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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

30 décembre 2014

Chasse : il n'y a pas qu'à Villé ...

Oui, il n'y a pas qu'à Villé où l'adjudication de la chasse provoque des remous. La maire de Katzenthal, a visiblement aussi des problèmes avec son conseil municipal sur la façon de procéder ! En cette fin d'année, le maire de Villé, un peu moins pris par ses fonctions, et fervent lecteur de ce blog, pourra s'instruire en prenant connaissance de l'article ci-dessous (extrait de Heb'di - novembre 2014). 

Chasse_Katz___Hebdi_Novembre_2014

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28 décembre 2014

Mais où était le prince Albert II de Monaco ?

manif02Drôle de manifestation dans le Sundgau ce dimanche que celle des soi-disantes "alsaciennes révoltées". Evidemment soutenue par "Elsass frei". De quoi faut-il donc délivrer l'Alsace ? du froid glacial ? Ou ces gentes dames, qui ne veulent pas de la grande région Alsace - Lorraine - Champagne - Ardennes, souhaitent-elles une région Sundgau - Monaco, au nom de l'Histoire qui faisait du Sundgau une terre monégasque. D'ailleurs le prince Albert II porte toujours encore le titre de "comte de Ferrette". Et après tout, l'Alsace et la principauté de Monaco ont le même drapeau. Voilà déjà un début de reconstruction d'une grande région Alsace-Monaco qu'on pourrait appeler la Région ALMO.

Il se pose quand même quelques questions

1) Pourquoi le maire de Muespach a-t-il été ceint d'une écharpe rouge-blanc ? Cette région sera-t-elle une république ou une principauté ?

2) Pourquoi les organisatrices de ce singulier défilé n'ont-elles pas invité le prince Albert II de Monaco ?

3) Plus sérieusement, quand arrêteront ces mascarades ? On n'aura plus d'idée pour l'organisation de Carnaval d'ici quelques semaines.

27 décembre 2014

Un journaliste assassiné en RDC (république pseudo-démocratique du Congo)

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Un journaliste de la télévision nationale congolaise (RTNC) a été abattu vendredi soir dans un bar de Goma. Il vient rallonger la longue liste des journalistes assassinés en République démocratique du Congo (RDC) : une dizaine depuis 16 ans, selon Journaliste en danger (JED).

Goma deviendrait-elle la cible privilégiée des attaques contre les journalistes ? Ce vendredi, c’est un journaliste de la Radio Télévision nationale congolaise (RTNC) qui a été assassiné dans un bar du quartier Keshero de Goma, la capitale provinciale du Nord-Kivu. Selon les témoignages recueillis sur place par Radio Okapi et l’AFP, « deux hommes ont fait irruption dans le débit de boisson (et) se seraient directement dirigés vers table qu’occupait le journaliste. L’un des assaillants a ouvert le feu et lui a tiré dessus. » Robert Chamwami Shalubuto était âgé de 42 ans et travaillait pour la télévision nationale depuis 1997.

La RDC mal classée pour la liberté de la presse

Ce journaliste n’est pas le seul à avoir été victime d’une attaque ciblée dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC). Le 25 octobre dernier, un autre journaliste de la RTNC, Philémon Gira, avait également été attaqué par des hommes armés. Ce journaliste avait survécu à ses blessures, mais avait dû être amputé de la jambe. La République démocratique du Congo (RDC) occupe une triste place dans le classement mondial de la liberté de la presse en 2014 : 151è place sur 180. Selon Journaliste en danger (JED), une ONG congolaise, une dizaine de journalistes ont été abattus depuis 16 ans, essentiellement dans l’Est du pays, en proie à des conflits à répétition depuis 20 ans. Mais les restrictions à la liberté de la presse ne s’arrêtent pas là en RDC. En novembre 2014, le ministre des médias, Lambert Mende a suspendu 5 radios et 1 télévision « sans qu’aucune procédure judiciaire ou réglementaire n’ait été mise en œuvre contre ces médias », souligne Reporters sans frontière (RSF).

