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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

25 novembre 2020

Une conférence de presse très françafricaine

Macron accuse la Turquie et la Russie d'alimenter une campagne antifrançaise en Afrique

macron_erdogan_6Emmanuel Macron a dénoncé, dans un entretien publié vendredi par Jeune Afrique, la "stratégie" menée par la Russie et la Turquie pour alimenter un sentiment antifrançais en Afrique en jouant "sur le ressentiment post-colonial".

"Il y a une stratégie à l'œuvre, menée parfois par des dirigeants africains, mais surtout par des puissances étrangères, comme la Russie ou la Turquie, qui jouent sur le ressentiment post-colonial", déclare le chef de l'Etat. "Il ne faut pas être naïf: beaucoup de ceux qui donnent de la voix, qui font des vidéos, qui sont présents dans les médias francophones sont stipendiés par la Russie ou la Turquie", selon le président français.

Dans ce long entretien, Emmanuel Macron insiste sur la "relation équitable" et le "véritable partenariat" que la France cherche à mettre en oeuvre avec le continent depuis son arrivée au pouvoir en 2017, avec la levée de "tabous" "mémoriels, économiques, culturels, entrepreneuriaux". Il cite ainsi la restitution d'oeuvres du patrimoine africain à plusieurs pays comme le Sénégal, le Bénin ou Madagascar, ou la fin du franc CFA, "un marqueur très symbolique qui alimentait beaucoup de fantasmes et de critiques".

"Je pense qu'entre la France et l'Afrique, ce doit être une histoire d'amour", selon M. Macron, estimant que "nous ne devons pas être prisonnier de notre passé".

Il souligne que sa diplomatie n'est "pas cantonnée à l'Afrique francophone" et qu'il s'est rendu "dans des pays qu'aucun président français n'avait visité".

Après s'être notamment rendu au Nigeria, en Ethiopie et au Kenya, il espère prochainement aller en Afrique du sud et en Angola.

Il indique que le prochain sommet France-Afrique, reporté à cause de l'épidémie de Covid-19, "devrait se tenir en juillet 2021 à Montpellier". Il "illustrera ce changement de méthode. Nous n'allons pas organiser un sommet classique, en invitant des chefs d'État" mais en mettant "en avant les personnes qui incarnent le renouvellement générationnel", annonce-t-il. (selon AFP)

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24 novembre 2020

Climat et justice

Pour la première fois, l'Etat mis en demeure de se justifier

climatLa justice française a donné jeudi trois mois à l'Etat pour justifier ses actions en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, une décision "historique" pour les défenseurs de l'environnement.

La plus haute juridiction française avait été saisie en janvier 2019 par le maire écologiste de Grande-Synthe (Nord), Damien Carême (élu depuis député européen et qui a donc quitté son mandat), qui estimait que sa commune du littoral du Nord était menacée de submersion par "l'inaction climatique" du gouvernement.

Le Conseil n'a pas immédiatement tranché sur le fond de ce premier dossier contentieux lié au climat à arriver devant lui, mais a donné trois mois à l'Etat - qui avait argumenté par écrit pour un rejet pur et simple de la demande - pour rendre compte de ses actions en matière de lutte contre les émissions responsables du réchauffement climatique.

Les juges administratifs ont notamment relevé que l'Etat s'était engagé, pour mettre en oeuvre l'accord de Paris de 2015 visant à limiter le réchauffement, à atteindre une baisse de 40% des émissions en 2030 par rapport à leur niveau de 1990.

Budgets dépassés

Or les "budgets carbone" d'émissions adoptés dans les différents plans de l'Etat -dont la dernière "stratégie nationale bas carbone" remonte au mois d'avril- ont toujours été dépassés, comme l'ont notamment montré les rapports annuels du Haut Conseil pour le Climat. Et l'Etat a d'ailleurs en conséquence revu ses objectifs à la baisse.

