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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
11 octobre 2020

Chez nos voisins vosgiens

La France Insoumise demande au département de porter plainte contre Eric Zemmour après ses propos sur les migrants mineurs isolés. 

« Zemmour a déclaré : « les migrants mineurs isolés sont des voleurs, violeurs et assassins ». Après ces propos abjects et sans fondement, douze départements, l’Aude, le Lot et Garonne, la Haute-Garonne, le Finistère, la Haute-Vienne, la Loire Atlantique, le Gers, Les Landes, les Pyrénées orientales, la Gironde, le Tarn et nos voisins de Meurthe et Moselle ont ou vont, et d’autres vont suivre, porter plainte contre l’éditorialiste d’extrême droite.

Nous demandons au Conseil Départemental de prendre ses responsabilités et de porter plainte contre Zemmour car ces propos sont antirépublicains, ils incitent à la haine raciale et à l’obscurantisme. Le Conseil Départemental des Vosges est majoritairement de droite mais nous ne voulons pas croire qu’il adhère à ces propos d’extrême-droite et humainement intolérables qui ne font qu’attiser les divisions au sein des habitants de notre département.

Ces jeunes, ces enfants sont parfaitement intégrés dans leur milieu de vie et suivent des parcours d’insertion exemplaires.

Le polémiste a parfaitement conscience de ces propos et n’a éructer ses propos que pour faire le « buzz ». Nous ne pouvons pas laisser faire de tels agissements qui sont contraire à la bonne marche de notre société. Nous ne devons pas accepter la banalisation de ces comportements qui ne pourront que nuire et diviser dans cette période déjà si compliquée. » (La France Insoumise des Vosges)

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10 octobre 2020

Cinq millions pour un médicament anti-Covid !

Le gouvernement ne les verse pas !

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Ça y est, la recherche publique française, à l’Institut Pasteur de Lille, a trouvé un médicament contre la Covid-19 ! Vous n’en avez pas entendu parler ? C’est qu’il manque juste un essai clinique pour valider définitivement son efficacité. Qu’il coûte 5 millions d’euros et que le gouvernement ne les verse pas. Scandale !

Le 10 mai dernier, le docteur Jean Dubuisson, responsable de l’équipe Virologie moléculaire et cellulaire à l’Institut Pasteur de Lille, qui pilote une étude visant à identifier des molécules efficaces contre la Covid-19, était optimiste : « Tous ces tests seront finis d’ici à la fin mai, annonçait-il dans les colonnes de 20 minutes. Il est quasiment sûr que nous allons trouver des molécules efficaces contre la Covid-19. Pour l’instant, nous en avons identifié une dizaine qui donnait de bons résultats. Mais pour valider ces recherches, il faut passer par des tests sur des animaux, car nous ne sommes pas à l’abri d’un effet secondaire. » Où en est-on aujourd’hui ? Nouvel article le 29 septembre : « Des chercheurs de l’institut Pasteur de Lille ont confirmé, ce mardi, à 20 minutes, avoir trouvé une molécule efficace contre la Covid-19. » Alléluia ! «Reste à mener un essai clinique pour valider définitivement l’activité antivirale de cette molécule», souligne un membre de l’équipe de recherche. Selon lui, cette dernière ligne droite peut aller assez vite. «Nous avons besoin de plusieurs centaines de patients pour ces essais», assure-t-il. Mais pour l’instant, c’est l’absence de financement qui constitue un frein. Selon nos informations, il manque cinq millions d’euros et une demande d’aides a été formulée auprès de l’Etat qui «pour l’instant, n’a pas manifesté beaucoup d’intérêt». Les bras nous en tombent. Le gouvernement fait pleuvoir des milliards de "pognon de dingue" sur les entreprises, sans aucune contrepartie, mais n’est pas fichu de débloquer en urgence 5 millions pour nous permettre de disposer d’un médicament. Comment l’expliquer ? Incompétence, lourdeurs et lenteurs bureaucratiques ? Ne versons pas dans le complotisme en formulant l’hypothèse délirante que le gouvernement ne veut pas de médicament pour maintenir la population en état de vulnérabilité et donc de peur, et lui imposer ainsi des restrictions à ses libertés fondamentales. Mais alors quoi ? Il est plus que temps de médiatiser davantage cette information, pour forcer nos gouvernants à verser aux chercheurs les 5 millions qui leur manquent. Immédiatement...

