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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
13 septembre 2023

Chez nos voisins vosgiens

saint_di_Avec plus de 70 éditions au compteur, la Grande Braderie de Saint-Dié-des-Vosges est une véritable institution. Ce temps fort de la rentrée déodatienne fera sa 72ème édition le dimanche 17 septembre prochain.

Comme la 71e, cette 72e braderie s’inscrit dans la continuité. Elle sera toujours ouverte de 7h30 à 19h, avec un périmètre qui reste identique aux années précédentes. Soit de la rue Thiers à la rue d’Alsace – jusqu’au pont de Foucharupt – en passant par la place Saint-Martin, le pont de la République, une partie des rues Dauphine et Stanislas, la Place du Marché et ses proches alentours, ainsi que les quais du Maréchal-Leclerc, Jeanne-d’Arc et De-Lattre-de-Tassigny. Six entrées avec chacune une couleur différente permettront d’accéder au périmètre de la braderie. Des navettes circuleront tout au long de la journée, en continu de 8h à 20h, avec un départ toutes les 20 minutes depuis les parkings des hypermarchés E.Leclerc et Cora.

200 commerçants non sédentaires participent à cette 72e édition, pour environ 70 boutiques, restaurants et cafés déodatiens… et seulement 40 exposants pour les puces, qui n’attirent plus autant qu’auparavant. A ce propos, l’adjointe Dominique Chobaut précise que « une réflexion sera menée d’ici l’année prochaine, pour éventuellement fermer les puces et refaire à la place un salon de l’automobile. » En linéaire, cette 72ème Grande Braderie totalisera plus de 2 kilomètres.

Au titre des nouveautés, une politique du zéro déchet sur les emplacements sera pratiquée, comme c’est déjà le cas sur les marchés de Saint-Dié-des-Vosges. Celles et ceux qui ne nettoieront pas leurs emplacements avant de plier bagages seront verbalisés d’une amende de 3e classe. A noter également que Le poste mobile de la Police Municipale sera installé sur les quais. « Si un enfant se perd, il sera emmené au commissariat par la Police Nationale, où ses parents pourront venir le chercher » souligne Dominique Chobaut, tout en remerciant le lycée Jeanne-d’Arc de Bruyères pour la participation d’une quarantaine d’élèves au bon déroulement des opérations.

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5 septembre 2023

Un élu réagit quant aux « petits maires »

Alain Grisé, maire d’Urmatt, a réagi quant à l’annonce d’une augmentation des indemnités des maires des communes de plus de 3 500 habitants

urmatt0« La presse s’est récemment fait l’écho des attentions que l’État portait aux maires des communes de plus de 3 500 habitants, en paraissant oublier qu’il existait également plus de 32 000 maires de communes de moins de 3 500 habitants… Mais apparemment, ceux-ci ne semblent pas pouvoir être considérés de la même façon que les autres. La ministre déléguée chargée des Collectivités Territoriales et de la Ruralité, Dominique Faure, laissait entendre, vendredi 18 août, que les maires des communes de plus de 3 500 habitants pourraient voir leur indemnité augmenter… Le niveau de l’augmentation n’a pas été abordé, mais la ministre a confirmé cette évolution de l’indemnité des maires “afin de la porter à la hauteur de leur engagement et pour lutter contre leur découragement”.

Alors, quand doit-on parler d’engagement ?

On peut en déduire immédiatement que les petits maires n’ont pas un engagement à la hauteur, et que, naturellement, ils ne connaissent pas le découragement, puisque supposés être peu engagés. Ce n’est pas la première fois qu’un ministre délégué aura été maladroit, très maladroit. Un ministre devrait savoir que les petites communes doivent répondre aux mêmes impératifs administratifs, réglementaires et financiers que les plus importantes. À une différence près : elles n’en ont pas les moyens, ni humains, ni financiers. Alors que dans les collectivités plus importantes le personnel est plutôt en nombre, avec des services organisés et spécialisés. Le maire y est un chef d’orchestre, le patron d’une structure. Dans les petites communes le personnel et les élus sont en nombre restreint. Chacun met la main à la pâte, tous les jours, jour et nuit quand cela est nécessaire. Le petit maire n’a pas d’amortisseur, toutes les réclamations lui parviennent directement, tous les problèmes s’accumulent sur son petit bureau. Il est censé penser à tout, veiller sur tout, être responsable de tout… , avec bien peu de moyens.

