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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
19 décembre 2012

Bassemberg au Conseil Général

bassemberg2Le Conseil général du Bas-Rhin a accordé une aide à la commune de Bassemberg :

- aménagement de la placette du Giessen avec emplacements réservés pour personnes à mobilité réduite dans le cadre du contrat de territoire de la Communauté des Communes du Val de Villé : 7355,40 €.

- aménagements de trottoirs, rue principale, dans le cadre du contrat de territoire de la Communauté de Communes du Val de Villé : 2013,40 €.

- sécurisation de l'ouvrage d'art de la rue principale dans le cadre du contrat de territoire de la Communauté de Communes du Val de Villé : 913,50 €.

TOTAL : 10286,30 €.

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30 octobre 2011

Des enfants du Bas-Rhin paient la gestion calamiteuse du Conseil Général et de l'Etat

image_038__1_J'ai lu ces jours-ci avec un intérêt particulier un commentaire d'un visiteur régulier du blog, répondant au sympathique pseudo de villois-bis. Il estimait notamment que François Hollande (candidat PS aux présidentielles) était à la tête d'un des départements les plus endettés de France ! Cela pour dire que, visiblement, les Bas-Rhin et le Haut-Rhin ne sont pas au mieux de leur forme, alors qu'ils sont dirigés par l'UMP, et que tous les départements vont mal du fait de la départementalisation sans moyens faite par Sarkozy ! D'ailleurs, même le conseiller général 67 (majorité présidentielle et alsacienne) reconnaît que "les finances du conseil général sont dans un état désastreux" (post du 4/9/2011 concernant les transports scolaires).

Et voilà qu'apparaît dans la presse de ce matin un autre problème concernant un collège géré par le Conseil Général, celui de Sundhouse, dont la rénovation est repoussée à la Saint-Glinglin. Cette affaire m'a particulièrement intéressé du fait de l'histoire parallèle des collèges de Villé et de Sundhouse, construits dans les années 60, à l'époque du baby-boom et de la prolongation de la scolarité jusqu'à 16 ans. C'était au temps de la centralisation étatique qui avait établi pour la construction des CES (dénomination des collèges à cette époque) des plans uniques pour tous les établissements. Les premiers et les plus tristement célèbres furent les CES Pailleron, à structure métallique, dont certains furent détruits par incendie. Le plus connu se situait dans le XVIème arrondissement de Paris, son incendie fit 20 victimes dont 16 enfants.

Une deuxième série de collèges fut confiée à la société Littoral-Nord qui avait sont siège à Lille et qui construisit sur des plans identiques les collèges de Sundhouse et de Villé. De type 400, celui de Villé dut se réduire à occuper en plus 5 salles communales dans le bâtiment adjacent de l'école primaire. Je me rappelle en tant qu'enseignant à cette époque, de journées de pluies fortes et d'orages de l'eau qui tombait des plafonds et dévalait les escaliers. Le temps de faire intervenir la société pour étanchéifier les toits plats peu adaptés à notre climat, la société Littoral-Nord avait disparu en faillite ! 

Par la suite, avant d'envisager des agrandissements, puis des modifications de fond, l'aménagement de mobile-homes récupérés à la hâte sur  des chantiers, furent la tradition avec tous leurs inconvénients (frigos en hiver, fours surchauffés en été, pas d'insonorisation). L'établissement devait pourtant durer 20 ans selon leurs concepteurs ! Le Conseil Général, devenu propriétaire, attendit les 40 ans avant d'envisager la transformation.

Et voilà que l'on apprend que son jumeau, après près de cinquante ans, est toujours dans l'état initial : prévu pour 400 élèves en 1966, il en accueille 550 et les mobile-home pallient au manque de locaux. Les travaux de transformation, de rénovation et d'agrandissement sont repoussés. La liste des établissements à rénover s'allonge, et le département du Bas-Rhin n'a plus les moyens ! Il manque 50 millions d'€ et selon le conseiller général Gérard Simler (divers droite, majorité alsacienne) "la période de vaches maigres est bien entamée" !

