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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
20 juin 2023

Les États-Unis ont-ils déjà récupéré des ovnis pour les étudier?

C'est en tout cas la thèse défendue par un éminent spécialiste.

ovni2Ses quatorze ans de carrière au sein du renseignement américain pèsent dans la balance: la parole de David Grusch est de celles auxquelles il est conseillé d'accorder au moins un peu de crédit. Or, ce spécialiste de l'investigation liée aux questions extraterrestres n'y va pas par quatre chemins: il affirme qu'à plusieurs reprises, Washington aurait récupéré des objets d'origine non-humaine sur la surface du globe, et que les engins auraient été étudiés en détail et réparés.

Oui, notre homme est censé savoir ce qu'il raconte. Le média américain The Debrief explique qu'il a «servi en tant que représentant du bureau de l'Unidentified Aerial Phenomena Task Force [une unité créée par le département américain de la Défense pour étudier les signalements d'ovnis, ndlr] de 2019 à 2021» et que «de fin 2021 à juillet 2022, il codirigeait le département de la National Geospatial-Intelligence Agency [l'agence chargée d'analyser et de diffuser le renseignement géospatial, ndlr] portant sur l'analyse des phénomènes aériens non identifiés (UAP)».

David Grusch assure que son pays en saurait bien plus sur les aliens que ce qu'il veut faire croire, et que les différents fragments et engins ramassés çà et là lui auraient permis de développer une véritable expertise de l'ingénierie extraterrestre. Sur ce sujet, sans grande surprise, les États-Unis seraient en compétition avec la Russie et la Chine.

Toujours d'après ce vétéran de l'US Air Force de 36 ans, de nombreuses agences américaines, relevant aussi bien des renseignements que de la défense, seraient impliquées dans ce programme totalement confidentiel. Loin d'être considérée comme risquée en matière de confidentialité, cette multiplicité des partenaires permettrait au contraire de compartimenter les informations, de façon à limiter au maximum le nombre d'individus ayant une connaissance globale des recherches liées aux UAP.

Le Congrès sur la touche

En outre, David Grusch dit personnellement connaître certains individus impliqués dans les opérations de réparation des engins collectés. Il ajoute que tout aurait été fait pour que le Congrès américain reste à bonne distance de ce sujet et qu'il ne soit donc pas tenu au courant de l'existence d'un tel programme –ce qui est, selon lui, illégal.

De telles déclarations, qui ne sont pas accompagnées du moindre début de preuve, relancent évidemment le fantasme collectif selon lequel les extraterrestres seraient déjà là, parmi nous –ou au moins, leur matériel. «À ce jour, l'AARO [le Bureau de résolution des anomalies tout domaine, ndlr] ne dispose d'aucune information vérifiable étayant les allégations d'une possession de matériaux extraterrestres», a en réponse déclaré Susan Gough, porte-parole du département de la Défense, dans un communiqué.

Si David Grusch prend la parole aujourd'hui, c'est parce qu'il estime que ce silence absolu des autorités américaines n'est plus tenable. Après avoir démissionné de ses fonctions gouvernementales en avril 2023, il raconte avoir souhaité devenir lanceur d'alerte sur les sujets liés à la vie extraterrestre.

Le plus troublant, c'est qu'il demeure, aujourd'hui encore, soutenu par d'autres membres des renseignements, et que sa crédibilité ne cesse d'être soulignée par les personnes ayant eu l'occasion de travailler un jour ou l'autre avec lui. (selon "korii.")

Etats_Unis

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19 juin 2023

Au Brésil, les reptiles sont utilisés comme traitement thérapeutique

Les séances thérapeutiques avec des reptiles ont lieu dans sous un grand auvent, près d'un haras où d'autres patients sont en contact avec des chevaux. La thérapeute brésilienne a l'embarras du choix, avec plusieurs espèces de serpents, des lézards ou des tortues, et même un petit caïman.

br_sil"Je n'ai pas peur", assure David de Oliveira Gomes, pendant qu'un imposant boa jaune aux taches marron s'enroule doucement autour de son cou. Cet adolescent brésilien de 15 ans, autiste, fréquente un centre thérapeutique de Sao Paulo qui utilise des reptiles pour aider les patients atteints de divers troubles à se détendre et à améliorer leurs capacités motrices ou leur communication avec les autres.

"Il s'appelle Gold, il est froid et il mange des souris", dit ce grand gaillard au crâne rasé, qui sourit tandis que le serpent se promène le long de sa veste en treillis. "Pour David, c'est un travail de mémoire et d'élaboration du discours", explique Andrea Ribeiro, orthophoniste et spécialiste des thérapies avec les animaux. Elle reçoit de jeunes autistes, des personnes handicapées, mais aussi des patients souffrant de dépression ou de crises d'angoisse.