82 journalistes interpellés en 2014

Les autorités ont également procédé à des « suspensions de masses » cette année. 61 médias accusés « de ne pas disposer d’autorisation » ont été interdits. Une décision « hors de toute procédure légale » , qui envoie un message inquiétant aux journalistes. Reporters sans frontière et JED notent qu’entre 2013 et 2014 : « 82 journalistes ont été arrêtés ou interpellés par les forces de l’ordre alors qu’ils exerçaient leur métier. Soixante de leurs confrères ont été battus ou menacés, parfois directement par les forces de l’ordre, sans qu’aucune enquête ne soit ouverte pour retrouver leurs agresseurs ». Toujours selon ces ONG : « 50% des atteintes à la liberté de la presse sont le fait des personnes identifiables dans l’armée, la police et les services de sécurité qui jouissent d’une totale impunité ». La liste des assassinats de journalistes non élucidés reste enfin impressionnante : « Bapuwa Mwamba, tué par balles en 2006 à Kinshasa, Mutombo Kayilu, poignardé près de Lubumbashi en 2006, Patrick Kikuku, tué à Goma en 2007, Patient Chebeya Bankome, abattu à Béni en 2010, Kambale Musonia, assassiné à Kirumba, dans le Nord-Kivu, en 2011, Guylain Chandjaro en Ituri en 2013, Kennedy Germain Mumbere Muliwavyo à Beni en 2014 ». (selon Afrikarabia.com)

25 décembre 2014

Noël sans lumière !

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Non, il ne s'agit pas de l'éclairage public régulièrement coupé toutes les nuits dans le bourg-centre. Mais bien de la situation où se trouvent depuis près d'un mois trois familles de Villé qui, bien que payant régulièrement leurs factures, n'ont plus d'électricité !

Il s'agit de trois familles habitant dans des logements d'une SCI sélestadienne qui loue des appartements sur l'ancien site des Filatures et Tissages de Villé, vaste friche et verrue dans le paysage villois. 

Selon nos infos, cette friche qui possède encore son propre transformateur a vu ce dernier en panne. Et les locataires dépendant de ce transformateur n'ont donc plus de courant. Nous ne polémiquerons pas sur la nature de la panne : dûe à la vétusté ? ou provoquée par le débranchement de câbles ? On évoque même un vol de câbles, mais avec une charge de 20000 volts qui aurait tenté l'aventure ? Toujours est-il que la SCI aurait décidé de ne pas remettre en état, et a provisoirement mis en place un groupe électrogène qui s'éteint à toute heure dès qu'il est en panne de carburant. Un peu léger l'attitude de cette SCI, surtout que les mêmes faits se sont déjà produits sur ce site et que la justice a encouragé le propriétaire (qui avait coupé le courant électrique et l'eau de façon expéditive) à rétablir tout cela illico presto.

Cette fois-ci les locataires sont laissés dans la précarité en pleine période hivernale, la SCI conseillant même aux locataires de chercher d'autres appartements !  Visiblement, la loi n'intéresse pas beaucoup les responsables de cette SCI ! 

Les villois aimeraient connaître aussi la position du maire, premier officier de police du bourg et responsable de la sécurité de ses concitoyens, et les mesures d'urgence qu'il a prises. Il est au courant de l'affaire depuis un certain temps et a donc eu le temps de réagir. Mais peut-être attend-il que le nouveau sous-préfet découvre mon blog pour se faire tirer les oreilles. En cette période de Noël il est inadmissible que des villois soient traités de cette façon !

A tous les lecteurs du blog 

joyeux_noel

 

24 décembre 2014

Côte d'Ivoire : un pays pas si calme que ça

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Grève de militaires, barrages, coups de feu dans Abidjan après l’arrestation vendredi d’un ex-chef de guerre: les rebelles ayant aidé Alassane Ouattara à arriver au pouvoir en Côte d’Ivoire, après son élection mouvementée fin 2010, n’en finissent pas de gêner le régime. Les incidents impliquant les ex-combattants se multiplient depuis novembre. « Ce sont des mouvements d’humeur qui peuvent arriver. Mais à chaque fois l’ordre est instauré », rassure Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement.

Alors qu’une présidentielle est prévue en octobre 2015, l’image d’une Côte d’Ivoire apaisée vantée par les autorités s’émiette toutefois au rythme des incidents. Abidjan a « attendu trois ans pour neutraliser les rebelles, pour les marginaliser, les mettre au placard. Maintenant, ça va être de plus en plus difficile », juge une source sécuritaire occidentale.

