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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER

1 novembre 2020

Incroyable mais vrai !

Relevé dans la presse régionale du 31/10

Décidément on aura tout vu ! A Strasbourg, il y aurait donc plus de policiers contaminés que d'atteints dans les vallées vosgiennes. Il faut donc se poser la question : la population peut-elle avoir la garantie de ne pas être infectée par les forces de l'ordre ? et doit-elle accepter  de recevoir en mains propres un quelconque PV de 135€ dressé par les policiers ? Voilà qui est plus que cocasse.

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31 octobre 2020

Côte d’Ivoire : Pas d’élection ce 31 octobre ?

De nombreux centres d'élections incendiés !

CI Ce vendredi, les CEI de Koun Fao, Daloa, Gueyo, Liliyo, saccagées et incendiées, empêchant ainsi le scrutin présidentiel dans ces villes.

La population de Koun Fao est sortie massivement ce vendredi pour dire non à un 3e mandat illégal et anti-constitutionnel du président Alassane Ouattara, a appris un journaliste.
A l’instar de plusieurs autres localités, elle a tout saccagé au bureau locale de la commission électorale indépendante (CEI) pour clairement signifier que conformément au mot d’ordre de désobéissance civile de l'opposition, il n’y aura pas d’élection à Koun Fao comme dans tout le reste du pays le samedi 31 octobre 2020.

Même scénario aux CEI loccales de DALOA et GUEYO également parties en fumée.

En effet ce vendredi, plusieurs villes de l’interieur étaient en ébullition comme Daloa, Bonoua, Gagnoa, Alepé , Koun Fao, Lakota, Divo, Soubré, Yamoussoukro, Gueyo, Tankessé, etc…et de nombreux bureaux de vote et sièges locaux de la CEI saccagés ou incendiés.

Des axes routiers entiers étaient bloqués à la circulation comme à Alépé et l'axe Divo-Lakota, par de gros troncs d’arbres où par des grumiers comme constaté par des sources jointes sur place.

Le début de contestations et de troubles post-électoraux ? L'Afrique nous y a habitués. (selon Ivoire business)

30 octobre 2020

Panne ou grève ?

En marche ou crève !

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Décidément, les aventures arrivant lors des annonces à répétition de notre président provoquent toujours des remous. Certains de nos concitoyens ont ainsi été surpris dès mercredi matin. Plus de téléphone, plus d'internet et plus de télévision ! A première vue, un problème de réseau en dégroupage total chez l'un de nos fournisseurs d'accès. L'un d'eux, ayant téléphoné à service après-vente, s'est vu répondre : "Il s'agit d'une panne générale de notre réseau qui touche toute la France. La connexion sera rétablie d'ici jeudi matin." Hum! le jour où Macron annonce le deuxième confinement aux français. S'agissait-il vraiment d'une panne ? ou d'une grève avec sabotage du discours de Manu ? Et si 20 millions de français ne savaient pas à cette heure que le confinement est revenu ? Bonjour aux policiers qui vont pouvoir taxer les victimes innocentes d'une amende de 135 € !

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29 octobre 2020

Covid-19 dans la vallée de Villé

Les données de "Santé publique de France"

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En ce jour où notre président Macron lance le deuxième confinement, il est intéressant de savoir ce que représente l'épidémie dans notre vallée (infos tirées de "Santé Publique de France" et fournies par les laboratoires). Ces données représentent donc le nombre de testés positifs et non le nombre de malades qui est forcément inférieur !

Nombre de cas par village : Albé : 0 - Bassemberg: 0 - Breitenau : 0 - Breitenbach: 2 - Dieffenbach-au-Val: 0 - Fouchy: 0 - Lalaye: 0 - Maisonsgoutte: 0 - Neubois: 0 - Neuve-Eglise: 0 - Saint-Martin: 0 - Saint-Maurice: 1 - Saint-Pierre-Bois: 2 - Steige: 0 - Thanvillé: 1 - Triembach-au-Val: 0 - Urbeis: 0 - Villé: 2, soit 8 personnes positives en ce jour dans la vallée !