Alors, quand doit-on parler d’engagement ? Tous ces maires sont très conscients de ce que leur mandat implique comme engagement, souvent au détriment de leur vie familiale et parfois professionnelle. Ils n’attendent pas de pourboire ou d’argent de poche. Juste un peu de considération. D’où le sentiment désagréable de se voir relégués dans la tranche la plus basse, celle dont il n’est guère besoin de se préoccuper. » (selon DNA - vallée de la Bruche)

3 septembre 2023

Du calcium et du magnésium pour tenter de préserver les forêts du massif vosgien

L'office national des forêts, en partenariat avec la municipalité et l'université de Strasbourg, a procédé, le 2 juin 2023, à un dépôt naturel de calcaire et de magnésium pour sauver la forêt d'Aubure. Son fonctionnement est rendu difficile à cause des nombreux épicéas et du sol en granite.

aubureIl faut sauver les 330 hectares de la forêt d'Aubure. L'office national des forêts (ONF) s'attelle à une tâche difficile. Avec l'aide de l'observatoire hydro-géochimique de l'environnement de l'université de Strasbourg et la municipalité, ils ont procédé, ce vendredi 2 juin, à l'amendement de calcium et de magnésium dans les sols afin d'aider à la régénération des arbres. 

Une vingtaine personnes s'est mobilisée toute la matinée en parsemant le sol d'un dépôt de calcaire et de dolomie, qui a pour objectif de recharger le complexe argilo-humique du sol, source de fertilité pour la flore. "Le fonctionnement est rendu difficile par le granite, qui est pauvre en éléments. Mais aussi en termes de régénération, étant donné qu'elle est biaisée par une densité de gibier très élevée", indique Alain Schall, forestier à l'ONF et adjoint au maire de la commune d'Aubure.

Les forêts du massif vosgien, essentiellement peuplées d'épicéas, sont concernées par de nombreux risques sanitaires. Selon l'ONF, plusieurs parcelles sont concernées par des carences nutritives, en particulier en calcium et magnésium, à cause de la nature acide des sols. Elles sont aussi sujettes au changement climatique, comme le stress hydrique, les canicules ou encore les risques de feux.

Des résultats visibles dans deux ans

Les relais de cette forêt montrent des signes de dépérissement et présentent un danger écologique. "Une seule essence a été plantée dans ces massifs durant l'entre-deux-guerres", déplore Alain Schall. La raison première était le besoin croissant de bois de construction. "Il y avait aussi une raison de coût pour la commune et l'ONF". 

Un problème qui a motivé les scientifiques et les acteurs locaux à agir depuis presque 40 ans. L'OHGE étudie le bassin-versant forestier du Strengbach à Aubure depuis 1986. À cette époque la problématique principale était de mieux comprendre le lien entre les pluies acides et le dépérissement forestier. Toujours selon Alain Schall, forestier à l'ONF, si les aiguilles et les feuilles sont jaunes, c'est un signe de carence.

Aujourd'hui, les enjeux principaux actuels de l’OHGE sont de se pencher sur la question de la ressource en eau et de la santé des sols et des forêts en zone de moyenne montagne et notamment l’impact du changement climatique. 