Mi-novembre, des soldats en grève bloquent le pays. Le mouvement démarre de Bouaké, la deuxième ville ivoirienne, puis essaime rapidement pour atteindre Abidjan. Près de 9.000 anciens rebelles, intégrés dans l’armée en 2009 et 2011, exigent le paiement d’arriérés de soldes et des promotions. Alassane Ouattara souscrira à leurs doléances. « Ouattara a ouvert la boîte de Pandore », affirme un analyste occidental. « Il s’est acheté la paix dans les casernes jusqu’à la présidentielle » de 2015 dont il est le grand favori, mais a aussi « créé un précédent » et « une instabilité probable » après l’élection, estime-t-il.

Les gardes pénitentiaires, dont 2.000 anciens rebelles font partie, se mettent ensuite en grève pour une journée. Le mouvement part là encore de Bouaké, ancienne capitale rebelle du nord, quand le territoire national était coupé en deux après le coup d’Etat manqué de 2002 contre Laurent Gbagbo. La décennie de troubles politico-militaires dans le pays a culminé avec la crise postélectorale née du refus de M. Gbagbo de reconnaître la victoire de M. Ouattara à la présidentielle fin 2010. Près de 3.000 personnes ont péri en cinq mois de violences. Détenu depuis trois ans par la Cour pénale internationale, l’ex-président sera jugé en juillet 2015 pour « crimes contre l’humanité ».

Les chefs des ex-rebelles qui ont soutenu le président Ouattara face au camp Gbagbo lors de la crise postélectorale sont, eux, devenus les piliers du nouveau pouvoir. Les anciens « com’zones » (commandants de zone) trônent au sommet de la hiérarchie sécuritaire.

La Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH) dénonçait récemment l’impunité dont bénéficient les ex-chefs de guerre, notamment Losséni Fofana, dit « Loss », désigné pour sa responsabilité présumée dans le massacre de Duékoué (ouest), qui a fait « des centaines de morts » en mars 2011. « Loss » est en charge de la sécurité militaire de tout l’ouest ivoirien. Quelquefois, certains tombent en disgrâce. Issiaka Ouattara, dit « Wattao », a été exilé au Maroc pour une formation militaire. De son côté, Salif Traoré, dit « Tracteur », a été arrêté vendredi matin par l’armée pour un motif encore inconnu.

L’interpellation a fait un mort parmi ses hommes. D’autres ont ensuite tiré en l’air pour manifester leur colère. Des dizaines de soldats ont été appelés en renfort pour ramener le calme. L’incident est une « conséquence de la crise » postélectorale, explique Bruno Koné, pour qui Abidjan « traite petit à petit ces questions ». Salif Traoré était accusé d’avoir fomenté le blocage jeudi d’une route fréquentée à proximité du camp militaire d’Akouédo, le plus important d’Abidjan, ce que ses hommes nient. Les soldats ayant érigé les barricades ont été « immédiatement mis aux arrêts » et seront « radiés », a annoncé le ministère de la Défense. « La décapitation de la rébellion est en train de se produire à Abidjan », glisse un sympathisant de « Tracteur ». « Ils ont oublié qu’on les a mis au pouvoir! », s’exclame un autre, gri-gri à la main, qui avertit: « on ne rentre pas dans le jeu de l’intimidation. Mais si on nous force, on le fera. »

AFP, repris par "Oeil d'Afrique"

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23 décembre 2014

Après le mur de Berlin, Sarkozy ment dans ses conférences à 150000 €

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«Quand j'ai créé le G20, M. Ban Ki-moon m'a demandé: “Pourquoi crées-tu une organisation concurrente aux Nations unies?“ Et je lui avais dit que ce n'était pas une concurrence, mais que les Nations unies, avec la règle de l'unanimité, ne pouvaient plus arbitrer les grandes questions du monde». Voici le récit livré par Nicolas Sarkozy à son auditoire, lors d'une conférence rémunérée donnée à Séoul le 14 octobre dernier, en pleine campagne pour la présidence de l'UMP. Médiapart a publié samedi dernier une retranscription intégrale de l'intervention de l'ancien président, dans laquelle il prend quelques libertés avec l'histoire. Bien que le contenu de ses discours, payés entre 80000 et 150000 €, reste généralement confidentiel, quelques éléments de la conférence de Séoul avaient déjà fuité dans la presse. Cette fois-ci c'est donc une interprétation libre de l'histoire du G20 qu'a délivrée le président de l'UMP. La création de cette institution date en réalité de 1999, suite à l'initiative du ministre des Finances canadien d'alors, Paul Martin. Son objectif était, au lendemain de la crise économique des années 90, de favoriser les échanges entre les principales puissances économiques du monde, en incluant les puissances émergentes comme l'Afrique du Sud, le Brésil ou l'Inde. Lors de la création effective du G20, Nicolas Sarkozy n'avait pas encore construit sa stature internationale. Il était alors député des Hauts-de-Seine et maire de Neuilly.