François Hollande en Corrèze exige et obtient  une compensation de moyens d'accompagnement de la politique "au moindre coût pour l'Etat" de la décentralisation sarkozyenne, ce qui est une position courageuse et logique ! Le Bas-Rhin fait payer les pots cassés et la crise aux enfants du Ried et d'ailleurs ! Quant aux élus au département, ils acceptent stoïquement et votent la politique qu'ils font semblant de condamner sur le terrain !

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CES Pailleron détruit par les flammes : la structure métallique n'a pas résisté,

20 morts dont 16 enfants !

7 mai 2011

Communautés des communes : 44 - 16 = 28

comcomLe préfet du Bas-Rhin vient d'annoncer qu'il est dans l'intention de l'Etat de réduire le nombre des communautés des communes d'un tiers, et qu'il envisage donc pour notre département 16 fusions pour passer de 44 à 28 intercommunalités. Bien sûr, il se veut aussi rassurant pour notre vallée, puisqu'il affirme ne pas vouloir fusionner Sélestat et Villé ! Pour le moment, les seules fusions évoqués dans le secteur touchent les communautés de communes de Barr et Dambach-la-Ville, Sundhouse et Marckolsheim, et Benfeld et Rhinau. Mais ce n'est qu'une ébauche ! Une "commission départementale de coopération intercommunale" a été nommée et elle comprend un bureau dont font partie Alfred BECKER, maire de Saint-Pierre, qui en est le rapporteur général, Claude STURNI, maire de Haguenau, et Jacques BIGOT, maire d'Illkirch, et la commission comprend tous les présidents de comcom qui y siègent de droit. Bonjour les guerres d'influence dans les six ans à venir. Il y aura forcément des rebondissements jusqu'à trouver un équilibre. Alors la comcom du val de Villé en sortira-t-elle indemne ? à voir. Mais, ne nous affolons pas : tout peut être remis en cause dès 2012 ! Quant aux autres syndicats, aucun risque de suppression pour la vallée. Le préfet a annoncé qu'il ne supprimera que "les syndicats dormants ou ceux qui n'ont plus d'activité, sauf les indemnités". Même le "syndicat des 26 communes" renommé pour la gaieté et la bonne humeur du repas qui suit l'assemblée générale annuelle (elle n'est elle-même qu'une légère sieste pour les participants) sera maintenu. Quant au SMICTOM, qui penserait à le supprimer ?

11 août 2010

Le conseil général se préoccupe du "Saint-Gilles 2010"

224000099_1La Communauté des Communes du Canton de Villé vient d'obtenir par des délibérations du Conseil Général du Bas-Rhin toute une série de subventions, le tout représentant des montants de 73.375 € et 13.652 € pour des dépenses annoncées de 421.550 € et 55.793,40 €.  Et le tout regroupé dans un budget fourre-tout intitulé "développement local des bassins de vie"! Un comble lorsqu'on sait que la vallée se meurt ! Sans vouloir relever tous les points, trois d'entre eux sont particulièrement menés à la fois par le Conseil Général et la Comcom.

Ainsi, on apprend qu'une étude de plus a été lancée relative à la zone d'activités de Maisonsgoutte pour un montant de 22.126 € subventionné à hauteur de 5.550 €. Et malgré une n ième étude, celle-ci reste désespérément vide !

Autre chapitre légèrement aidé : l'action "petite enfance" dont le coût global est de 340.000 € bénéficie d'une aumône de 10% soit 34.000 €. Dans un canton aux salaires bas, où peu de familles peuvent partir en vacances,  mais où beaucoup trouvent du travail en dehors de la vallée et doivent placer leurs enfants pour la journée, on ne s'émeut guère chez nos élus du volet social. Pas étonnant que tant de nos jeunes traînent dans la rue.