Le déficit en magnésium et en calcium est aussi visible sur les arbres dès l'arrivée du printemps. "Les aiguilles et les feuilles sont jaunes. C'est un signe de carence qui affecte leur fonction chlorophyllienne", observe Alain Schall. Les résultats du nourrissage de cette parcelle de forêt seront visibles d'ici deux ans. (selon "Franceinfo:")

2 septembre 2023

Rassemblement géant de gens du voyage

Les élus vent debout !

gens1Plus de 30.000 personnes sont attendues lors du congrès annuel d’une mission évangélique tzigane du 3 au 10 septembre, prévu sur la base de Grostenquin.

Les élus mosellans se disent trahis par l’État. Voilà des semaines qu’ils mènent bataille pour empêcher la mission évangélique de gens du voyage Vie et Lumière de se rassembler à Grostenquin pour leur congrès annuel, du 3 au 10 septembre. Par décision du gouvernement, cette ancienne base aérienne de l'Otan va bel et bien accueillir le rassemblement de tziganes, où près de 5000 caravanes et plus de 30.000 participants sont attendus.

Dès dimanche, les premiers pèlerins de cette Mission évangélique des Tziganes de France, qui réunit les cinq communautés tziganes - Manouches, Rom, Gitans, Eyniches et Voyageurs (forains), ont commencé d’arriver de toute la France. Une semaine avant le début officiel de l’événement, la préfecture compte déjà 3000 véhicules dont 2050 caravanes, dans cette agglomération de 41 communes dont les plus proches de la base, Bistroff et Erstroff, ne comptent pas plus de 300 habitants.

Près du double par rapport à 2017

Voilà cinq ans que Vie et Lumière ne s’était réunie en Moselle. En 2017, l'événement avait généré de multiples défis logistiques en termes de sécurité, de trafic routier et d’hygiène. Les collectivités avaient eu à charge la gestion des déchets et l’approvisionnement en eau et électricité. «Tout cela au frais du contribuable», grince Fabien di Filippo, élu LR de Moselle. «À l’époque ils étaient 26.000, là ils seront bien plus !», s'inquiète le député.

Le dernier rassemblement de la mission, en mai dernier dans le Loiret, près de Gien, a réuni près de 40.000 personnes, soit près du double d’avant le Covid. L’événement s’est caractérisé par des vols d'électricité municipale, des squats et des déjections sur des terrains publics et privés, au grand dam des habitants. La députée RN du Loiret Mathilde Paris avait appelé l'État à «prendre ses responsabilités» en mettant à disposition de la mission pentecôtiste un autre terrain, ou en imposant une jauge.

À la veille du rassemblement en Moselle, le pasteur Joseph Charpentier, organisateur du rassemblement Vie et Lumière, affirme s'être engagé à payer les frais. «Le ramassage des ordures, l'électricité et l'eau consommée, tout est à la charge à 100% de l'association», a-t-il affirmé sur France Bleu Lorraine. Une affirmation que dément le président de la communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie, Salvatore Coscarella. Lui assure n'avoir pas été contacté par la Mission. «Il ne peut pas dire que tout s'est bien passé lors des précédentes éditions, a réfuté l'édile auprès de France Bleu, c'est totalement faux. Tout le monde a encore en mémoire l'état du terrain dans lequel ils l'ont laissé quand ils sont partis, et de ce que ça a coûté pour tout remettre en état».

Promesse d'Edouard Philippe

Les maires sont d’autant plus amers qu’en 2017, face à la grogne, Edouard Philippe, alors premier ministre, avait promis aux élus Mosellans que la base aérienne de Grostenquin ne serait «plus sollicitée (...) à l'avenir» pour accueillir le rassemblement tzigane. Dans une lettre rendue publique, le chef du gouvernement affirmait avoir «commencé d'identifier, pour les prochaines années, d'autres sites permettant d'accueillir le rassemblement annuel», la base mosellane restant «une une infrastructure nécessaire aux besoins opérationnels des armées».

