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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

28 juillet 2012

Albé en habit de lumière

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27 juillet 2012

Jeux olympiques de Londres

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25 juillet 2012

Pas de grève dans les chemins de fer allemands

lokomotivLes départs et retours de vacances sont des périodes où, en France surtout, les grèves des transports se multiplient. En Allemagne, pays souvent pris en exemple lors des dernières élections françaises, la même situation a été évitée de justesse. Notamment à la Bundesbahn, où les conducteurs de locomotives ont obtenu, après deux séries de négociations à Berlin, des augmentations de 3,8% à partir du 1er juillet pour 16 mois, et 2,4% supplémentaires à partir du 1er novembre 2013. La contribution patronale aux caisses de retraite a aussi été augmentée de 1%. La première série de négociations était pourtant mal partie et avait débouché sur une "Warnstreik" de 24 h. Mais les dirigeants de la Bundesbahn se sont rappelés des grèves dures des conducteurs de locomotives en 2007 et en 2010 (les grèves de 2010/2011 avaient duré plus de 9 mois) ! Quand certains de nos compatriotes, surtout élus, nous racontent qu'en Allemagne ne font jamais grève pour arriver à faire plier le patronat... Et en France, la grève des pilotes de ligne d'Air-France-Régional en est à son cinquième jour . Encore peu d'impact à ce jour, ... mais jusqu'à quand ?

- A lire aussi : 20mn 

24 juillet 2012

Soirée-guinguette à Villé

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23 juillet 2012

Christian Pierret, ancien ministre de l'Industrie, et Peugeot

remonte_christian_pierret_denonce_une_competition_biaisee_et_confisquee_par_les_elephants_duIl a été ministre de l’Industrie le plus longtemps en exercice sous la Ve République. Ce qui ne prouve rien, diront certains esprits chagrins. Sauf qu’il a acquis une expérience hors pair, dont la démonstration tranquille contraste avec les bavardages de quelques fanfarons de basse-cour caquetant dans le vide. Christian Pierret sait de quoi il parle. Les palpitations, les crises du monde industriel, il connait. Les commandes qui fléchissent, les problèmes de stratégie, il les a vécus de l’intérieur lorsqu’il dirigeait lui-même les PME qu’il a créées dans une autre vie que celle d’élu ou d’avocat, sa profession d’aujourd’hui qu’il considère non pas comme un refuge pour excellence ministérielle ayant réussi sa reconversion, mais comme un moyen d’être encore et toujours au service des entreprises.

Pour le maire de Saint-Dié, la seule fonction élective qu’il conserve, l’annonce de la fermeture de l’usine d’Aulnay et des suppressions d’emploi chez Peugeot, est un seau d’eau glacée que le précédent pouvoir a réservé à François Hollande. Drôle de conception du service de la nation, déplore l’ex-ministre de Lionel Jospin qui, sans être partisan d’une intervention enragée, estime que l’Etat a un rôle à jouer.
« On avait parlé de la fermeture d’Aulnay il y a plusieurs mois. Peugeot avait démenti mais le plan, les syndicats l’avaient dit à l’époque était déjà en préparation. Il a été décidé à cause de l’élection présidentielle Nicolas Sarkozy ne souhaitait pas endosser cette fermeture et Peugeot s’est plié à ce montage politique. » Sans trop insister sur cette manière de procéder qu’il n’est pas loin d’assimiler à de la duplicité, Christian Pierret examine le dossier sans fièvre partisane. Lorsqu’un tel choc industriel se produit, il faut savoir regarder plus loin que le clocher de son appartenance à un camp. « Quand j’étais en charge de l’Industrie dans le gouvernement Jospin, j’ai eu à organiser le retrait d’un dispositif équivalent à la prime à la casse qui nous apparaissait comme une erreur, car ça précipite l’achat et ensuite, on retombe de plus haut. Au final on crée un effet dépressif plus qu’expansif. Là, il faut trouver les moyens de relancer Peugeot et la filière automobile.« 