9 octobre 2020

COVID-19 : Malaisie, Philippines et Singapour

Confirmation de nouvelles infections

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Le Conseil de sécurité nationale de Malaisie a tenu le 3 octobre une réunion spéciale après que son pays avait enregistré son plus grand nombre quotidien d'infections au coronavirus.

S'adressant à la presse après la réunion, le ministre malaisien de la Défense, Ismail Sabri Yaakob, a rejeté les rumeurs selon lesquelles le gouvernement malaisien réimposerait un ordre de contrôle des mouvements (MCO) dans tout le pays.

Le 2 octobre, la Malaisie a confirmé 287 nouveaux cas de COVID-19, le plus grand nombre quotidien jamais enregistré, portant son bilan national à 11.771 cas dont 136 décès.

Le nombre de nouvelles infections en Malaisie n'a cessé d'augmenter au cours des derniers jours et des cas surviennent dans la plupart des 13 États du pays. Les autorités malaisiennes ont récemment émis de nombreux avertissements concernant une nouvelle "vague" d'infections dans ce pays.

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Le 3 octobre, le ministère philippin de la Santé a signalé 2.674 nouveaux cas, son plus grand nombre quotidien de nouvelles infections recensées ces cinq derniers jours, faisant des Philippines le pays le plus touchés par le coronavirus en Asie du Sud-Est avec au total 319.330 cas dont 5.678 décès.

Le même jour, Singapour a annoncé pour la première fois que le pays n'avait qu'un seul chiffre de nouvelles infections, avec 6 cas enregistrés dont 4 étaient importés. Ces derniers mois, le nombre de nouvelles infections à Singapour a chuté après que les autorités locales avaient réussi à contrôler les foyers épidémiques dans les dortoirs de travailleurs migrants.

En Indonésie, le ministère de la Santé a confirmé 4.007 nouveaux cas et 83 décès le 3 octobre, portant le nombre total d’infections et de décès à 299.506 et à 1.055, respectivement. (selon "Le courrier du Vietnam")
8 octobre 2020

Nouvelle campagne d'affichage "En Marche"

Pourquoi les medias n'en parlent-ils pas ?

macronRevers judiciaire pour Brigitte Macron. La Première Dame, qui avait porté plainte contre un « gilet jaune » après l’inscription de « graffitis s'en prenant » à elle sur un homard gonflable, a été déboutée ce mercredi 30 septembre par le tribunal correctionnel de Toulon (Var). « Aujourd'hui (mercredi), Brigitte et Emmanuel Macron ont été défaits devant un tribunal. L'AFP était présente. Vous n'en entendrez parler nulle part. Aucune raison de s'étonner », a indiqué sur Twitter Juan Branco, l’avocat de l’homme de 49 ans alors jugé pour « injure publique envers le président de la République » et « injure publique et diffamation envers particulier(s) », comme l’indiquait Var Matin.

Les faits avaient eu lieu le 11 août. Le « gilet jaune » en question, originaire de Haute-Savoie, avait inscrit des graffitis sur un homard géant gonflable alors qu’il se baignait non loin du fort de Brégançon, à Bormes-les-Mimosas, où le couple présidentiel passait ses vacances. Le prévenu avait filmé son geste avant de publier la vidéo sur son compte Facebook.

7 octobre 2020

Vosges – Le Département s’intéresse à la bioénergie

Utiliser les accotements routiers pour produire du biogaz, le Conseil départemental y réfléchit depuis 2018. Une expérimentation à plus grande échelle est actuellement en cours et se poursuivra en 2021. Explications.

vosgesDepuis 2018, le Conseil départemental des Vosges cherche à valoriser la biomasse du bord des routes pour alimenter les unités de méthanisation du territoire, avec comme objectif de produire du biogaz. Chaque année, le Conseil départemental entretient près de 5000 kms d’accotements routiers, ce qui représente des quantités non négligeables de matière organique. On estime que plus de 10 000 tonnes de biomasses sont ainsi fauchés !