Sarkozy et l'UMP n'ont pas changé

Sarkozy est coutumier du mensonge. Rappelons-nous sa pseudo-présence à la chute du Mur de Berlin ! Non seulement il n'a pas changé, mais il a déteint sur ses compagnons. D'ailleurs, il peut changer le nom du parti sans changer le sigle, en le transformant en "Union des Menteurs Professionnels". La contagion a touché ce parti à tous les niveaux, y compris local.

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Ainsi, la conseillère générale du Val de Villé qui selon les DNA demandait il y a quelques semaines l'investiture UDI aux cantonales (elle se disait pourtant centriste indépendante aux dernières), a obtenu selon "Les Chuchotements" des DNA l'investiture de l'UMP. L'étiquette "UMP sans étiquette" va donc perdurer dans la vallée, un vrai label passe-partout. Il est vrai qu'en matière de mensonges, notre pseudo-représentante est à la hauteur de son nouveau maître à penser. Ainsi, lors de son élection en 2011 la candidate a promis de défendre la RN 59 ! Et elle l'a si bien défendu qu'en septembre 2013, lors d'une séance plénière du Conseil Général, elle n'a même pas réagi lorsque le préfet du Bas-Rhin a annoncé que "la nouvelle route ne sera pas plus large que l'ancienne", ce qui signifie un enterrement de première classe pour ce contournement prévu à 2x2 voies selon la DUP ! Nous ne reviendrons pas sur sa promesse électorale d'intervenir pour faire baisser le prix du tunnel de Ste-Marie-aux-Mines. Elle n'en a rien fait. Mais, reconnaissons-le, notre encore conseillère a son entière place dans la nouvelle UMP sarkozyste.

22 décembre 2014

La France n'est plus le premier fournisseur de l'Algérie

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La France a échoué en 2014 à reconquérir la place de premier fournisseur de l’Algérie, ravie pour la première fois par la Chine l’année précédente, selon les chiffres du commerce extérieur publiés dimanche par les douanes.

La Chine, avec 7,44 milliards de dollars, conserve la première place de fournisseur devant la France (5,89 mds), suivie de l’Espagne (4,60 mds), de l’Italie (4,54 mds) et de l’Allemagne (3,44 mds). La France tente de reprendre depuis 2013 cette position qu’elle a occupée pendant un demi-siècle. La France tient à rester le premier partenaire économique de l’Algérie qui n’est pas un marché mais bel et bien partenaire, avait ainsi assuré l’été dernier son ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius.

A l’exportation, les cinq principaux clients de l’Algérie, qui vend essentiellement du pétrole et du gaz, ont été l’Espagne (8,38 mds USD), l’Italie (7,59 mds), la France (5,89 mds), la Grande-Bretagne (5,11 mds) et les Pays-Bas (4,45 mds). Les recettes provenant des hydrocarbures ont baissé de 1,84% durant les onze premiers mois de 2014 en raison de la chute des prix du pétrole, de 57,23 à 56,2 milliards de dollars.

Au total, les exportations de l’Algérie ont atteint 58,67 milliards de janvier à fin novembre 2014, contre 59,07 mds USD pour la même période de l’année dernière, soit une légère baisse de 0,68%.

En raison notamment du recul des prix du pétrole, l’excédent commercial est tombé à 5,37 milliards de dollars sur les onze premiers mois de 2014, en baisse de 39,4% sur un an.

AFP, par "Oeil d'Afrique"

21 décembre 2014

Electricité : une taxe pas claire

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De nombreux habitants de Villé ont vu, malgré une baisse de consommation, leur facture d'électricité augmenter. De quoi s'agit-il ? D'un rattrapage d'impôts sur le réseau de 2012 (appelé dans les explications au dos de la facture TRV 2012). Voilà qui est original et mystérieux. J'ai donc cherché à en savoir plus.

