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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
18 février 2018

Strasbourg : 20.000 Kurdes ont défilé

Les manifestants étaient venus de toute l'Europe et particulièrement d'Allemagne.

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Environ 20.000 Kurdes​ ont défilé ce samedi à Strasbourg pour réclamer la libération de leur chef historique Abdullah Öcalan, emprisonné en Turquie, mais aussi pour protester contre l’offensive turque dans l’enclave kurde d’Afrine en Syrie.

Le défilé est parti en fin de matinée de la gare de Strabourg, sous la pluie et la neige. Agitant de nombreux drapeaux kurdes et d’autres à l’effigie de leur leader, les manifestants, venus de toute l’Europe et particulièrement d’Allemagne, ont rejoint en début d’après-midi, sous importante escorte policière, le quartier de la Meinau où un meeting est prévu.

Rappelons que les Kurdes ont combattu DAECH en Syrie et en Irak aux côtés des alliés occidentaux, et sont aujourd'hui réprimés par la dictature d'Erdogan. Les Kurdes espèrent le soutien de l'Union Européenne, et souhaitent que notamment Macron sorte de l'ambiguïté à leur égard.

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17 février 2018

Des agriculteurs du Val de Villé en visite au drive fermier de Saint-Dié

Ce vendredi après-midi, des agriculteurs de Schirmeck, Stosswihr et Villé ont visité le drive fermier de Saint-Dié.

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Organisée par les Chambres d’Agriculture des Vosges et d’Alsace, cette rencontre fut l’occasion pour les producteurs agricoles alsaciens de faire connaissance et d’échanger avec leurs homologues vosgiens. Tout particulièrement sur l’organisation, la structuration et l’organisation du drive fermier déodatien, et ce en vue de l’ouverture d’autres drives fermiers que celui de Schirmeck, le seul qui existe actuellement en Alsace. Présidé par Cyril Claude, celui de Saint-Dié-des-Vosges fonctionne depuis le 5 mai 2017 et rassemble actuellement 24 agriculteurs membres. Chaque vendredi, ce sont en moyenne 88 paniers de produits locaux qui sont distribués aux clients du drive fermier.

Pour un drive inauguré il y a moins d'un an, belle réussite. A Villé, un drive prendra-t-il la place ou complétera-t-il le marché du terroir de plus en plus défaillant, n'est-ce pas Monsieur le Maire et la Conseillère Départementale première adjointe chargée  du marché du terroir (si elle l'est encore) ?

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16 février 2018

Macron fait dégager la presse de l'Elysée

Il piétine une tradition vieille de 40 ans !

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La présidence de la République veut fermer d'ici l'été la salle de presse installée depuis 40 ans dans l'Élysée pour la déménager dans une annexe, hors du Palais, une décision unilatérale dénoncée comme une "entrave" au travail des journalistes par l'Association de la presse présidentielle.

"La présidence a décidé d'un déménagement de la salle de presse" dans une annexe située rue de l'Élysée, "afin d'augmenter sa taille", a annoncé mercredi la conseillère communication d'Emmanuel Macron, Sibeth Ndiaye, lors d'une réunion avec des journalistes, dont l'AFP.

L'Élysée souhaite également "élargir le champ des accréditations permanentes", a-t-elle ajouté.

Jusqu'ici, les médias avaient accès à une salle de presse donnant sur la cour de l'Élysée à certaines occasions (Conseils des ministres, réceptions de dirigeants étrangers...). Les agences de presse y avaient, elles, accès en permanence.

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Dès son arrivée à l'Élysée, en mai, le chef de l'Etat avait souhaité le départ des journalistes de l'enceinte du Palais. L'Elysée avait remisé à l'été ce projet qui avait déclenché un tollé au sein des rédactions.

L'actuelle salle de presse deviendra "une salle de réunion" pour les conseillers de l'Elysée. Cette décision a été prise "pour une raison fonctionnelle", a ajouté Sibeth Ndiaye.

Alors que les journalistes présents protestaient contre une "volonté politique d'écarter la presse", Mme Ndiaye a affirmé: "Ce n'est pas la volonté qui est celle de la présidence de la République". Elle a reconnu qu'il s'agissait d'une "décision unilatérale, sans concertation". "Il y a des privilèges qui tombent", selon le service de presse.

- Dans l'Élysée depuis VGE -

"Ce dont on peut discuter, c'est l'aménagement" de la nouvelle salle de presse, a souligné Sibeth Ndiaye. Interrogée sur le coût des travaux pour aménager cette salle, elle n'a pas été en mesure de répondre dans l'immédiat.

L'Association de la presse présidentielle (APP) a "déploré vivement" ce "choix unilatéral, malgré les promesses de concertation", jugeant dans un communiqué publié mercredi que "ce déménagement +hors les murs+ de l'enceinte principale du Palais constitue pour les journalistes une entrave à leur travail". L'APP demande ainsi aux services de l'Élysée de "reconsidérer cette décision".