Pour récupérer cette « bioénergie », qui n’est d’autre que de l’énergie solaire stockée sous forme de carbone dans de la matière vivante, en l’occurrence de l’herbe, une faucheuse spéciale est nécessaire. L’outil, développé par la société Lorraine Norremat, aspire littéralement les résidus de tonte. L’herbe ainsi récupérée est stockée dans une benne située à l’arrière de la faucheuse. Une fois la remplie, la benne est débarrassée d’éventuels déchets (cannette, plastique, verre, mégots), et transportée dans l’une des 40 unités de méthanisation du département. Elle est vidée dans les digesteurs, sorte de « grosse marmite verte » que l’on peut apercevoir lorsque l’on parcourt la campagne… Une fois l’herbe « digérée » et décomposée, on récupère du gaz et de la chaleur. On peut ainsi chauffer des bâtiments, utiliser le gaz comme combustible ou pour produire de l’électricité.

L’expérimentation en cours fait l’objet d’un suivi chiffré, comparatif et précis pour évaluer le coût et les gains de l’opération globale. On sait déjà que récupérer la matière organique permet de réduire les coûts de curage des fossés.

L’opération est financée et soutenue par l’Agence Française de la transition écologique (ADEME) à hauteur de 88 585 € pour une opération totale de 117 750 €. A noter que d’autres départements (Bas-Rhin, Saône et Loire) réfléchissent à mettre en œuvre cette action qui pourra être dupliquée et un réseau collaboratif et d’échanges d’expériences pourrait voir le jour.  (selon Vosgesmag)

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6 octobre 2020

Débat présidentiel aux Etats-Unis

Trump refuse de condamner les suprémacistes blancs

usaDonald Trump a refusé mardi de condamner clairement les suprémacistes blancs lors du premier débat télévisé contre son adversaire Joe Biden pour l’élection présidentielle de novembre, s’attirant de vives critiques dans le camp démocrate.

Evitant de répondre directement au modérateur du débat Chris Wallace, qui l’invitait à condamner sans détour les suprémacistes blancs, le président américain a offert une réponse sibylline: il a évoqué les Proud Boys, un groupuscule nationaliste prônant la supériorité de la race blanche, les appelant à « reculer et à se tenir prêts ».

« Mais je vais vous dire, on doit faire quelque chose au sujet des antifas », a-t-il dit dans la foulée au sujet des groupuscules d’extrême gauche, en assurant qu’aux Etats-Unis les violences émanaient bien davantage de l’extrême gauche que de l’extrême droite.

Des membres des Proud Boys, une organisation extrémiste fondée à New-York en 2016, n’ont pas tardé à reprendre à leur compte les propos de Trump pour les accoler à leur logo jaune et noir, diffusant ensuite l’image sur leurs réseaux internes.

« Voilà. l’Amérique de Donald Trump », a dénoncé le candidat démocrate Joe Biden, partageant un tweed d’un journaliste du New York Aimes sur le sujet.

« On a demandé au président Trump de condamner le suprématisme blanc. Il a refusé (…) le président Trump est une honte nationale, et les Américains ne le toléreront pas », a réagi le chef de la minorité démocrate au Sénat, Chuchoté Humer.

Donald Trump doit aux Américains une explication ou des excuses. Maintenant », a commenté Jonathan Greenblatt, le président de l’Anti-Defamation League (ADL), une organisation de lutte contre l’antisémitisme. (selon AFP)

5 octobre 2020

Les petits cailloux d’Anne Hidalgo

Sur le chemin de la présidentielle de 2022 ?

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Anne Hidalgo et Édouard Philippe se sont retrouvés mardi 29 septembre sur la même estrade le temps d’un débat sur le Grand Paris. La maire de Paris et le maire du Havre ont affiché leur bonne entente et leur volonté commune de relier la capitale à la mer. Une belle affiche que certains voudraient bien revoir en 2022.

Un débat entre Anne Hidalgo, classée par le magazine Time dans le top 100 des personnalités les plus influentes du monde, et Edouard Philippe, chouchou des sondages, c’est une affiche de présidentiables. Chacun incarne une forme de recours, l’une à gauche, l’autre à droite, et ils ne cachent pas leur estime réciproque. 