Constatant ce "report (...) d'une partie de l'effort de réduction des émissions devant être réalisé", les juges administratifs ont demandé au gouvernement de justifier de la "compatibilité avec la trajectoire de réduction des gaz à effet de serre" pour tenir son objectif de 2030.

Ils ont ainsi suivi les recommandations du rapporteur public, lors de l'audience du 9 novembre. Ce magistrat chargé de faire une recommandation sur le dossier avait alors souligné que "le coeur du sujet est le calendrier des actions", puisqu'il "y a bien urgence climatique aujourd'hui".

Et il avait estimé que les engagements de la France, dans le cadre de l'accord de Paris, des législations européennes ou nationales ne pouvaient avoir "un objectif uniquement programmatique mais bien contraignant".

"Renvoyer les requérants à 2030 ou 2050 pour voir si les objectifs sont atteints vous conduirait à participer à cette tragédie" climatique, car "le risque existe que tout retard soit irréversible", avait-il argumenté.

"Jolis engagements"

En le suivant, le Conseil d'Etat a pris "un arrêt qui me parait historique", a salué Corinne Lepage, avocate de la commune de Grande-Synthe. "Le Conseil d'Etat souligne que l'Etat a des obligations non pas de moyens mais de résultats. A deux reprises, il utilise le mot d'+effectivité+, ce qui veut bien dire que les politiques ne doivent pas être seulement de jolis engagements sur le papier", a-t-elle ajouté.

Une avancée également saluée par Hugues Hannotin, avocat du regroupement d'ONG "l'Affaire du siècle", qui ont elles aussi engagé une procédure contre l'Etat pour inaction climatique et s'était jointes comme "intervenants" à la procédure de la municipalité nordiste. "L'Etat va devoir rendre des comptes, les lois de programmation ne sont pas seulement pour la galerie."

"Décision historique: l'Etat doit respecter ses engagements pour le climat (et) devra également justifier des moyens qu'il met en oeuvre pour atteindre ces objectifs", s'est félicité sur Twitter "l'Affaire du siècle", soutenue par une pétition de 2,3 millions de citoyens, alors que Greenpeace France a tweeté un grand "BOOM!".

Le gouvernement n'a pas immédiatement réagi, mais à l'issue de l'audience du 9 novembre, le ministère de la Transition écologique avait indiqué à l'AFP qu'il serait en cas de décision lui demandant de se justifier de ses actions "entièrement à disposition". "Nous avons des choses à défendre", notamment en matière d'actions de décarbonation, avait indiqué une source au cabinet de la ministre Barbara Pompili. (selon "Tahiti.infos")

23 novembre 2020

Réfugiés au Soudan, des rescapés du massacre de Mai-Kadra témoignent

En Éthiopie, le conflit entre le régime d'Addis-Abeba et les dissidents du Tigré a peut-être déjà été le théâtre de crimes de guerre. La communauté internationale s'alarme de l’opacité de la situation, onze jours après le début des combats. Samedi, L'ONU a réclamé vendredi une enquête tandis qu'Amnesty international dénonçait un « massacre » ayant « probablement » fait des centaines de victimes civiles à Mai-Kadra, dans le sud-ouest du Tigré.

_thiopie1Pour échapper aux combats, une seule échappatoire pour de nombreux civils : se réfugier dans le pays voisin, le Soudan. Au moins 18 000 Éthiopiens ont déjà franchi la frontière. Au poste-frontière de Lukdy, les réfugiés continuent d’affluer. Un camion vient de franchir la frontière soudanaise. À son bord, une dizaine d’hommes, assis sur un tas de jerricans. Ils sont exténués après des heures de route. Kifley Geberi en a les larmes aux yeux.