Ce type de thérapie n'a pas reçu de validation scientifique. Mais "la médecine a montré que, quand une personne est en contact avec un animal, son organisme libère des neurotransmetteurs comme la sérotonine ou la beta-endorphine, qui donnent une sensation de bien-être", affirme Andrea Ribeiro.

De bons résultats obtenus grâce aux reptiles

Gabriel Pinheiro, 10 ans, n'a pas peur de caresser un petit caïman aux dents acérées. "C'est son préféré", révèle la thérapeute. "Il est mouillé", dit le garçonnet autiste, tout en regardant le saurien dans les yeux à travers ses épaisses lunettes. Andrea Ribeiro lui fait décrire les contrastes du corps de l'animal, ses écailles "dures" et son ventre "mou". Ensuite, ils chantent la "chanson du caïman", pour exercer sa mémoire auditive.

"Il est tout heureux de venir ici", dit sa mère Cristina de Oliveira Pinheiro. En quatre ans de thérapie, Gabriel a fait des progrès "dans la compréhension, la communication et la motricité", assure-t-elle. Avec les reptiles, "on obtient de meilleurs résultats, et plus rapidement, (...) car les patients se sentent bien et ont envie d'apprendre".

Les patients autistes, par exemple, n'ont "pas de préjugés" contre les serpents ou les caïmans, qui inspirent habituellement la peur. Et les reptiles "sont impassibles", contrairement aux chiens, qui, comme ils sont souvent très affectueux et réclament de l'attention, peuvent causer une gêne chez les enfants autistes.

Des reptiles non-venimeux

Paulo Palacio Santos, 34 ans, a subi de graves troubles neurologiques après un traumatisme crânien lors d'un accident qui a réduit presque à néant ses capacités motrices. Ses membres inférieurs sont paralysés, les supérieurs bougent à peine, et il ne peut plus parler.

Andrea Ribeiro pose sur son cou un boa dont la peau froide provoque chez lui un réflexe de déglutition. Puis elle fait glisser sur son visage un serpent plus fin, qui stimule les muscles autour de la bouche.

La thérapeute est toujours accompagnée de la biologiste Beatriz Araujo, qui veille à éviter le moindre risque pour les patients au contact des reptiles, dont la possession est régulée par l'organe public environnemental Ibama.

"Il y a des risques au contact de tout type d'animal. Ici, nous n'utilisons pas de serpents venimeux, et je surveille les reptiles en permanence", explique-t-elle. Andrea Ribeiro assure qu'aucun incident n'a été déploré en dix ans de thérapies. (selon "Geo")

18 juin 2023

Abidjan, un vaste chantier à ciel ouvert avant la Coupe des Nations de 2024

La capitale économique ivoirienne se transforme pour accueillir cet événement sportif majeur du continent.

abidjan1D’un bout à l’autre de l’agglomération d’Abidjan, d’énormes travaux éventrent la ville, la tailladent, la restructurent. La capitale économique est un immense chantier à ciel ouvert. Vitrine de la Côte d’Ivoire, tous les regards de l’Afrique seront fixés sur elle en février 2024 lors de la Coupe d’Afrique des nations de football.

La ville tout entière devra incarner la réussite économique du pays. Félix Houphouët-Boigny avait à son époque remplacé la vieille ville coloniale du Plateau par un quartier de gratte-ciel ; Alassane Ouattara entend lui aussi laisser son empreinte sur la cité.

17 juin 2023

La vallée de Villé et le contournement de Châtenois

Grande mobilisation des élus de la vallée de Villé pour la manifestation du 3 juin à Châtenois. Personnellement j'ai rencontré 2 maires, ce qui est déjà beaucoup pour un ex-canton de 18 communes. Une manif annoncée à Villé au conseil municipal du mois de mai avec parution dans la presse à la mi-juin. Pas étonnant donc si le développement économique du secteur laisse à désirer, et si des usines fermées depuis plus de 20 ans, telles les FTV à Villé, tardent à réouvrir. Pas étonnant que les bouchons de Châtenois continuent de laisser les salariés de la vallée à une heure de leur lieu de travail. Et tant pis pour le manque de sécurité. Mais au fait quelle est la position du maire ? Le compte-rendu n'est pas très explicite !