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Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a demandé à la presse, lors du compte-rendu du Conseil des ministres, de "ne pas voir des symboles là où il n'y en a pas". Il a lui aussi invoqué des raisons "très fonctionnelles" pour ce déménagement vers une salle qui permettra selon lui d'accueillir, "à 10 mètres à vol d'oiseau" de l'Elysée, davantage de journalistes, "dans de meilleures conditions".

Mardi soir, interrogé sur ce projet de réaménagement lors d'une rencontre avec l'Association de la presse présidentielle, Emmanuel Macron avait évoqué un projet immobilier global rendu nécessaire selon lui par des recommandations de la Cour de Comptes. "Il va y avoir une série de travaux (...) avec toutes les concertations", avait-il assuré.

La salle de presse de l'Élysée avait été installée à l'intérieur du Palais sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing et, en 1984, François Mitterrand l'avait transférée sur la cour d'honneur, dans un souci de transparence.

15 février 2018

#balancetonmaire !

Un maire lorrain se balance lui-même !

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Dans le contexte des accusations portées contre Nicolas Hulot, Dany Kocher, maire de Phalsbourg et soutien d’Emmanuel Macron (ce qui est une garantie de maturité politique pour un élu qui est à son cinquième mandat), annonce son intention d’envoyer un courrier au procureur de la République de Metz, pour « avouer et dénoncer tous mes crimes ».

Précisons d’emblée que le maire est aussi ancien comédien, connu pour ses parodies politiques parfois acides, mises en scène lors de ses vœux qu'il propose "décalés".

« J’ai passé ma vie à harceler de pauvres femmes sans défense, écrit-il dans sa lettre. Dans la rue, des magasins, au travail, partout. J’ai regardé des femmes, fait des sourires, des clins d’œil. » Sur le ton de la confession, il raconte : « Déjà ma pauvre maman a eu du mal à me sevrer à l’âge de six mois. C’est donc bel et bien non consentante qu’elle m’a allaité un mois supplémentaire. »

Et ça continue !

« À l’école maternelle, […] j’ai tiré les cheveux, qu’elle avait fort jolis, de Christine T. » Plus tard, « au basket, j’ai à plusieurs reprises regardé […] dans les douches des filles ». Puis, « au club Théâtre, j’ai lâchement profité de mon rôle de Sganarelle pour donner une tape sur le postérieur de Toinette ». Dans le cadre de ses fonctions de maire, il « avoue avoir volontairement piqué le sein gauche de Madame D. en lui remettant la médaille du travail ».

Il va jusqu’à prétendre qu’« il n’y a pas une femme qui n’est entrée dans mon bureau sans avoir avec moi de relations sexuelles ». Affirmant être « hanté par des rêves érotiques », il confie enfin : « Je me suis vu la nuit dernière, m’envoyant en l’air au perchoir de l’Assemblée nationale […] sous les caméras des chaînes de télévision nationales ».

Pour ces « crimes », il demande au procureur de l’envoyer, « comme au Monopoly, directement en prison », mais « sans passer par la case tribunal », de peur de « me demander, affreux que je suis, si Madame la juge est nue sous sa robe ».

À la fameuse question “peut-on rire de tout ?”, le maire de Phalsbourg a visiblement choisi sa réponse… Et ce n'est pas publié par Tomimag (le Gorafi alsacien-lorrain) mais par les DNA !

NB : Pour les Alsaciens partant par le col de Saverne, Phalsbourg est le premier "petit village" lorrain d'avant-garde rencontré. 

14 février 2018

Poutine lance un ultimatum à la France de mettre fin au franc CFA dans les 6 mois !

Macron pleure : c'était mon copain, c'était mon ami ...

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Depuis un certain moment, le débat sur le franc CFA et sur la coopération financière avec la France se fait plus ample dans certains pays africains. Et Poutine en profite pour mettre de l'huile sur le feu, son but inavoué étant de remplacer le franc (et donc aussi l'Euro) par la rouble et s'introduire ainsi en Afrique aux côtés de son allié chinois déjà bien implanté.

La Russie a donné un ultimatum à la France pour mettre fin au système monétaire qu’elle impose à ses ex-colonies en Afrique ou bien elle devra faire face à de graves conséquences. 