A la différence de quelques perroquets de droite comme de gauche qui débitent des fadaises à tout va depuis que Philippe Varin le patron de Peugeot a fait connaître ses intentions, le maire de Saint-Dié sort du registre de la politicaillerie le plus simpliste. Ce qui importe à ses yeux, c’est l’avenir du constructeur et de ses salariés. « François Hollande a dit qu’il encouragerait la construction de véhicules moins polluants qui sont dans les cartons du groupe. On doit également encourager l’innovation. Les textes européens le permettent. Il faut aussi stimuler la recherche et limiter la casse sociale à Aulnay mais aussi ailleurs. Un emploi dans cette usine, c’est cinq emplois en dehors pour la sous-traitance, y compris en Lorraine. A Saint-Dié, il y a une entreprise qui travaille pour PSA. On peut dire que 8000 emplois supprimés chez Peugeot se traduisent par 50 000 au final dans l’ensemble de la filière.« 

Pas question de tomber dans le genre fielleux qui accroche des casseroles aux basques des autres, pourtant Christian Pierret explique que PSA a reçu des aides de l’Etat qui lui imposeraient certains devoirs. « Le plan de soutien accordé à l’époque avait le sceau de l’Elysée dont les armes figuraient sur la page de garde du document dont j’ai pris connaissance en tant qu’avocat de certains sous-traitants. Les constructeurs en ont remboursé une partie avec les intérêts, mais l’aide se chiffre en milliards d’euros. Pour être euro-compatible dans l’élaboration d’une solution, il faudrait décréter l’automobile en état de situation économique très obérée, permettant la prise de mesures exceptionnelles, mais ça donnerait une image catastrophique de notre industrie automobile. »
N’empêche qu’il faut trouver des réponses et se préoccuper des reclassements. « La seule possibilité, c’est celle que j’avais mise en œuvre lorsque j’étais à l’Industrie quand on a dû traiter le dossier Chausson. On a monté avec l’autorisation de Bruxelles un plan de reconversion comportant un suivi individualisé. Il y a eu énormément de crédits publics mobilisés mais c’était avec l’aval de l’Europe ! C’est la seule méthode efficace pour mener une action ciselée. Je pense d’ailleurs qu’on peut maintenir une partie de l’activité automobile sur le site d’Aulnay.« 

Pour Christian Pierret il faut aller au fond des choses et dépasser les polémiques, mais il y a des comportements qui passent mal. « Deux mois après notre arrivée au pouvoir, on hérite d’une situation connue mais dont l’annonce a été sciemment retardée, ce qui est plutôt scandaleux. A nous de nous débrouiller mais ce qui est constant et surtout très préoccupant, c’est la dégénérescence de l’industrie française.« 

On l’interroge sur les différentes phases de son itinéraire politique. Comme il ne vit pas en regardant en permanence derrière son épaule, il se satisfait pleinement de son rôle de maire de Saint-Dié. « Ce n’est pas une sinécure. Je suis président de la Fédération des villes moyennes, on est tous entrain de glisser vers le gouffre. Les villes moyennes sont des villes d’industrie manufacturière. Il faut aussi faire face aux conséquences de la suppression de la taxe professionnelle qui représentait 45% de nos recettes, là on est à 17% de ressources fixées il y a trois ans et qui ne bougent plus.« 

Regrette-t-il d’avoir renoncé aux législatives ? La réponse tombe claire et nette. Il ne s’est pas engagé dans cette bataille non parce qu’il ne croyait plus en son étoile, mais parce qu’il estimait devoir passer la main. « J’ai été 25 ans député » fait-il observer en rappelant que son ancienne circonscription, celle sur laquelle Jack Lang s’est brisée les dents, est difficile à conquérir.