« Je me réjouis de discuter aujourd’hui avec Anne Hidalgo », dit l’ancien Premier ministre. « C’est depuis longtemps facile avec Édouard Philippe », affirme, quant à elle, Anne Hidalgo.

Parler du local, penser au national

Alors, bien sûr, aucun n’est candidat, mais en échangeant ensemble ils se crédibilisent mutuellement, comme quand Édouard Philippe met son humour au service d’un message commun.

« Pourquoi avec Anne Hidalgo, on vous parle de la mer ? C’est très joli la mer… Ben oui, si, c’est vrai… On vous parle de la mer et du branchement de l’Ile-de-France sur la surface maritime parce que capter les flux maritimes, c’est mettre en œuvre une véritable et efficace politique industrielle », assure le maire du Havre.

Parler du local pour arriver au national, c’est du velours pour Anne Hidalgo qui en parlant de la 5G a esquissé les bases d’un projet. « Le progrès, c’est quoi et c’est pour qui ? Une technologie au service de l’humain, c’est mieux qu’une technologie qui, finalement à force de piller l’humain, la planète, nous conduit dans le mur. »

Pas d’attaque frontale mais un ton bien différent de celui de son vrai adversaire, Emmanuel Macron, qui avait clos le débat sur la 5G en évoquant les lampes à huile et le mode de vie amish. L’air de rien, Anne Hidalgo fait passer des messages. (selon RFI)

4 octobre 2020

Cuba: des files d’attente partout

La galère pours’approvisionner en nourriture

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Cuba s’enfonce dans la crise alimentaire. Sans tourisme, avec des dépenses pour affronter la crise du coronavirus et des sanctions américaines accrues, l’économie cubaine manque de devises. Le pays importe 70% de son alimentation et le gouvernement parvient difficilement à financer ses importations, le quotidien des Cubains est désormais aux pénuries, aux rationnement et aux files d’attente.

Le soleil n’est pas encore levé, mais déjà plusieurs dizaines de personnes font la queue avant même l’ouverture des magasins, des banques ou des pharmacies. Les files d’attente sont désormais partout !

Leonardo Gonzalez est assis sur le trottoir, comme lui plus de 100 personnes attendent d’entrer dans cette boutique en devises, ici il y a du shampoing, un produit que Leonardo n’avait pas vu en magasin depuis deux mois. « Dans les magasins en monnaie cubaine tu ne trouves rien, ici tu fais la queue mais au moins il y a quelques produits ! »

L’ouverture des magasins en devises depuis juillet dernier est une des solutions mise en place par l’État pour récupérer des dollars et financer ses importations. Mais tous les Cubains n’y ont pas accès.

À l’angle de la place, justement, un magasin en monnaie cubaine, ici il n’y a pas beaucoup de monde, ce qui indique qu’il n’y a sans doute pas beaucoup de produits, Mercedes Morena Agueyo sort avec un petit sac en plastique. « Aujourd’hui il y a du fromage et du jambon, il y a différents produits, pas beaucoup mais il y en a ! Parfois la queue est beaucoup plus longue ! S’il y a du poulet c’est très long, si c’est de l’huile beaucoup plus ! »

Pour un litre d’huile, dans cette ville de l’est de l’île, il faut faire la queue dès la veille. Cette petite dame au dos vouté travaille « pour le peuple », comme elle dit, dans une bodega, l’une de ces épiceries où l’État distribue à des prix subventionnés une certaine quantité de riz, de café, de sucre et de grains. Cela ne suffit pas à se nourrir durant un mois entier, mais c’est une aide non négligeable selon Mercedes Agueyo. « Il faut essayer de survivre comme on peut, mais il apparait toujours quelque chose à manger. Le monde entier est dans cette situation, ce n’est pas seulement Cuba ! »

La FAO estime que la crise du coronavirus pourrait entraîner plus de 83 millions de personnes dans des conditions d’extrême pauvreté et de famine en Amérique latine et dans les Caraïbes. Et Cuba ne fait pas exception, malgré les aides de l’ONU et de l’Union européenne.