A titre de comparaison, la Haute-Vallée de la Bruche compte dans le même temps 1 contrôle positif à Saâles, zéro dans les autres villages.

Dans les vallées vosgiennes atteintes par les crises économiques bien avant l'arrivée du coronavirus, on se demande aujourd'hui si Monsieur le Président Macron n'applique pas la double peine. Déjà au premier confinement, on s'était rendu compte de l'inadaption des mesures au monde rural. Mais visiblement, nos dirigeants n'en tiennent pas compte pour rectifier le tir à cette deuxième salve de mesures inutiles dans nos campagnes.

28 octobre 2020

La guerre des laboratoires

Didier Raoult « ligoté » : "mortel combat" entre hydroxychloroquine et remdesivir

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En refusant la demande de l’IHU de Marseille, dirigé par le Professeur Didier Raoult, d’utiliser, de façon exceptionnelle, l’hydroxychloroquine pour soigner ses patients de Covid-19, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) semble ainsi tracer un grand boulevard pour le remdesivir des laboratoires Gilead.

Le choc, en terres françaises, entre l’hydroxychloroquine et le remdesivir pourrait virer au drame, compte tenu de la tournure que prennent les choses. En ce sens que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a refusé la demande de l’IHU de Marseille, dirigé par le Professeur Didier Raoult, de procéder à l’utilisation exceptionnelle d’hydroxychloroquine pour soigner ses patients de Coronavirus.

L’institut marseillais a fait une demande auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament, notamment une RTU (recommandation temporaire d’utilisation) synonyme d’une autorisation exceptionnelle d’usage de l’ hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19. L’ANSM dit niet. Une décision qui n’a pas été dans le sens de plaire le Professeur.

Dans un communiqué sur son site internet, l’Agence nationale de sécurité du médicament a indiqué que « nous ne pouvons pas répondre favorablement à la demande de RTU de l’hydroxychloroquine dans la prise en charge de la maladie Covid-19 ». Ce qui, selon des informations, interdit au Professeur et à ses collaborateurs l’usage de l’hydroxychloroquine comme traitement, à compter du lundi 26 octobre.

Pour sa part, lors d’une sortie sur Twitter, Didier Raoult dénonce le fait que « Dominique Martin, directeur de l’ANSM, refuse toute RTU pour l’hydroxychloroquine mais autorise l’envoi de mails promotionnels par Gilead pour Remdesivir, et en organise la distribution gratuite », dénonçant ainsi une situation de « Deux poids deux mesures ».

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Le Président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier, a envoyé une correspondance au ministre française de la Santé, Olivier Véran, signifiant qu’« en refusant une recommandation de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19, l’ANSM va à l’encontre des principes fondamentaux de la médecine ».

L’homme politique ne s’arrête pas là, puisqu’il demande de « laisser le Professeur Raoult Didier et les médecins de l’IHU de Marseille soigner » les malades du Coronavirus. Un combat à mort visiblement enclenché entre pro-hydroxychloroquine et pro-Gilead au profit du remdesivir.

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27 octobre 2020

Le tsunami arrive…

Les conséquences économiques de la crise sanitaire commencent à devenir visibles. Dans les villes, un nombre croissant de magasins, restaurants, hôtels et d’autres commerces met la clé sous la porte.

tsunamiIl fallait s’y attendre, mais comme c’est souvent le cas, on refuse de croire aux événements jusqu’à ce qu’ils se matérialisent. Depuis des mois, nous savons que la crise sanitaire sera suivie par une crise économique et maintenant, au milieu de la « deuxième vague », cette crise économique frappe de plus en plus fort. Il suffit de se balader dans les centres de nos villes pour le constater – un nombre croissant de magasins doit jeter l’éponge. Les conséquences de ce « tsunami économique » nous occuperont pendant quelques années. Et dire que la crise sanitaire est loin d’être terminée…

