Israël. Sur les 193 pays membres, 128 ont voté pour cette résolution et neuf contre, 35 pays décidant de s’abstenir lors d’un scrutin que le président américain avait promis de scruter de près, menaçant de représailles financières ceux qui soutiendraient le texte.
Ci-dessous le décompte nominatif des votes par pays.
«Meilleure Destination Culinaire» et «Meilleure attraction touristique» aux World Travel Awards 2017.
Au Pérou, le secteur touristique a plus que jamais le vent en poupe en cette décennie, pour la sixième année consécutive, le pays sud-américain a été reconnu comme «Meilleure Destination Culinaire» dans le monde, tandis que le célèbre Complexe Archéologique inca, le Machu Picchu, a été désigné «Meilleure attraction touristique 2017» lors de la dernière édition des prestigieux World Travel Awards ( WTA), un évènement qui s’est tenu à Phu Quoc, au Vietnam, a rapporté Promperú (Commission de promotion touristique).
Depuis 1993, la remise des prix World Travel Awards est devenue un indicateur solide et reconnue pour mesurer l’excellence dans l’industrie du voyage et du tourisme à travers le monde. Les lauréats sont choisis grâce au vote du public via la plateforme en ligne de l’organisation et au vote que les experts du secteur réalisent dans le monde entier. Selon le journal américain The Wall Street Journal, ils sont considérés comme les «Oscar» du secteur.
« Ces témoignages de reconnaissance que nous recevons en tant que pays sont le résultat du travail que nous effectuons afin de promouvoir nos ressources touristiques et notre gastronomie. Ces récompenses nous placent devant les yeux du monde, surtout devant l’élite de l’industrie du voyage », a déclaré la directrice d‘Imagen País de Promperú, Isabella Falco, .
En 2016, le Sanctuaire historique de Machu Picchu a accueilli 1,4 million de visiteurs et a affiché une croissance moyenne de 6% au cours des cinq dernières années. Selon Trip Advisor, 98% des touristes qui l’ont visitée ont vécu une expérience positive et conservent un bon souvenir de leur passage dans la région andine, berceau de la civilisation inca, l’une des plus connues du monde précolombien en Amérique latine.
Selon une étude menée par Promperú, la principale motivation des touristes lorsqu’ils se rendent au Pérou est justement de visiter la cité perdue du Machu Picchu, même si la découverte de la gastronomie fait déjà partie des aspects motivants du voyage. D’ailleurs, le même rapport indique que 82% des vacanciers qui visitent le pays considèrent le Pérou comme une destination gastronomique, d’autre part, selon les experts, la cuisine péruvienne est de plus en plus positionnée dans le monde, ce qui ouvre de nouvelles perspectives pour l’exportation de produits locaux. Les autorités voient en cette reconnaissance un moyen de faire connaître les traditions culinaires de ce pays riche de sa diversité qui se caractérise par les influences de trois grandes régions (ouverture sur l’océan Pacifique, l’Amazonie, et les Andes) avec, de fait, des approches culinaires variées.
La gastronomie du Pérou est l’une des plus diversifiées au monde, comme en témoigne le fait que c’est l’un des pays avec le plus grand nombre de plats typiques (491), son niveau équivaut à celui des gastronomies indiennes, chinoises ou encore françaises.
Au cours des dernières années, Promperú a fait en sorte de promouvoir le pays au patrimoine culturel incroyable avec des campagnes innovantes qui ont su séduire et attirer le public international. En ce sens, la campagne touristique «Pérou, le pays le plus riche du monde» a été lancée : culture, nature, gastronomie ou activités d’aventure, tous les aspects sont mis en avant dans ce spot attractif.
Actuellement, il y a trois restaurants péruviens qui figurent sur la liste des 50 meilleurs restaurants du monde: Central (5ème place), Maido (8) et Astrid & Gastón (33); et il y a 10 restaurants qui apparaissent sur la liste des 50 meilleurs restaurants en Amérique latine.
Ces cérémonies sont suivies par les chefs d’entreprises, les principaux décideurs, les chefs, les personnalités et les médias les plus importants du tourisme et du commerce, une mise en lumière incomparable pour tous les acteurs de ce secteur clé de l’économie.
Mais le Pérou n’est pas le seul pays d’Amérique latine à jouir en cette édition d’une jolie reconnaissance, puisque le Chili a été élu comme la «Meilleure destination pour le tourisme d’aventure en 2017». En outre, le «Charming Luxury Lodge & Private Spa», d’Argentine, a été choisi comme «Meilleur hôtel de charme de 2017».
D’autre part, la Bolivie a reçu le prix de la «Meilleure destination culturelle de 2017» et l’Équateur a remporté trois prix: «Meilleure destination balnéaire en 2017» (îles Galapagos), «Meilleure destination verte de 2017» et «Meilleur hôtel vert 2017» (Hôtel Finch Bay Galápagos).
Voilà un continent qui devrait jouir de nouvelles perspectives de développement dans les prochaines années grâce à un secteur touristique en essor.