Excédé, collé-serré, abrité du soleil sous des parapluies rafistolés, un groupe de femmes fait la queue pour acheter du savon, l’ambiance est clairement tendue, personne ne souhaite s’exprimer au micro, mais Marisa Gonzalez finit par lâcher : « Ici ce qu’il faut c’est qu’on nous enlève le blocus, pour qu’il y ait plus d’approvisionnement ! C’est tout ! Parce qu’ici tout le monde est libre et nous vivons heureux sur cette île ! »

Mais ces files d’attente ne respirent pas le bonheur et les pénuries n’ont jamais été aussi dures en 60 ans de blocus américain.

Depuis le mois de février, le jeune Ramon qui travaille dans un magasin et n’a pas le droit de s’exprimer, ne voit pas s’améliorer la situation.
« Il y a toujours des problèmes dans la queue, les gens s’énervent, il fait chaud, il y a du tumulte. Depuis qu’il y a le coronavirus l’entrée des marchandises a vraiment beaucoup diminué. Ils nous ont dit que l’approvisionnement devrait revenir à la normale quand le monde -avec ce problème de coronavirus- reviendra à la normale ! »

Mais la crise du coronavirus n’explique pas tout et le gouvernement a annoncé un grand plan de souveraineté alimentaire, un discours que beaucoup de Cubains ont déjà entendu à plusieurs reprises ces dernières décennies. (selon RFI)

3 octobre 2020

Une facture d'électricité qui ne gaze pas chez les villois

Avec le nouveau fournisseur, de nombreux mécontents 

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Depuis le 1er janvier 2020 le concessionnaire du réseau électrique de Villé a changé. Au point qu'à Villé, c'est extraordinaire, c'est Gaz de Barr qui fournit l'électricité et ENGIE (succursale de ENEDIS, anciennement EDF) qui fournit le gaz.

Mais là, n'est pas le point du mécontentement. En effet, ce qui importe plus aux habitants, c'est le montant des factures qui arrivent. Et c'est là qu'il y a eu de mauvaises surprises ! Certains ont à payer, avant le 27 septembre, des montants doublés, triplés, quadruplés ou même quintuplés. Moi-même, alors que mes deux dernières factures étaient de 103 € et de 97 €, me voilà doté d'une facture de 555 €.  Et ceci pour les mois de juillet et août ! Alors que plus d'un autre s'est vu rembourser de juteux "trop-perçu". C'est sûr, pendant les périodes de canicule j'ai dû mettre le chauffage à fond.

Seule explication obtenue lors d'une entrevue à Barr, c'est : "Nous n'effectuons plus que des relevés  de compteurs tous les six mois." Les autres factures sont des "estimations". A voir les montants, ce sont plutôt "de très larges approximations comptables". Alors même que les factures intermédiaires devraient réguler les paiements, c'est l'inverse qui se produit. Seule proposition faite par Gaz de Barr : "Mensualisez vos paiements !" Histoire de camoufler les paiements incongrus ou même indus ?

Bref, dans tous les cas, Gaz  de Barr a raison ! Et si ça ne vous va pas, Macron pourra venir vous expliquer que la lampe à huile est tout à fait adaptèe dans nos vallées pleines d'amish.

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2 octobre 2020

RN59 – Travaux de réfection de chaussée, côté vosgien

Entre Remomeix et Raves, du 12 au 24 octobre

Du lundi 12 au samedi 24 octobre, la DIR Est va réaliser des travaux de réfection de chaussée sur la RN59, de Remomeix à Raves. Ces travaux seront réalisés les nuits, de 20h à 6h, hors week-end.

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  • Les usagers désirant se rendre en direction de Strasbourg seront déviés par la RD58C, puis la RD420 jusqu’au giratoire de Frapelle;
  • Les usagers venant de Provenchères seront déviés par la RD420 jusqu’à l’intersection de la RD420, et de la RD58C à Remomeix;
  • Les usagers désirant se rendre vers la RD459 en direction de Sainte-Marie-aux-Mines emprunteront la sortie Raves sur la RN159;
  • Les usagers venant de la RD459 et désirant se rendre vers Nancy seront déviés à Raves par la RN159, puis utiliseront la déviation la RD420 depuis Frapelle.

Durant la période des travaux, il est probable qu’un afflux massif d’automobilistes ait lieu.

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