Selon certaines sources, il y a eu des discussions entre le ministre russe de l’économie et des finances et son homologue français. sur la question , la fin de la monnaie coloniale le FCFA imposé par la France à certains pays africains. Les Russes ne considèrent pas cette monnaie comme une bonne chose pour l’Afrique car elle constitue un obstacle au développement. Ces sources ont également rapporté que le ministre russe de l’économie a donné à son homologue français un ultimatum de 6 mois pour mettre fin à cette monnaie afin que les pays africains concernés puissent se développer. Dans la cas contraire, il y aura des sanctions économiques russes et une interdiction d’importation de produits français. Un "blocus continental" digne de Bonaparte ? on aura tout vu. "Nous ne pouvons pas rester et voir comment les pays africains retardés, sont dans une misère profonde à cause d’une monnaie qu’ils ne veulent pas. La colonisation est la finit. il est temps pour les pays africains d’avoir leur pleine indépendance et de prendre le contrôle" a t’il dit. Le niveau de paupérisation de ces populations s’en va grandissant. on constate que les populations vivent mieux au Ghana et au Nigéria que celles des pays de la zone franc. Il faut aussi remarquer que la majorité des pays de la zone franc occupe les vingt dernières places du classement de l’IDH 2015.

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Tous les arguments sont bons. Le ministre de Poutine oublie même que le Nigeria est de plus en plus sous la coupe des terroristes de Boko Haram.

Et pendant ce temps, notre jeune président Macron (effectivement encore un peu jeune en politique) reçoit en grande pompe Poutine dans le fastueux palais de Versailles réservé en principe aux "amis". Quant à ce qui se trame en Afrique, qui est loin d'offrir l'indépendance aux Africains, il n'en pipe mot. Au contraire, il se rapproche des Russes en Syrie et en Irak. Bref, il donne les verges pour se faire battre. Adieu la françafrique, vive la russafrique. La guerre colonialiste continue. 

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13 février 2018

La conseillère est de retour

Revenue sur le mauvais versant de la ligne bleue des Vosges

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On savait notre "conseillère départementale - première adjointe au maire de Villé" brillante, depuis de longs mois, plus par ses absences que par ses présences, au point que personne ne l'avait vue dans le canton à une cérémonie de voeux pour 2018, à un repas des personnes âgées ou à l'une ou l'autre réunion de commission (comme celle du marché du terroir qu'elle préside). Au point que même le maire de Villé ne savait pas où elle se cachait ! Un avis de disparition inquiétante était même sur le point d'être lancé dans toute l'Europe.

La voilà donc qui réapparaît brusquement ce mercredi, 7 février à Saint-Dié des Vosges à l'espace François Mitterrand (ce qui n'en fait évidemment pas une socialiste convaincue) à l'occasion de la mise en place d'un nouveau "comité de massif vosgien". A voir les photos de cette belle assemblée, notre conseillère alsacienne (ou plutôt bas-rhinoise) était bien isolée parmi toutes ces lorraines  et lorrains. Mais on sait qu'elle est vaillante, notre conseillère !

Et elle a quand même pu, malgré ses silences habituels, participer à confectionner les objectifs majeurs du projet pour 2018 :

- améliorer l'attractivité par une amélioration de l'offre de service aux populations et aux entreprises.

- accompagner la valorisation économique des ressources naturelles et des compétences reconnues dans le massif.

- accompagner l'adaptation au changement climatique.

- développer les coopérations entre régions de montagne.

Le tout, sous la présidence d'un élu à la recherche d'une nouvelle carrière politique, Jean-Paul Romeyer (sic) selon les vosgiens, Omeyer selon les haut-rhinois, conseiller régional et vice-président du Grand-Est délégué au sport, ayant comme seule référence d'être le père du gardien international de handball Thierry Omeyer. 

Quant à la représentativité de ce comité animé jusque là par le député déodatien Gérard Cherpion, LR pur et dur, on peut la jauger au nombre de présents à cette AG (54 à l'émargement) qui revendique se composer de 580 communes (voir photo ci-dessous). Il faut reconnaître aussi qu'avec son  "projet Théodule" présenté plus haut, ce comité est une concurrence très sérieuse à l'ANEM (association nationale des élus de montagne) et à l'AMV (association des élus du massif vosgien). Il est vrai aussi que notre conseillère présente à l'AG de l'ANEM à Forcalquier, tout comme à une réunion préparatoire dans les annexes de l'Assemblée Nationale, a peut-être trouvé là un peu d'inspiration.

Notons que les candidatures aux commissions ont été très nombreuses, au point que la conseillère régionale strasbourgeoise, première secrétaire départementale du PS, Pernelle Richardot a été désignée (d'office ?) pour être membre de la commission "Espaces et urbanisme". Il fallait quelqu'un, semble-t-il, pour s'occuper des neiges éternelles de la flèche de la cathédrale.

On retrouvera aussi notre conseillère villoise dans la commission "transports et mobilité" en compagnie du militant écologiste vosgien Fleck très versé en "baratin anti-RN59" ! C'est sûr qu'avec ça, le contournement de Châtenois à 2x2 voies et le tronçon Lièpvre - Val-de-Villé vont se faire rapidement.