« Bail à céder », « Tout doit disparaître », « Fermeture définitive » – ce genre de panneau apparaît de plus en plus souvent sur des vitrines. Si certains magasins dans les centres de nos villes trouvent rapidement des repreneurs, on ne peut plus fermer les yeux devant une triste réalité : ceux qui ne disposent pas de réserves financières suffisantes, risquent de disparaître. Le tissu économique de nos villes s’appauvrit et les seuls gagnants sont les grandes structures de distribution en ligne, comme par exemple Amazon. Il est étonnant de constater que de nombreux responsables politiques prônent actuellement l’installation de justement cette enseigne en Alsace – ils prônent donc la mise à mort des commerces et des emplois de proximité, pour favoriser la création de quelques centaines d’emplois plutôt précaires. Cette évolution contribuera largement à la paupérisation des villes, surtout des petites villes où les commerçants luttent actuellement pour leur survie.

Est-ce que nous optons réellement pour « l’amazonisation » de nos villes ? Après « l’ubérisation », « la déliveroosation » et « l’AirBnBsation » de nos villes, on opte maintenant pour la fin de la vie de proximité de nos villes ? Pour le seul bénéfice de groupes multinationaux à qui on permet, par des structures futées, de verser plutôt des dividendes aux actionnaires que de payer des impôts dans les pays ou ces groupes réalisent leurs bénéfices ? En fin de compte, cette mise à mort du tissu économique de proximité relève d’un choix politique. Il y en a qui préfèrent l’approfondissement d’un capitalisme style « Far Ouest », d’autres souhaitent favoriser une économie locale et régionale dans tous les secteurs où une telle approche est possible.

« Mais ils vont créer 500 emplois ! », s’écrient certains, en parlant d’une implantation d’Amazon en Alsace. D’accord, 500 emplois contre la mise à mort d’un tissu économique qui s’est développé depuis des décennies et qui offre des emplois ailleurs que dans des zones industrielles et commerciales loin des villes et villages. L’être humain ne semble pas trop compter dans le concert des grands groupes multinationaux et de leurs fidèles agents politiques qui semblent pressés d’en finir avec une économie à taille humaine.

Tout le monde est d’accord – actuellement, il faut tout mettre en œuvre pour éviter le pire. Mais est-ce que « tout mettre en œuvre » implique une politique économique qui crée quelques emplois à court terme, tout en détruisant un tissu économique ayant fait ses preuves ? Voulons-nous vraiment que les centres des villes soient désertés et laissés aux fast-foods et marques internationales ? Si nous souhaitons que demain, il y a encore une vie économique dans les villes et villages, il faudra éviter de transférer cette vie économique au seul internet en la confiant aux géants qui eux, ne connaissent ni moral, ni intérêt humain, mais seulement la « shareholder value » et des comptes bancaires aux Îles Caïman…

Sauvons ce tissu économique de proximité, sauvons les emplois et la vie dans les villes et villages, au lieu de transférer notre vie vers des hyper-structures qui se trouvent à l’extérieur de notre cadre de vie. Ceux qui souhaitent un changement vers une économie durable et plus humaine, ne peuvent pas se prononcer en faveur des Amazon & Cie. C’est un choix à faire, celui entre un capitalisme qui dévaste tout sur son passage et une autre approche économique qui elle, place l’homme au cœur de son action. (Selon Euro-journalist)

26 octobre 2020

Le chemin de la radicalisation

Les pensées de la terroriste Ulrike Meinhof qui faisait partie de la première génération de la RAF, expliquent encore aujour'hui le chemin qui mène à la radicalisation.

ulrike « C’est la pensée uniformisée, la recherche d’une opinion commune à ‘nous’ qui remet en question la probité politique et humaine de tous ceux qui pensent différemment, qui rend l’opposition suspecte, tout en évitant la discussion de fond. Je crois qu’il faut résister partout où de telles structures de la pensée et de l’action s’imposent. La perte de la démocratie -qu’elle soit parlementaire ou extra-parlementaire- se fonde toujours sur la defaillance de l’opposition… […] Actuellement, la mission de l’opposition ne consiste pas uniquement en la défense de ses positions et en sa propre protection, mais en la stimulation de la pensée politique des ‘indifférents’… », écrivait Ulrike Meinhof en août 1958. Et malgré le fait que ce texte a été ecrit par une terroriste, plus de 50 ans plus tard, il est toujours d’actualité.