Mais là où l'on croit rêver, c'est en lisant que pour le "Rêve d'une nuit d'été" (et il est bien spécifié qu'il s'agit du spectacle "2010") la Comcom aurait dépensé 25.000 € subventionnés à raison de 50% soit 12.500 € ! Que celui qui a vu le beau spectacle de cette année dite sabbatique nous en fasse le compte-rendu !

Enfin, j'ai retenu un autre point : la Comcom a obtenu l'intégralité des montants qu'elle a demandés ! Il semble donc que l'accord politique soit total entre ces deux instances dont les directions ne sont pas, plus ou pas encore du même bord.

12 juillet 2010

21 millions d'€ pour le Massif Vosgien

cascadeLes Régions Alsace, Lorraine et Franche-Comté sont des partenaires de premier plan de la convention interrégionale du Massif des Vosges, s’engageant à hauteur de 21 M€ (millions d’euros) sur sept ans, autant que l’État, a annoncé le CPMV (comité de programmation du Massif des Vosges). En trois années d’application de la convention et en six réunions du CPMV, 210 projets représentant un coût total de 70 M€ ont été soutenus sur ce territoire. Par ailleurs, une liste de plus de 90 projets a été examinée dans le cadre de la programmation 2010, doit 69 ont été retenus, représentant un coût total de 21 M€.Parmi eux, l’aménagement du site de la chapelle Notre-Dame-du-Haut à Ronchamp (Haute-Saône), confié à l’architecte Renzo Piano, mais aussi les festivals des Abbayes (88) et Musique et mémoire (70), la nouvelle appellation d’origine contrôlée « Kirsch de Fougerolles », les programmes d’investissement des stations de Gérardmer, du Rouge Gazon et du Ballon d’Alsace, ainsi que la promotion à l’Exposition universelle de Shanghai des cristalleries Saint-Louis, Baccarat et Lalique. Mais où sont les projets des Vosges bas-rhinoises ?

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23 juin 2010

Le coucou Marleix

coucou__1_Le secrétaire d'Etat aux collectivités locales auprès du ministère de l'Intérieur Alain Marleix s'est déplacé en Alsace pour inaugurer les premières gendarmeries opérationnelles (Rouffach et Dannemarie) construites dans le cadre d'un vaste programme de renouvellement des locaux de ce service public national dépendant directement de l'Etat. A Villé la construction est encore en cours. N'oublions pas pourtant que l'Etat ne finance ces constructions qu'à hauteur de 10%, que la différence de coût est assurée par les collectivités territoriales et locales, que les communes mettent à disposition des terrains de construction à un prix dérisoire... Bref, l'Etat se désengage et, comme le coucou, va occuper le nid des autres.

9 janvier 2010

Gerstheim - Villé : les deux font la paire

Traitement_des_dechets___9bis_2_b84b7Surprise, mercredi matin à Villé, où de nombreux Villois se rendant au marché ont vu passer la benne à ordures et se sont dit : "Mon Dieu, je n'ai pas sorti ma poubelle jaune!" D'autres se sont fait la réflexion : "Le camion du SMICTOM passe tous les quinze jours, il a passé la semaine dernière... Que se passe-t-il?" Tout simplement une histoire de semaines paires ou impaires, l'année 2009 s'est terminée sur une semaine impaire (la 53ème) et l'année 2010 a aussi commencé par une semaine impaire (la 1ère) ! Un grand nombre d'habitants va donc rester 3 semaines sans vider sa poubelle jaune, à moins de revenir à la méthode d'antan et de s'organiser pour ramasser eux-mêmes leurs déchets. Et ce mercredi, 6 janvier, les employés du SMICTOM ont pu faire à Villé "la tournée des grands ducs" (à moins qu'ils ne se soient pris pour les rois-mages suivant leur bonne étoile). Pendant ce temps à Gerstheim, tous les habitants avaient sorti leurs poubelles pleines qui n'ont pas été ramassées ! (voir article de presse : DNA0601poubelles ). Il aurait pourtant été simple de rendre les habitants attentifs, ne serait-ce que par voie de presse, ou de bulletins  et de sites municipaux. Mais nos élus vont pouvoir se donner du temps pour une réflexion sur cette communication, car en 2010 et 2011 l'année ne comptera que 52 semaines, les fêtes de Nouvel An 2011 et 2012 se situant sur  un week-end ! Le problème ne se posera donc plus dans l'immédiat! Gageons qu'en 2013 et 2014, à l'approche des élections municipales, la communication sera plus soignée! 