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12 février 2018

Carnaval dans le Pays de Bade

"Rosenmontag" à Fribourg-en-Brisgau

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11 février 2018

Guerre d’Algérie : les victimes non françaises indemnisées

Le Conseil Constitutionnel a étendu le droit à des pensions aux victimes d’actes de violence pendant la Guerre d’Algérie à l’ensemble des personnes qui résidaient alors dans le pays.

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Quelle que soit la nationalité, le droit à des pensions aux victimes d’actes de violence pendant la Guerre d’Algérie a été étendu, ce jeudi 8 février 2018, par le Conseil constitutionnel français à l’ensemble des personnes qui résidaient alors dans ce pays d’Afrique du Nord.

Plus de 55 ans après le traumatisme de la guerre d’Algérie, le Conseil constitutionnel français a décidé que les civils algériens ayant subi des dommages physiques du fait de violences liées au conflit pouvaient désormais prétendre, eux aussi, à des pensions versées par la France. Les sages ont purement et simplement censuré les mots « de nationalité française » qui réservaient jusqu’alors ces avantages aux seules victimes qui avaient la nationalité française après l’indépendance de l’Algérie. Pour ce faire, les sages ont invoqué le principe « d’égalité devant la loi » garanti par la Constitution française.

À l’origine, le législateur avait justifié la création de ce droit pour les victimes françaises par « la carence du gouvernement algérien » à assurer le paiement des rentes à ces victimes prévues dans les accords d’Evian du 18 mars 1962 mettant fin au conflit. Le Conseil Constitutionnel a considéré que la différence de traitement entre victimes françaises et étrangères n’était pas non plus acceptable en ce qui concerne les ayant-droit des victimes décédées.

10 février 2018

Attention aux belles promesses qui sont des arnaques !

FAUSSE JOIE : VELUX REMBOURSE VOS FENÊTRES ?

VELUX_VIl ne faut pas rêver : cette opération de remboursement concerne uniquement 100 acheteurs répondant aux conditions (remplacement de fenêtres intervenu entre le 16 octobre et le 17 décembre 2017) et désignés gagnants lors d'un futur tirage au sort. L’astérisque accompagnant la promesse "VELUX rembourse vos fenêtres" fait référence à un minuscule paragraphe : "100 gagnants par tirage au sort. Inscription et règlement sur velux.fr." Le fabricant de fenêtres prône un meilleur éclairage naturel de vos pièces mais ne brille pas par son offre publicitaire. Selon : "Arnaques-infos".

  • NB : à l'heure actuelle, la publicité sur velux.fr ne fait plus état que du tirage au sort de 10 gagnants ... d'un volet roulant.

9 février 2018

Macron au Sénégal : les juteuses affaires du patronat français

Macron donne 47 milliards Cfa et reçoit 300 milliards Cfa

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On en sait un peu plus sur les retombées financières de la visite de 48 heures du président français Emmanuel Macron au Sénégal. Une visite très fructueuse pour les entreprises françaises qui raflent au total, des contrats estimés à plus de 300 milliards de francs Cfa, alors que les subventions octroyées par la France au Sénégal, cumulées, ne dépassent pas 47 milliards de Francs Cfa.

Que gagne le Sénégal dans le cadre de cette coopération avec la France ? Les détails en chiffres : 15 millions d’euros (9,8 milliards de FCfa) pour stopper l’avancée de la mer à Saint-Louis, 25 millions d’euros (16 milliards de FCfa) pour rénover le patrimoine de la vieille ville et ancienne capitale du Sénégal. 12 millions d’euros (7 milliards Cfa) pour la construction de 17 collèges dans la capitale sénégalaise, 41 millions d’euros (20,99) milliards Cfa pour booster les politiques publiques en matière d’accès à l’eau et à l’assainissement, un cumul de 47,09 milliards de FCfa que la France a injectés au Sénégal en termes de retombées de la visite de Macron, d’une part. Et d’autre part, ce sont plus de 300 milliards de FCfa de contrats commerciaux qu’engrangent les entreprises françaises.

Vox Populi, dans ses colonnes, rappelle que l’un des contrats gagnés par la France concerne l’achat par le Sénégal pour 112 milliards de FCfa, de deux Airbus 330-900 neo. Il y a également le contrat relatif à l’entretien du Train express régional (Ter) pour plus de 100 milliards de francs Cfa. Un Ter pour lequel l’Agence française de développement (Afd) a contribué pour plus de 200 milliards de FCFa (à rembourser par le Sénégal), sur un coût de plus de 568 milliards de francs Cfa qui reviennent au patronat et à l'Etat français (Alstom, Sncf, Ratp).

Et qui a perdu ? Le salarié sénégalais payé au rabais et le salarié français qui voit son emploi délocalisé s'envoler !

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