En regardant le paysage politique, que ce soit en France, en Allemagne, en Grande Bretagne ou en Europe, l’analyse d’Ulrike Meinhof est toujours aussi juste. Le monde politique se limite à diaboliser ceux qui pensent autrement, cherche à « fédérer » dans un « centre » politique qui n’existe pas et cela conduit directement à l’indifférence des masses, qui se traduit, entre autres, dans un taux de participation aux élections diverses. La « qualité » du débat politique, la corruption, les scandales de toute sorte font le reste – les gens se déintéressent de la politique et la laissent entre les mains d’apparatchiks médiocres qui ne font que soutenir ce système décrit en 1958 par Ulrike Meinhof.

Il s’agit d’une spirale néfaste – car plus les citoyens décrochent de la « res publica », de la chose publique, plus ils abandonnent leur destin aux populistes, aux extrémistes, aux corrompus qui eux, ne se soucient guère des peuples, mais dans la plupart des cas, de leurs propres intérêts.

Mais que faire ? La voie empruntée par Ulrike Meinhof et ses amis, était une voie erronnée. Une erreur monumentale, qui virait au criminel dès que la RAF s’est mise à tuer. Pourtant, au fond, Ulrike Meinhof, dotée d’une intelligence exceptionnelle, comme tous ses professeurs l’ont confirmé, avait raison dans son analyse. Il faut, pour sauver la démocratie, mobiliser les « indifférents », les intégrer dans un discours et débat politique qui les motive, il faut dessiner des objectifs et des perspectives que les « indifférents » puissent partager. Ce n’est pas par la violence, mais par des perspectives positives que l’on puisse arriver à changer le discours politique.

Ce sont les partis et les mouvement politiques qui devront changer d’attitude. Pour sauver la démocratie qui, à un moment où les populistes prennent le dessus avec des paroles qui mènent droit à un nouveau fascisme, il faut que les partis s’ouvrent, changent de têtes, cessent de nous présenter toujours et toujours les mêmes représentants d’un monde politique anachronique.

A l’aube d’une année marquée par des élections en France et en Allemagne, il est désolant de regarder la liste des candidats, autant à droite comme à gauche, autant en France qu’en Allemagne. Il suffit de suivre les débats politiques qui sont d’une bassesse incroyable et qui, depuis 1958, n’ont pas gagné en qualité. La conséquence, si ce discours ne change pas, sera la même que dans le dernier quart du siècle dernier – c’est l’extrémisme, la violence et le terrorisme qui marqueront la société de demain. La seule réponse valable à cette évolution sera une nouvelle Europe, une nouvelle génération d’hommes et de femmes politiques, de nouveaux objectifs pour une Europe sociale, humaniste et tournée vers les peuples au lieu de se limiter à oeuvrer comme agent pour des marchés financiers corrompus.

L’exemple d’Ulrike Meinhof devait nous servir pour changer de cap. Autrement, nous risquons de revivre exactement les mêmes évolutions qu’à l’époque. (Selon Euro-journalist)

25 octobre 2020

Virus brouteur !

Google bloque chaque jour 18 millions d’e-mails d’arnaques liés au coronavirus

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Selon Google, les cybercriminels envoient chaque jour près de 18 millions de courriels (canulars, SCAM, hameçonnage) sur le Covid-19 aux utilisateurs de Gmail. Ces mails reprennent des thèses conspirationnistes, des fausses demandes d’aide ou d’offres d’emplois mais d’entreprises bien connues.