7 novembre 2009

Vers un permis de construire payant ?

permis_20de_20construireDans la séance du 23 février 2005 du conseil municipal de Villé, le débat avait été houleux sur le point : "Instruction des autorisations de sol - convention avec le SDAU" (*). Il s'agissait en fait de transférer l'instruction des permis de construire de la DDE vers le SDAU, dépendant du Conseil Général. Extraits : "Mr. Boehler s'insurge contre cette proposition considérant qu'elle contribue au démantèlement du service public; il demande le maintien de l'instruction par le Centre d'Urbanisme de la D.D.E. de Sélestat. (-) Après un large débat, le Conseil Municipal approuve par 10 voix pour, 5 voix contre (Boehler, Maxim, Meister, Moritz, Weiss) et 4 abstentions (Cunin, Schmidt, Spiesse S. et Spiesse E.) la convention avec le SDAU à compter du 1er avril 2005 et autorise le Maire à la signer et tous les documents s'y rapportant." Le même type de vote avait eu lieu dans une grande partie des communes du Bas-Rhin. Mardi dernier, lors de la conférence territoriale tenue à Obernai et organisée par le Conseil Général pour les élus du Centre-Alsace, des maires se sont plaint des procédures pour les permis de construire ! Voici la réponse du président Guy-Dominique Kennel, relatée par la presse : "Le Département propose d'aider les communes à instruire les permis de construire. Car la DDE se désengage. Il promet aussi un interlocuteur fixe qui se déplace deux fois par mois et un suivi en direct par Internet de l'avancement de ces permis. Des services supplémentaires facturés 1,50 €  par habitant à la commune." En fait, le service public va être "départementalisé" et payé par le contribuable bas-rhinois (le président du Conseil Général regrette le désengagement de la DDE qu'il a lui-même contribué à dépouiller !), en attendant d'être payé par le demandeur ? Ah si tous ces maires avaient su ? Mais au fait, n'est-ce pas le rôle des élus d'anticiper ?

(*) : Service Départemental d'Aménagement Urbain.

  • A lire aussi les débats de 2005 relatés par la presse : dde1

28 octobre 2009

La fronde des montagnards

261020094ae5ccb9dc7a5Et pendant que les maires ruraux se réunissaient et contestaient le projet de loi territoriale, à l'Argentière-La Bessée, au 25ème congrès de l'ANEM (Association Nationale des Elus de Montagne) le vent de fronde n'a arrêté de souffler, et toujours à propos des mêmes sujets : le projet de loi territoriale, la suppression de la taxe professionnelle, ... Et même le député-président Henri Nayrou a monté le ton : «On en a marre des coups successifs sapant les fondements de la vie montagnarde, de la pensée dominante de plus en plus urbaine, des sourires narquois de nos collègues députés quand on leur explique sans emphase les conséquences de la taxe carbone sur les citoyens des zones excentrées, froides et sans schéma de transport. On en a assez de cette dictature du nombre, de ces pourcentages résiduels et de ces refus qui nous sont assénés comme une fatalité  et qui pourrissent notre existence, pour la TNT, pour les services publics, pour l’école, pour la Poste, pour l’élevage, pour les producteurs laitiers, pour les prédateurs, et pour tant d’autres choses». Et les motions adoptées sont encore plus virulentes que celles des maires ruraux ! Pour ces élus, l'heure de la révolte a sonné ... Nos élus de nos vallées alsaciennes vont-ils eux aussi se mouiller ? Prochain épisode à Paris, chez le Premier Ministre Fillon au Conseil National de la Montagne, le 3 novembre. 