«La parole d'un premier ministre, c'est la parole de l'État, de la République», s'est insurgé Salvatore Coscarella. Fabien di Filippo affirme de son côté avoir sollicité maintes fois le cabinet d'Elisabeth Borne pour obtenir des explications, en vain. Lors d'un déplacement à Valmont, commune voisine de Grostenquin, le 25 août, la ministre chargée des collectivités territoriales Dominique Faure a dit «entendre le mécontentement» des élus et s’est engagé à lancer «aux côtés du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, et de la première ministre, Elisabeth Borne, un travail de recherche pour voir, en 2024, le lieu qui pourrait accueillir ce rassemblement».

Pour parer tout risque sécuritaire, le préfet de Moselle Laurent Touvet a annoncé le déploiement de 400 gendarmes, avec des «patrouilles de gardes républicains à cheval», pour «empêcher des dégradations ou des souillures». Un poste médical avec médecins et infirmiers a été installé, et les pompiers envoyés sur le site.

De leur côté, les maires des 41 communes environnantes, réunis fin juillet, ont pris un arrêté pour interdire le stationnement des caravanes en dehors des aires réservées. Les élus ont aussi averti qu'ils déposeraient systématiquement plainte en cas d'infraction, notamment autour de la zone «Natura 2000» de protection de la biodiversité. Celle-ci a été entourée de barrières pour prévenir les risques de dégradation et de braconnage, a annoncé la préfecture de Moselle. (selon "F-Société")

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26 août 2023

Les Alsaciens de l’étranger se retrouvent à Barr

C’est à l’invitation de Nathalie Kaltenbach, maire de Barr, haut-lieu de la viticulture alsacienne que se sont donnés rendez-vous les Alsaciens du monde pour fêter leur 42e rencontre annuelle. Des festivités cette année en partie ouvertes au grand ­public et placées sous le thème du vin. Celui des vignerons alsaciens… de l’étranger.

barrL’Union internationale des Alsaciens (UIA) a été créée en 1981 « et dès l’année suivante s’est tenue la première journée annuelle » rappelle Philippe Edel, l’un des fondateurs, aujourd’hui secrétaire général de l’UIA. « Depuis, nous alternons entre le Haut-Rhin et le Bas-Rhin, toujours à l’invitation des communes » note de son côté Gérard Staedel, président de cette fédération d’associations couvrant quelques soixante-dix pays et réunissant près de 2000 membres cotisants et 5000 contacts pour une population d’Alsaciens estimée à 100 000 individus dans le monde.

Les Alsaciens du monde à Barr

« Ce sont des expatriés pour le compte de grandes entreprises, des fonctionnaires et diplomates, mais aussi des Alsaciens implantés sur place avec leur famille, voire des étudiants… » poursuit Gérard Staedel.

« Autrefois, il s’agissait même d’émigrés si l’on fait référence à l’association des Alsaciens de New-York qui a fêté ses 150 ans en 2021 » ajoute Philippe Edel. Une diaspora précieusement recensée au point que l’UIA fédère aujourd’hui 63 associations et 17 délégués à travers le globe.

Conventions de partenariat

Traditionnel raout annuel de l’Union, la rencontre qui se déroule à Barr sera comme chaque année scindée en plusieurs temps forts. Une première journée, vendredi 25 août, sera en effet consacrée à la réunion des présidents d’association. « Qui attachent tellement d’importance à ces échanges d’expérience que la réunion n’a pas même été interrompue durant la trêve du Covid » se souvient Gérard Staedel.

Suivra l’assemblée générale de l’association qui cette année se prolongera par deux signatures de convention, l’une avec Agence Destination Tourisme (ADT) dont Nathalie Kaltenbach est présidente, l’autre avec le CEFPPA Adrien Zeller d’Illkirch Graffenstaden. « L’objectif de l’UIA a toujours été de faire rayonner l’Alsace dans le monde. L’ADT va nous fournir des outils de communication pour mieux faire la promotion du territoire et inciter les étrangers à visiter l’Alsace. » De son côté, le CEFFPA tout comme l’école hôtelière devraient notamment aider l’UIA à mieux identifier les restaurateurs alsaciens disséminés dans le monde.