« Il y a deux jours, raconte-t-il, on était en train de travailler dans les champs à Mai-Kadra. Il y a eu une attaque soudaine, brutale. J’ai vu des collègues se faire massacrer donc j’ai couru dans la nature. Je n’ai rien emporté avec moi. La seule chose qu’on a pu faire c’est courir, on a eu tellement peur. »

Le camion repart et parcourt quelques kilomètres vers le village de Hashaba où s’entassent déjà 11 000 réfugiés. Samhara Hailé, 16 ans, a fui dans la voiture de ses voisins. Elle est sans nouvelles de ses parents car le réseau a été totalement coupé dans le Tigré.

« À Mai-Kadra, les maisons brûlaient, tout brûlait. J’ai vu des gens s’entretuer. Il y avait du sang par terre. Et des cadavres sur la route, tués au couteau ou par balles. »

Abiy Ahmed avait annoncé que la guerre serait brève mais les combats semblent ne pas avoir cessé en Éthiopie. Poussant chaque jour un peu plus de réfugiés sur les routes du Soudan. Pour le moment, ils s’entassent pour la plupart à quelques kilomètres de la frontière, dans le village d’El Hashaba dans des conditions très précaires. (selon RFI)

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22 novembre 2020

Petite frayeur et grosse colère

Gérardmer : Des promeneurs pris au beau milieu d’une chasse au parcours de santé

chassePlusieurs promeneurs se sont retrouvés au beau milieu d’une chasse ce dimanche matin. Chasse qui avait lieu sur le site du parcours de santé et qui avait semble-t-il joué les prolongations.

De promeneurs qui se sont donc faits une bonne frayeur et qui décolèrent pas. La question qui se pose est donc la suivante : la chasse avait-elle le droit de se dérouler sur ce site, qui plus est en dehors de l’horaire prévu par une autorisation définie jusqu’à 10 h 30 ? Pour ce qui est des promeneurs, ils étaient à priori tous dans le cadre de la fameuse attestation de sortie dérogatoire, à savoir : « Déplacements brefs, dans la limite d’une heure quotidienne et dans un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile, liés soit à l’activité physique individuelle des personnes, à l’exclusion de toute pratique sportive collective et de toute proximité avec d’autres personnes, soit à la promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, soit aux besoins des animaux de compagnie. » De sortie sur un sentier entretenu, balisé et relativement plat, ils ne prenaient pas non plus de grand danger…

battue3« Il y avait semble-t-il un panneau indiquant la chasse jusqu’à 10 h 30 nous a dit un autre promeneur. Panneau que nous n’avons pas vu à notre arrivée et notre retour de promenade car nous sommes arrivés après 10 h 30. Le panneau avait donc sans doute été retiré à ce moment là, donc je ne me suis pas méfié, et pourtant ça continuait de tirer ! » confie ce promeneur qui était avec ses deux enfants. Et d’ajouter : « De retour à mon domicile, j’ai appelé la Gendarmerie qui m’a confirmé que les chasseurs avaient bien une autorisation pour chasser en forêt, mais semblait également surprise qu’il puisse y avoir une chasse sur ce  parcours de santé qui est tout de même dédié à la promenade… Le Gendarme m’a dit qu’ils allaient se rendre sur place, mais que les chasseurs auraient sans doute quitté les lieux entre temps puisque j’avais eu une petite conversation avec l’un d’entre eux... » Bref, la question demeure en suspens, que prévoit exactement la loi ?  Pour l’heure, la seule chose qui est sûre, c’est que promeneurs et chasseurs font rarement bon ménage et ne devraient pas pouvoir se croiser sur un même sentier pour des raisons évidentes de sécurité…

21 novembre 2020

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20 novembre 2020

Quand une histoire de pasteur provoque la révolte...

Vives tensions sur l’île de Maré en Nouvelle-Calédonie

mar_1Plusieurs maisons, un gîte touristique et des voitures ont été incendiés sur l’île de Maré en Nouvelle-Calédonie, où plus d'une centaine de personnes est en cours d'évacuation, en raison de violences déclenchées par l'installation controversée d'un pasteur, a appris mercredi l’AFP.    