Brigue-t-il une mission particulière qui lui permettrait d’affirmer sa vision de l’entreprise et son dessein pour l’industrie. On songe notamment à la banque d’investissement ? « Je suis à la disposition de ma famille politique et intéressé par toute sollicitation qui est dans mes cordes. » Christian Pierret a pris du recul. Suffisamment pour que les lumières de la politique nationale cessent de briller sur sa carrière ? Pas sûr. Là où tant de responsables n’ayant pas son CV clapotent et s’époumonent pour distribuer du vent, lui fait valoir sa conception de l’action industrielle de l’Etat sans rien attendre ni demander, ce qui est encore la meilleure manière de saisir une opportunité, si bien sûr elle se présente.

Article de Pierre TARIBO, paru dans l’hebdomadaire La Semaine, du 19 au 25 juillet 2012, n°121.

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22 juillet 2012

Le tourisme dans la vallée

543238_402774863107668_1143414913_nLa crise bat son plein, peu de touristes grecs, italiens ou espagnols viennent dans notre vallée. Seuls les Belges sont au rendez-vous, au point qu'il a fallu changer de nombreux panneaux de signalisation pour que nos visiteurs wallons ou flamands en comprennent la signification !

 

21 juillet 2012

Albé en habit de lumière

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20 juillet 2012

Réunion du conseil municipal de Villé

La prochaine réunion du conseil municipal de Villé aura lieu le lundi 23 juillet à 20 h.

Ordre du jour :images__1_

  •  Finances : participation financière au fonctionnement d'une épicerie solidaire et décision modificative n° 1.
  • Voirie : lancement de la 2e phase des travaux de requalification urbaine.
  • Ressources humaines : recrutement d'un agent en raison d'un départ en congé de maternité.
  • Urbanisme : projet de commercialisation des parcelles du lotissement Pommiers 2.
  • Cession à titre gracieux des terrains destinés à accueillir la maison de retraite et autorisation d'occupation du domaine public.
  • Vie associative : nouvelle convention pour la gestion de l'étang de pêche.
  • Communications du maire.
  • Divers.

La réunion est publique !

19 juillet 2012

Vers un début de la fin de la Françafrique ?

Protection rapprochée de Ouattara :

les Israéliens remplacent les Français

Ivory_Coast_Alassane_OuattaraL’information est encore gardée secrète. Une source proche de la présidence de Côte d’Ivoire nous l’a livrée. Le président Ouattara a pris la décision de se séparer de certains blancs, membres de sa sécurité rapprochée. Il s’agirait de sécurocrates français dont le chef de l’état s’était attachés les services, du temps où Nicolas Sarkozy était encore aux affaires en France. Ces patrons des services de renseignements et de l’espionnage ont été débarqués confie notre source, pour: « insuffisance de rendements ». Ces messieurs ont été virés et remplacés par des Israéliens. Le Lieutenant-colonel Vagondo Diomandé, demeure toujours chef de la GSPR, secondé par le commandant Chérif Ousmane, tandis que le général Gueu Michel garde son poste de chef d’état major militaire du Palais. (connexion ivoirienne.net).

Questions : ces "sécurocrates" envoyés chez Ouattara par Nicolas Sarkozy étaien-ils des fonctionnaires ? payés par qui ? A l'heure des restrictions budgétaires la question est d'importance et mérite d'être élucidée ! La France a-t-elle pour mission de s'occuper de la sécurité personnelle de chefs d'Etat étrangers ?

16 juillet 2012

Avant même sa naissance, un bébé provoque un accident

b_b_Encore pas né, il provoque déjà un accident de la circulation ! C'est un enfant alsacien, et il a poussé sa mère à une sortie de route à Allschwill près de Bâle, en lui donnant des coups de pieds si forts dans le ventre qu'elle a perdu le contrôle du véhicule. C'est le récit que la jeune femme de 32 ans a fait à la police. Prise de douleur et d'effroi, la conductrice a touché un boîtier électrique. La voiture a fait un beau tonneau pour s'immobiliser contre la clôture d'un jardin. La maman, originaire du nord de l'Alsace, et le bébé s'en sont sortis indemnes, mais la voiture n'était plus qu'un tas de ferraille. De nombreux représentants des médias étaient sur place, mais la dame n'a pas souhaité s'exprimer et voulait surtout retrouver un peu de tranquillité, selon la police suisse.

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