Car comme le rappelle son président : « Lorsqu’on est un Alsacien à l’étranger, la première étape avant même la création d’une amicale ou d’une association, est souvent de trouver un lieu où se réunir avec d’autres amoureux de l’Alsace. »

Bretzel d’or

Samedi 25, la réunion plénière devrait cette fois rassembler quelque 200 personnes, amoureux de l’Alsace et leur famille, pour un moment d’échange à l’Hôtel de Ville suivi d’un déjeuner sur inscription. Une matinée au cours de laquelle sera dévoilée comme de coutume la ville hôte de l’édition suivante après une prise de parole de la marraine de cette édition 2023, la comédienne Charlotte de Turkheim dont la famille est originaire de la région.

Autre nouveauté : la remise d’un Bretzel d’Or par l’Institut des Arts et traditions d’Alsace à Dominique Massenez, producteur de vin au Chili,mais originaire du Val de Villé, berceau de la distillerie familiale familiale. (selon "L'ami-hebdo")

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8 août 2023

Saâles, un très ancien marché de montagne

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7 août 2023

Fête montagnarde aux Bagenelles

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4 août 2023

Le marché de montagne continue au Hohwald

Jusqu’au 1er  septembre inclus, le marché de montagne du Hohwald se tient chaque vendredi sur la place de la Mairie.

hohwald1Chaque vendredi, c’est une autre association qui a en charge l’organisation du marché de montagne au Hohwald. Le 28 juillet, le ski club a proposé la “planchette du skieur”, garnie de produits exclusivement locaux et bio, ainsi qu’un potage… les organisateurs avaient prévu la météo automnale !

En faisant le tour de la dizaine de stands, il est possible soit de faire ses courses pour la semaine, ou de se composer un dîner à déguster sur place, fromage, pain, confiture, bière, il y a même un traiteur.

« Il y a ce cadre unique, au milieu de la forêt »

Certains exposants viennent depuis la création de ce marché, c’est le cas de Monique de Bassemberg, qui confectionne des confitures et autres douceurs et qui apprécie particulièrement l’ambiance montagnarde : « C’est un petit marché authentique, bien organisé et qui bénéficie d’une belle fréquentation, et puis il y a ce cadre unique, au milieu de la forêt ».

Pierre Bacher, adjoint au maire, est satisfait : « Le marché fonctionne bien, et les retours que j’ai des exposants sont plutôt positifs, le nombre de visiteurs en  en est la preuve. Nous avons également des contacts avec de nouveaux producteurs qui aimeraient se joindre à nouscours de route ! »

Les tables hautes sont toujours très prisées pour boire un verre entre amis et manger sur le pouce.

Depuis cette année, la commune a mis en place un chapiteau qui permet de protéger le visiteur des aléas climatiques et de l’accueillir dans de bonnes conditions.

À l’ouverture à 17 h 30, il ne pleuvait plus et les premiers visiteurs sont arrivés, malgré une météo capricieuse. (selon DNA, édition de Molsheim-Obernai)

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31 juillet 2023

Fête paysanne du Val d’Argent

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14 juillet 2023

Feux d’artifice du 14 juillet

Pas de feu d'artifice hier à Villé ! Et pourtant vous aimez ce genre de spectacle ! Alors courez vite ce soir à Saint-Dié-des-Vosges ! (34 km, mais col d'Urbeis ouvert)

artificeDes doutes planaient sur la tenue des feux d’artifice du 14 juillet à Saint-Dié-des-Vosges. Le maire Bruno Toussaint l’a confirmé ces dernières heures : le spectacle pyrotechnique organisé à l’occasion de la Fête Nationale aura bien lieu. Les feux d’artifice seront tirés par Aquarêve ce vendredi 14 juillet à 22h30 au niveau de la Tour de la Liberté.

Moins de danger chez nos voisins vosgiens ? ou maires moins peureux que leurs égaux alsaciens ?

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