A la demande du haut-commissaire de la République, "quatre pelotons de gendarmes mobiles et l'antenne du GIGN" ont été déployés sur place "pour préserver la sécurité des biens et des personnes". Une personne au moins a été légèrement blessée.     

Le représentant de l'Etat en Nouvelle-Calédonie a en outre appelé "chaque partie au calme et à la responsabilité dans le respect de la loi", après ces exactions qui se sont déroulées entre lundi et mardi dans cette île de l'archipel des Loyauté, de 5.700 habitants .       

Le conflit a démarré après qu'un étudiant pasteur s'est intallé dans des conditions controversées à la tête de la paroisse de la tribu de Roh (nord), déclenchant la colère et la violence d'une partie des habitants.      

"Un pasteur ne peut pas s’autoproclamer pasteur d’une paroisse comme ça, c'est ce qui a causé le problème actuel. Seul le comité régional ou le département des ministères est autorisé à le faire", a déclaré Höcë Var Kaemo, président de l'église protestante de Kanaky-Nouvelle-Calédonie, appelant à l'apaisement .        

Selon différentes sources, entre 100 et 200 personnes sont en cours d'évacuation de Maré sur Nouméa pour s'y mettre en sécurité alors que le climat demeure tendu sur l’île. "Ils n’ont plus rien chez eux, ils ont tout perdu, on essaie de leur faciliter les choses en apportant un accompagnement moral et en tentant au moins de les rapatrier", a déclaré Maryline Sinewami, maire de Maré.      

Une enquête a été ouverte pour destruction volontaire de biens par incendie ou moyen dangereux pour les personnes et violences volontaires avec arme ( jets de pierres ), a indiqué le parquet de Nouméa.

En août 2011, des violences claniques avaient fait quatre morts et une vingtaine de blessés à Maré.  

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19 novembre 2020

Tract anonyme dans la vallée ?

Un "appel citoyen" en plein confinement ?

A lire ce beau papier on peut deviner son origine : n'est-ce pas Alsace-Nature et son mentor local qui s'opposent à l'extension de la zone artisanale de Neuve-Eglise, y compris sur le plan juridique au tribunal administratif ?

On peut se poser des questions sur les moyens de distribution de ce tract. Il fait certes le tour des réseaux sociaux. Mais alors pourquoi au bas de cette belle page la remarque : "Ne pas jeter sur la voie publique" ? Il est vrai que même l'adresse internet indiquée pour les quelques éventuels intéressés au sauvetage de quelques papillons est fausse.

Et les rares distributeurs de ce papier très matériel ne risquent-ils pas en fait, de ne voir que se multiplier les papillons à 135 € qui doivent sauver l'humanité du covid-19 du côté du Comte-Ban ?

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18 novembre 2020

Restaurants et bars, la guerre est déclarée

Confinement: restaurateurs et cafetiers préparent un recours contre leur fermeture imposée

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Restaurateurs et cafetiers ont l'intention de contester en justice la décision du gouvernement de fermer leurs établissements dans le cadre du reconfinement, a annoncé samedi l'Umih, principal syndicat des métiers de l'hôtellerie.

"L'Umih (L'Union des métiers des industries de l'hôtellerie) nationale a engagé un recours contre le décret du 29 octobre 2020 qui ferme les restaurants et débits de boissons de « type N » tout en autorisant la restauration collective", a-t-elle indiqué, justifiant ce recours par "la rupture du principe d'égalité". 

Elle prévoit de "finaliser" ce recours "avant le 20 novembre".

"La fermeture administrative de nos restaurants et bars s'appuie sur des raisons sanitaires, or aucune donnée chiffrée ne permet de justifier que les cas de contamination ont été plus nombreux dans ces établissements (...) que dans la restauration collective", estime le syndicat.

Il souligne que ses adhérents "appliquent, depuis leur première réouverture en juin 2020, les mêmes protocoles sanitaires stricts appliqués par la restauration collective" et qu'"à la demande de la profession, ces protocoles ont même été renforcés en septembre 2020".