WACH

FTV2

16 juin 2023

En Corée du Nord, accéder à internet est quasiment impossible

Et ce n'est pas à cause de problèmes techniques !

cor_e_du_nordDans nos sociétés occidentales, il paraît presque impossible de se passer d'une connexion internet aujourd'hui. Pourtant, presque 2,7 milliards de personnes, soit près d'un tiers de la population mondiale, n'y avaient toujours pas accès en 2022. Les Nations unies souhaitent que ce problème soit réglé d'ici à 2030. Mais cet objectif semble difficilement atteignable dans des dictatures comme la Corée du Nord.

Le média américain Wired s'est intéressé à la quasi inexistence de l'accès au réseau dans ce pays de l'est de l'Asie. «Pour des millions de personnes en Corée du Nord, internet n'existe tout simplement pas», constate le magazine. Il y a bien un système d'intranet, appelé Kwangmyong («étoile brillante»), mais celui-ci est massivement censuré et reste inaccessible à la majorité de la population.

Encore cinq minutes...

Qui de mieux pour en parler que les Nord-Coréens eux-mêmes? Une ONG sud-coréenne, la People for Successful Corean Reunification (PSCORE), a récolté le  témoignage direct de 24 rescapés du régime de Kim-Jong-Un et en a sondé 158 autres. Parmi eux, le chercheur nord-coréen Kim Suk-han (il s'agit d'un pseudonyme) déclare par exemple n'avoir utilisé internet que cinq fois dans son pays.

Surfer sur le web n'est pas chose aisée dans ce pays. Les citoyens ne peuvent y accéder que depuis des lieux officiels, et donc très surveillés. «Une personne est assise entre deux internautes et surveille constamment ce que les gens recherchent, décrit Kim Suk-han. Toutes les cinq minutes, l'écran se fige automatiquement et le contrôleur doit s'identifier avec son empreinte digitale pour autoriser une utilisation prolongée du net.»

Les contraintes ne s'arrêtent pas là: la durée d'usage est aussi limitée à une heure. Si la personne veut profiter du web plus longtemps, il lui faut une autorisation officielle, qu'elle mettra environ deux jours à obtenir. Pas question de trop profiter non plus: si on demande trop de dérogations, on doit attendre plus longtemps pour en obtenir, explique Kim Suk-han.

Contourner le système, mais à quel prix ?

Le régime communiste n'est pourtant pas entièrement coupé de la technologie. Selon le site d'information spécialisé 38 North, 50% à 80% des adultes nord-coréens auraient un téléphone portable. Mais ces appareils sont également très surveillés: des captures d'écran sont automatiquement réalisées très régulièrement («quelques minutes» seulement les séparent l'une de l'autre), la connexion est très lente et la censure omniprésente.

«Les Nord-Coréens ne peuvent pas utiliser [leurs portables]. Non pas à cause de soucis liés aux infrastructures du pays ou parce que les conditions de vie seraient mauvaises, mais à cause de la politique du gouvernement», explique Nam Bada, secrétaire général de PSCORE.

Comme souvent dans les dictatures, les élites seules peuvent profiter du système complet. Une douzaine de familles liées à Kim Jong-un et certains étrangers auraient en effet un accès complet à internet. Quelques milliers d'autres personnes peuvent de leur côté naviguer sur une version ultra-censurée du web, selon le rapport de PSCORE, qui souligne également que les Nord-Coréens autorisés à voyager à l'étranger peuvent parfois accéder au web lors de leur déplacement.

À côté du World Wide Web, l'intranet local Kwangmyong, qui ne comptait qu'une petite trentaine de sites en 2016, paraît bien ridicule. Mais cela ne l'empêche pas d'être au-dessus des moyens de nombre de Nord-Coréens, qui ne peuvent donc y accéder que depuis les ordinateurs de bâtiments officiels –sous surveillance, donc, et au sein des rares endroits connectés.

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15 juin 2023

Villé : marché du terroir

terroir

Rappel : le marché "terroir et traditions" fut lancé à l'été 2001 par la municipalité villoise, animé par les conseillers Jean-Louis Boehler et Dominique Meister. Il débutait à la mi-mai pour se terminer à la mi-septembre.

14 juin 2023

Fidji se rapproche de la Nouvelle-Zélande et de l’Occident, au détriment de la Chine

L'Occident et ses alliés marquent un point face à la Chine pour le contrôle de l'Indo-Pacifique. En visite en Nouvelle-Zélande, le Premier ministre des Fidji a annoncé le réexamen d'un accord de coopération policière avec Pékin. En revanche, un accord de défense avec Wellington devrait être bientôt signé.

fidjiAccueil maori et réception chaleureuse pour Sitiveni Rabuka à Wellington. Le Premier ministre des Iles Fidji a annoncé le réexamen et très probablement l'annulation, au moins partielle, d'un accord de coopération policière signé par son prédécesseur avec Pékin. Cet accord permet notamment à des policiers chinois d’être basés aux Fidji et comporterait même un volet militaire.