12 octobre 2009

Quand ceux de "là derrière" montent à Paris !

tunnelLe 14 octobre, nos élus de la montagne (AMV *) manifesteront devant le tunnel de Sainte-Marie-aux-Mines pour protester ... contre le passage des poids-lourds dans les cols vosgiens, tout en exigeant que tout le trafic passe dans le tunnel, sauf le "transit" (à peine 10 à 12 % de ce même trafic) qui  doit en rester interdit ! Comprenne qui pourra, mais il est difficile à découvrir une pensée là où il n'y a que quelques arrière-pensées, quant à elles bien lisibles :

  • faire plaisir à quelques pseudo-écologistes qui voient des "couloirs à camions" partout, au moindre passage d'une estafette dans la rue.

  • occuper le terrain avant les autres associations du massif, de façon à apparaître comme représentatif des Vosges aux prochaines échéances.

montagneEn effet, le dernier week-end d'octobre, l'ANEM (**) tiendra son 25ème congrès, à L'Argentière-La Bessée dans les Hautes-Alpes. Selon Vincent Descoeur, député du Cantal et Secrétaire Général de l'ANEM, "la vitalité de nos territoires et leur avenir sont en jeu". Et il annonce dans le bulletin trimestriel de l'ANEM les deux grands points à débattre : le dossier de la réforme des collectivités locales et la préparation du CNM (***). Car le 3 novembre, nos "montagnards" seront convoqués à Paris par le premier ministre François Fillon qui présidera la réunion annuelle du Conseil National de la Montagne.

Une loi guère appliquée !

la_loi_montagne_1985_copy1Réunion annuelle si importante pour la montagne que la dernière s'est tenue à Sallanches (Haute-Savoie) en 2006 ! et depuis 3 ans, aucun des élus ne s'est senti en manque, alors qu'elle est pourtant règlementée et prévue tous les ans par la loi-montagne qui date de 1985, seule loi de cette époque qui avait été votée à l'unanimité ! A l'ordre du jour du CNM les points prévus sont nombreux :

  • le Grenelle de l'Environnement

  • la suppression de la taxe professionnelle

  • programmation d'une loi de modernisation agricole

  • réorganisation des collectivités locales

A lire ces points, on peut prévoir que François Fillon va utiliser l'instance pour faire le lobbying de sa politique, et y récupérer si possible quelques montagnards avec un discours qui s'adressera plus à l'ensemble de la ruralité. Finie la politique spécifique de la montagne que tous avaient approuvée ! L'Etat n'a pas les moyens ! Singulier d'ailleurs que le premier ministre convoque ces braves montagnards à Paris, et n'aille pas à eux dans l'un des massifs ! Preuve de l'importance qu'il leur attache ! Et dans cette "montagne de dossiers" à traiter, que pèsera notre délégation des Vosges alsaciennes ? évoquera-t-on seulement les transports dans les cols et les tunnels ? A quoi aura servi cette petite manifestation du 14 octobre au tunnel de Ste-Marie-aux-Mines sinon à faire comprendre un peu plus que nos élus n'ont aucune vitalité et nos vallées peu d'avenir !

* AMV = Association des élus du Massif Vosgien

** ANEM = Association Nationale des Elus de Montagne

*** CNM = Conseil National de la Montagne

Les élus alsaciens à l'ANEM

  • Marie-Reine FISCHER, conseillère régionale d'Alsace (Bas-Rhin), suppléante : Mariette-Sieffert.

  • Alice MOREL, conseillère générale du Bas-Rhin, maire de Bellefosse.

  • François TACQUARD, conseiller général du Haut-Rhin, suppléant : Pierre GSELL.

  • Jean VOGEL, maire de Saâles.

Dernière minute, à lire : DNA1409maniftunnel

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