Il faut remonter à 2003 et à une directive européenne. Celle-ci impose que la taxe sur l'électricité soit collectée par les fournisseurs d'énergie, tout en précisant qu'elle pouvait être reversée à la collectivité. La directive a été reprise après 2007 dans le cadre des lois qui ont suivi les accords de Grenelle. Mais les décrets d'application ont été pris par le gouvernement Ayraut. Décidément, Sarkozy avait l'art de laisser ses ardoises aux successeurs. Mais, de fait,  La loi rectificative ôte le bénéfice de la «taxe électricité» aux communes pour le transférer à l'échelon intercommunal. Le produit de cette taxe sert à l'entretien et au développement des réseaux électriques. Depuis le Grenelle de l'environnement, elle doit également financer la rénovation thermique des bâtiments publics. De nombreux maires, à travers l'AMF, ont exprimé leur désaccord. Il n'y a aucune garantie que ces dépenses ne restent pas à la charge des communes, malgré la perte des recettes correspondantes. 

Dans le Centre-Alsace, des élus bougent !

Le comité directeur de la communauté des communes de Sélestat a délibéré à ce sujet le 15 décembre dernier. Le maire de Kintzheim a réagi immédiatement : « Nous sommes contre cette taxe que la commune n’a pas instituée, mais pas contre le retour des € dans le giron communal ! D’où l’abstention au moment du vote (c’était l’objectif de la délibération). Ces euros non désirés ne nous réjouissent pas du tout. Le conseil municipal se réunira à titre exceptionnel mardi 30 décembre 2014 à 19 heures, sur cette question. Si la loi/le décret impose une solidarité interne sur la question, soit. Mais comme nous n’avions pas été « avertis » du contenu, nous remettrons en question le taux de la taxation – présenté semble-t-il lors d’un bureau de la communauté de communes. Cette question ne nous concernait pas alors.

Après renseignement auprès de la Direction d’ERDF, mardi 16 décembre, il s’avère que la marge de taxation va de 0 à 8,5. Or si la taxe est imposée à notre collectivité, nous sommes en droit de contester le taux de 8,5 (le maximum). Le maire d’Orschwiller, grand défenseur de cette taxe, qui avait pris un arrêté à 4 %, retoqué semble-t-il par la sous-préfeture – s’est fait piéger.

Kintzheim fera un recours non contre la loi ou le décret mais contre le taux abusif. On ne peut passer du taux 0 au taux maximum de 8,5. C’est intolérable. Il serait étonnant qu’une des petites communes de la communauté de communes ait à ce jour voté ce taux extrême/extrémiste, totalement pénalisant pour la population dont beaucoup de citoyens ont du mal à gérer le quotidien.

L’ajout d’une taxe supplémentaire amplifiera le malaise social. »

Et à Villé ?

Difficile de se faire une idée face au manque de délibération tant intercommunal que municipal. Au passage, notons quand même que le gouvernement Ayraut a limité le taux de cette taxe à 4% et non à 8,5% comme semble l'affirmer la Direction d'ERDF. Autrement dit, sans transfert de compétence effectif, sans taux effectif fixé dans les règles de l'art, comment nos fournisseurs d'énergie peuvent exiger un quelconque montant de "rattrapage pour 2012" avec date impérative de paiement le 14 novembre ? Pour ma part, un rapide calcul sur ma propre facture m'a fait évaluer le montant du pseudo-rattrapage à un taux de 17,5% !

Et au fait, lors des prochaines tranches de requalification urbaine, qui paiera l'enfouissement des réseaux ? Encore un problème à revoir, Monsieur le Maire ! Je n'ose demander à la municipalité, d'imiter bien d'autres, et de déposer un recours au tribunal administratif, d'autant plus que Villé est en régie privée, comme 200 autres communes de France qui se posent bien des questions. Il faudrait un certain courage politique pour cela. Il est plus facile de faire trinquer ses administrés.

20 décembre 2014

Faut-il encore un grand Noël de la vallée ?

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Faute de grand Noël 2014 de la vallée, plusieurs villages ont organisé des animations moins gigantesques, mais tout aussi intéressantes. C'est le cas à Fouchy, Thanvillé (château), Breitenbach, ... Après tout, ne serait-ce pas la solution pour l'avenir, de laisser faire les habitants, plutôt qu'organiser un grand Noël commercial ?

18 décembre 2014

65 % des Français aiment Angela Merkel ...

... mais les Belges n'apprécient pas la politique européenne d'austérité qu'elle leur impose.

merkelDNA du 16/12/2014

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