Google affirme que la pandémie du Coronavirus a conduit à une explosion d’attaques d’hameçonnage dans lesquelles les criminels tentent de tromper les utilisateurs en leur faisant révéler des données personnelles. La société a déclaré qu’elle bloquait plus de 100 millions d’e-mails d’hameçonnage (phishing) par jour. Au cours de la semaine dernière, près d’un cinquième était constitué de courriels frauduleux liés à au coronavirus. Ce virus est peut-être aujourd’hui le plus grand sujet de phishing jamais abordé, selon les entreprises technologiques.

Gmail de Google est utilisé par 1,5 milliard de personnes. Des individus reçoivent une grande variété de courriels dans lesquels les cybercriminels se font passer pour des autorités ou personnalités connues, des structures de premiers plans telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), afin de persuader les victimes de télécharger des logiciels ou de faire des dons pour des causes fallacieuses. Les cybercriminels tentent également de tirer profit des programmes de soutien gouvernementaux en imitant les logos et autres identités visuelles d’institutions publiques.

Google affirme que ses outils d’intelligence artificielle sont capables de bloquer plus de 99,9 % des courriels qui parviennent à ses utilisateurs. La croissance du phishing sur le coronavirus est enregistrée par plusieurs sociétés de cyber-sécurité. Les chercheurs ont également découvert des sites web et des applications pour smartphones malveillants basés sur des informations vraies sur le coronavirus. Une application Android malveillante prétend aider à suivre la propagation du virus, mais infecte au contraire le téléphone avec un logiciel de rançon et exige le paiement pour restaurer le système de l’appareil.

En cette période de crise sanitaire, la protection doit se faire à tous les niveaux et surtout sur internet en raison de l’utilisation de plus en plus important d’outil de formation et de travail à distance. (selon "Eburnie.today")

24 octobre 2020

Neuve-Eglise

Gardienne d'oies devant l'église (Charles Spindler)

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23 octobre 2020

L’armée algérienne a-t-elle brûlé vifs deux jeunes orpailleurs sahraouis?

L’armée algérienne est accusée d’avoir brûlé vifs deux jeunes sahraouis, dans les camps de Tindouf, où la consternation se serait installée, depuis lundi soir, date des faits.

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Selon Hespress, qui a donné l’information, cet acte qui frise la barbarie, perpétré par des éléments de l’armée algérienne, dans la soirée du lundi 19 octobre, « est en relation avec ce que l’Algérie compte faire des camps de Tindouf, à savoir déplacer les séquestrés ailleurs pour exploiter le sous-sol de cette région ».

« Le drame a eu lieu aux environs du camp de Dakhla, en son sud, où les populations sahraouies des camps sont sous contrôle direct de l’armée algérienne, auprès de laquelle les hommes du Polisario ne sont que de simples auxiliaires. Deux jeunes orpailleurs clandestins ont été surpris, hors de leur camp, par une patrouille de l’armée algérienne », écrit le journal.

« Pris de panique et poursuivis par les militaires, ils ont essuyé des coups de feu avant de s’enfuir vers les mines où ils œuvraient à la recherche de menus pépites d’or, pensant trouver une cachette pour s’y réfugier. Mal leur en pris, car les soldats les rattrapèrent, les aspergèrent d’essence et les brûlèrent vifs », poursuit Hespress, précisant que les familles des victimes réclament l’ouverture d’une enquête internationale.

Le journal indique que les deux victimes ont pour nom Emha Ould Hamdi Ould Souilem, qui est originaire de la tribu Regabat, et Ali Al Idrissi qui appartient à la tribu des Barabcha. Indigné, le Forum de soutien aux autonomistes de Tindouf a déclaré que « les deux victimes auraient pu être arrêtés et survivre si ce n’était l’insistance des membres de l’armée algérienne à absolument vouloir les tuer ». L’affaire fait grand bruit. (selon Afrik.com)

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