Coopérer avec les pays qui ont des valeurs « similaires aux nôtres »

Malgré la puissance financière de l’Empire du Milieu, Sitiveni Rabuka préfère coopérer avec des pays comme la Nouvelle-Zélande, qui ont les mêmes valeurs que le sien." Si nos valeurs et nos systèmes diffèrent, quelle coopération pouvons-nous obtenir d'eux (les Chinois)? Nous devons réexaminer cette question avant de décider si nous revenons à cet accord (avec la Chine) ou si nous reprenons la coopération, comme par le passé, avec ceux qui ont des valeurs et systèmes démocratiques, une législation et une application de la loi similaires aux nôtres, etc… "

Accord de défense et aide néo-zélandaise face au changement climatique

Bien que Pékin ait déclaré auparavant que les accords de sécurité avaient bénéficié aux Fidji et qu’elle espérait poursuivre la collaboration, la question semble tranchée dans un sens négatif. La Nouvelle-Zélande et les Fidji doivent même finaliser prochainement un accord de défense dont Sitiveni Rabuka a détaillé le contenu : " cet accord permettra aux personnels de la défense de s'engager dans différents domaines, notamment le renforcement des capacités et l'amélioration des compétences. L'exposition aux nouvelles technologies, l'interopérabilité et le soutien technique, entre autres. "

Chris Hipkins, le Premier ministre néo-zélandais a aussi annoncé une aide de 6,29 millions d’euros (752,46 millions de francs pacifique) pour aider les Fidji à s’adapter au changement climatique.

Un rapprochement préparé et attendu

fidji1Le rapprochement de Fidji avec la Nouvelle-Zélande, et donc plus généralement  avec les Occidentaux, ainsi qu’avec leurs grands alliés régionaux, a été préparé. Récemment, la Corée du Sud, l’Inde et les USA ont tendu la main aux Etats insulaires comme l’a souligné Sitiveni Rabuka : " notre région a attiré beaucoup d'attention ces derniers temps et les deux réunions de haut niveau que nous venons de conclure récemment en Papouasie-Nouvelle-Guinée avec l'Inde et les États-Unis montrent clairement l'importance que nos partenaires accordent à cette question dans le Pacifique ".

Ce rapprochement était attendu aussi. La politique "Look North" de Frank Bainimarama, son prédécesseur, visait à resserrer les liens avec la Chine au détriment de ceux traditionnels avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Sitiveni Rabuka, lui, souhaitait faire machine arrière. Washington a d’ailleurs salué son arrivée au pouvoir en décembre dernier. Dans un communiqué, Joe Biden, le président américain, n’a pas caché  pas son enthousiasme : " dans les années à venir j'ai hâte de continuer à renforcer les liens entre nos populations et à concrétiser notre vision partagée d'une région indo-pacifique paisible et prospère ".

 Les Occidentaux et leurs alliés marquent un point mais Pékin garde des atouts

Avec la décision fidjienne, l'Occident semble avoir amélioré sa position face à l'Empire du Milieu sur l’échiquier indo-pacifique. Toutefois, les Chinois ont un atout important (mais pas moral) dans les relations internationales. Contrairement à celle des Occidentaux, leur aide n’est pas conditionnée par des exigences en matière de Droits de l’Homme ou de lutte contre la corruption. Dans de nombreux pays ces critères sont rédhibitoires. La bataille est donc très loin d’être terminée. (Selon "Franceinfo")

13 juin 2023

« Maman est morte » : les premiers mots des enfants délivrés dans la jungle

Après quarante jour en jungle colombienne, les quatre survivants se sont exprimés pour la première fois sur leur survie en ce milieu hostile.

colombie1Après quarante jours à errer dans la jungle colombienne, quatre enfants indigènes ont été retrouvés sains et saufs. Pour la première fois depuis l'expédition, les membres de la garde qui les ont retrouvés se sont exprimés à la télévision. Les premiers mots des enfants furent « j'ai faim » et « ma maman est morte ». Des images du sauvetage ont été diffusées ce dimanche 11 juin à la télévision colombienne. On y voit des enfants éreintés, particulièrement amaigris avec la plus petite (qui est encore un bébé) dans les bras d'un sauveteur.