"Pourquoi les restaurants collectifs qui accueillent plus de monde que nos restaurants de 20, 30 places pourraient eux pratiquer une activité normale?", s'est interrogée l'Umih, jointe au téléphone par l'AFP, dénonçant une "distorsion de concurrence par rapport à une autre forme de restauration".

Par cette action, elle espère faire "pression sur le gouvernement" et montrer que "le secteur ne lâchera rien pour réussir à rouvrir". Le "but ce n'est pas de faire refermer la restauration collective", a indiqué l'organisation, rappelant que selon une étude réalisée auprès de ses adhérents et publiée cette semaine, "deux établissements sur trois craignent de fermer définitivement d'ici la fin de l'année en raison de ce deuxième confinement".(selon AFP)

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17 novembre 2020

Les travaux forestiers au Conseil d'Etat

covidLes Français sont à nouveau appelés à limiter leurs déplacements hors de chez eux. Les professionnels de la forêt doivent cependant rester mobilisés et continuer d’assurer les travaux urgents, notamment le renouvellement et les plantations d’automne.

Les propriétaires réalisant des travaux sylvicoles doivent alors se munir de l’attestation dérogatoire et choisir le « motif professionnel ».

La récolte de bois de chauffage est également possible en forêt (motif « achat de première nécessité », même si le bois de chauffage provient de sa propre forêt).

En bref, les travaux forestiers sont possibles pour les entreprises et pour les propriétaires privés munis d'une attestation.

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16 novembre 2020

Printemps veut fermer sept magasins, dont Metz et Strasbourg

Le groupe de grands magasins Printemps a annoncé mardi prévoir la fermeture de quatre de ses magasins situés à Paris, Le Havre, Strasbourg et Metz, et de trois Citadium (Paris, Toulon), dans le cadre d’un plan de relance visant à “assurer la pérennité de ses activités”.

printempsLe groupe, qui prévoit aussi “l’adaptation et la mutualisation de certaines fonctions support”, n’a pas précisé le nombre de postes menacés mais indiqué que sa priorité était “d’accompagner les salariés concernés par ce projet avec des mesures appropriées et personnalisées”.

Il fera également appel à un partenaire pour la recherche de repreneurs” des magasins.

Succession de crises

Le groupe Printemps, fondé en 1865, et qui détient 19 grands magasins en France à son nom ainsi que huit magasins Citadium, emploie quelque 3 000 personnes. “Depuis plusieurs années”, explique-t-il, l’enseigne “évolue sur un marché structurellement difficile et détérioré par la succession de crises conjoncturelles (attentats, manifestations des gilets jaunes, grèves)”, sans même parler de l’épidémie de Covid-19 qui a réduit drastiquement les flux touristiques.

Il se dit “dans l’obligation de transformer son modèle pour arrêter les pertes, s’adapter aux exigences de marché et assurer sa pérennité sur le long terme”. Il entend notamment “renforcer la différenciation de son offre, “redévelopper son socle de clientèle”. Et prévoit 40 millions d’euros investis chaque année sur “les deux à trois prochaines années”. (selon AFP)

“Un cataclysme”, selon le maire de Metz

“La fermeture du Printemps à Metz est un cataclysme. Ma pensée va d’abord aux 110 salariés qui perdent leur travail et qui auront beaucoup de difficultés à retrouver un emploi dans leur métier”, a réagi François Grosdidier dans un communiqué mardi.

Selon le maire de Metz, “les causes structurelles des difficultés du commerce du centre de Metz sont connues : des causes générales (développement du commerce de périphérie puis de l’e-commerce), et des causes locales : un développement périphérique largement supérieur à la moyenne nationale et la création d’une offre excédentaire à Metz intra-muros avec Muse… Autant de tendances lourdes qui ne peuvent s’inverser et que l’on ne peut pas compenser en quelques mois. Pire, la crise sanitaire a frappé le commerce non-alimentaire plus que tout autre secteur économique”.

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