« Nous avons retrouvé les enfants. Merci à Dieu ! » commente l'un d'entre eux, des membres de la garde indigène. L'un chante, un autre fume du tabac (une plante sacrée chez les indigènes) et remercie avec allégresse. Lesly (13 ans), Soleiny (9 ans), Tien Noriel (5 ans) et Cristin (1 an) ont été retrouvés vivants vendredi après-midi par ces sauveteurs, alors qu'ils erraient seuls dans la jungle depuis le crash le 1er mai du petit avion Cessna 206 à bord duquel ils voyageaient avec leur mère, le pilote et un proche. Les trois adultes sont décédés dans l'accident. Invitée en plateau de la RTVC (la TV publique), l'équipe des indigènes qui a retrouvé les enfants dans la jungle a raconté ce moment extraordinaire

« Ce sont des héros »

« La fille aînée, Lesly, en tenant la petite par la main, a couru vers moi. Je l'ai prise dans mes bras, elle m'a dit : “j'ai faim” », a raconté Nicolas Ordoñez Gomes, l'un des membres de l'équipe. « J'ai demandé où est le garçon. Il était allongé à côté. Après un premier câlin, et lui avoir donné un peu de nourriture, il s'est levé et il m'a dit, très conscient de ce qu'il disait : “ma maman est morte” ». (selon "Le point")

colombie2

12 juin 2023

Zimbabwe : la fortune de la famille Mugabe dévoilée

Le divorce de la fille de l'ex-président du pays a eu des conséquences inattendues. Des documents judiciaires répertorient des biens d'une valeur de près de 80 millions de dollars.

zimbabw_1Le divorce engagé par la fille de l'ex-président zimbabwéen Robert Mugabé, mort en 2019, a levé le voile sur l'extrême richesse amassée par la famille de l'ancien dirigeant, des documents judiciaires répertoriant des biens d'une valeur de près de 80 millions de dollars. Bona Mugabe, 33 ans, a engagé une procédure de divorce d'avec Simbarashe Mutsahuni Chikore, un ancien pilote de ligne, après neuf ans de mariage.

Dans des documents judiciaires vus par l'AFP, Simbarashe Mutsahuni Chikore répertorie les actifs appartenant uniquement à Bona Mugabe ou détenus conjointement par le couple : des dizaines de propriétés, des fermes, des voitures de luxe et près d'un million de dollars en liquide. Simbarashe Mutsahuni Chikore s'oppose au divorce mais réclame, s'il était accordé, de bénéficier de la garde conjointe de leurs trois enfants et d'une part des actifs que le couple a acquis ensemble.

Une diversité d'actifs

La diversité et la valeur des actifs répertoriés dans le cadre de sa requête risquent de susciter la colère de nombreux Zimbabwéens, au moment où le pays lutte contre la pauvreté, des coupures d'électricité récurrentes et une sévère inflation. Parmi les actifs, figurent 21 fermes et plus de 25 propriétés dans les quartiers chics de la capitale Harare, dont l'une évaluée à 40 millions de dollars, et un hôtel particulier à Dubaï.

Simbarashe Mutsahuni Chikore recense aussi de nombreuses voitures, dont une Rolls Royce d'une valeur de 800.000 dollars et trois Range Rover. Bona Mugabe détient en outre «une somme substantielle d'argent liquide en devises étrangères, dont le montant exact devrait être divulgué au tribunal», et a retiré «des espèces d'une somme de 760.000 dollars dans un sac» de la résidence du couple, selon les documents.

Robert Mugabe, qui a dirigé le pays de son indépendance de l'empire britannique en 1980 jusqu'en 2017, chassé par un coup d'État, est mort à Singapour en 2019 à l'âge de 95 ans. Les détails de sa succession publiés en 2019 ont montré qu'il avait laissé derrière lui 10 millions de dollars, 10 voitures, une ferme et deux maisons, des voix estimant alors que la richesse de la famille était largement plus conséquente. (selon "F/international")

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11 juin 2023

Plattaschlackerbalade et produits locaux

En ce jour la "marche gourmande" est lancée ! Et pour la restauration, les produits locaux (pardon, "des spécialités concoctées par des artisans locaux") sont annoncés ! Et même l'animation semble très locale à lire son intitulé "Plattaschlackerbalade" ! Mais alors, pourquoi chercher les boissons des entrées,  du plat et du fromage à Blienschwiller, alors que nous avons du très bon vin dans la vallée, notamment à Albé ? Le tout annoncé dans le bulletin municipal "Villé-infos" paru ces jours...

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