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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
28 février 2021

Turquie : polémique sur les fouilles à nu des détenues

Au Parlement turc et sur les réseaux sociaux, une polémique fait rage au sujet des fouilles intégrales dans les lieux de détention. Les autorités nient leur existence, mais les témoignages de victimes se multiplient.

turquieLa polémique sur les fouilles à nu en Turquie dure depuis environ deux mois. Mais c’est une députée du parti au pouvoir, Özlem Zengin, qui l’a relancée le 19 février avec ces mots qui ont choqué : « Quand on se plaint, c’est juste après les faits. Une femme honorable n’attendrait pas un an pour porter plainte.»

L’élue de l’AKP entendait démontrer la position des autorités sur les fouilles intégrales. Elles n’existeraient pas, donc les plaintes seraient mensongères.

Ces fouilles à nu ne sont pas interdites, mais elles sont en principe strictement encadrées. Des députés de l’opposition dénoncent pourtant ce qu’ils qualifient de « banalisation » de cette pratique dans les commissariats et les prisons. Sur les réseaux sociaux, des dizaines de victimes – principalement des femmes – partagent leur expérience. Parmi elles, l’avocate Betül Alpay, qui raconte son arrivée à la prison de Mugla le 2 novembre 2017 : « Deux gardiennes m’ont dit de me déshabiller. J’ai tout enlevé, sauf mes sous-vêtements. Mais elles m’ont ordonné d’enlever aussi ma culotte. C’est la pire phrase que j’ai entendue, j’en ai pleuré. Puis j’ai dû faire ce qu’elles ont dit : m’agenouiller et me redresser, trois fois. »

Malgré les dénégations officielles, la Cour constitutionnelle turque a donné raison en décembre à une femme qui affirmait avoir été fouillée à nu dans un commissariat d’Istanbul. Elle avait porté plainte, mais le parquet avait refusé d’ouvrir un procès. (selon "RFI")

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27 février 2021

Laissez les frontières ouvertes ! (Au moins, pour le virus…)

Les différentes stratégies du gouvernement français ne semblent pas fonctionner.

kehl Chaque semaine, lorsque les Castex, Macron ou Véran se présentent devant les médias, ils sont contents. Tout est encourageant, nous sommes les champions. Et puisque nous sommes tellement champions, on se fiche des chiffres catastrophiques et on se vante de mieux gérer la situation que « les autres ». Mais visiblement, on a du mal à lire et à comprendre les chiffres à Paris – les chiffres sont inquiétants et ce n’est pas le comportement auto-satisfait des gouvernants qui y changera quelque chose. Mais actuellement, tout le monde est fatigué de s’occuper de la santé publique : maintenant, on mise tout sur l’économie.

Deux informations du week-end retiennent l’attention. D’une part, la France et la Grande Bretagne allègent les mesures sanitaires à la frontière franco-britannique, histoire de fluidifier la circulation des camions qui s’entassent devant les postes de frontière britanniques, puisque les Britanniques, saouls de leur « libération du joug européen » avaient tout simplement « oublié » de se préparer au Brexit tant réclamé. Mais bon, ils n’avaient que 4,5 ans pour se préparer…

A partir de maintenant, la circulation entre la Grande Bretagne et la France, deux des pays européens présentant le plus fort taux d’incidence, sera facilitée. Une bonne nouvelle pour les chauffeurs de camions, pour les sociétés de transport et – pour le virus qui pourra ainsi continuer à circuler assez librement entre l’île britannique et le continent européen. Les routiers qui passeront moins de 48 heures en Grande Bretagne ne devront plus, à leur retour, présenter un test Covid-19. Une très bonne mesure pour assurer que le variant détecté en premier en Grande Bretagne, ne reste pas enfermé au Royaume Uni. Et puisqu’il est beaucoup plus virulent que d’autres variants, il fallait quand même en assurer une circulation plus juste aussi en France et ailleurs en Europe.

On préfère donc d’assurer la circulation du virus aux bouchons devant la frontière britannique. Dont acte. On y repensera lorsque nos gouvernants s’auto-féliciteront la prochaine fois pour leur gestion exemplaire, beaucoup plus performante qu’ailleurs.

Mais ailleurs, on suit également l’évolution en France, surtout dans le département Moselle où on atteint aujourd’hui un taux d’incidence de presque 300. Maintenant, on y craint que l’Institut Robert Koch puisse classer la Moselle au niveau 2 (« zone à risque à haute incidence ») ou au niveau 3 (« zone à risque à forte présence de variants »). Cela impliquerait des contrôles beaucoup plus sévères à la frontière et de nouvelles obligations pour les travailleurs et travailleuses frontaliers, notamment l’obligation de présenter un test actuel à chaque passage de la frontière. Mais là, une « conscience européenne » se réveille dans la Grande Région.

Mais il n’y a que peu de chances à ce que la France puisse trouver un accord avec l’Allemagne à l’instar de celui avec la Grande Bretagne. L’Allemagne où le taux d’incidence au niveau national se situe actuellement à 60 (!), n’aura pas trop envie de s’organiser pour permettre une circulation maximale du virus et de ses variants. Inquiet, le ministre des affaires étrangères luxembourgeois Jean Asselborn a lancé un appel émouvant – « Laissez la frontière ouverte ! ». Mais il ne faut pas se tromper – ce n’est pas l’Espace Schengen qui intéresse le Luxembourg, mais uniquement son économie.

« Nous devons tout faire pour que les travailleurs frontaliers puissent arriver à leur lieu de travail et ce, sans encombre », a martelé Asselborn, sans pour autant cacher son véritable intérêt. « 60% des salariés dans nos hôpitaux, EHPADs et autres structures de soins à la personne, sont des frontaliers. Si ces frontaliers ne pourront plus circuler librement, notre système de santé risque de collapser. » Tous les jours, 100 000 Français, 50 000 Allemands et 50 000 Belges vont travailler au Luxembourg. Pour sauver l’économie luxembourgeois, on accepte donc la circulation du virus.

En regardant les deux infos ensemble, on constate que désormais, la voie est libre entre la Grande Bretagne et le Luxembourg – puisque les routiers ayant séjourné moins de 48 en Grande Bretagne, ne seront même plus testés.

Nous sommes aujourd’hui à des années-lumière d’une stratégie européenne – mais ce « tricotage national » ne permettra pas de combattre ce virus. Au bout d’une année de vie avec ce virus, avec ses conséquences sociales, sanitaires et économiques, chaque état continue à ne regarder que son nombril. Avec de telles approches, une seule chose est certaine – ce virus avec ses variants restera encore très longtemps avec nous. Mais puisque nos responsables sont tellement contents de leur travail… (selon "Eurojournalis")

26 février 2021

Joe Biden appelle à une réforme immédiate des ventes d'armes à feu

Le président américain Joe Biden a appelé dimanche le Congrès à agir "maintenant" pour limiter la circulation des armes à feu aux Etats-Unis, trois ans après la tuerie du lycée de Parkland, en Floride.

biden"Cette administration n'attendra pas la prochaine fusillade de masse" pour entendre les appels à agir, a affirmé le président démocrate dans une déclaration marquant la date anniversaire de cette attaque qui avait fait 17 morts, le 14 février 2018.

"J'appelle aujourd'hui le Congrès à promulguer des réformes de bon sens concernant les armes", a dit Joe Biden, demandant d'imposer la vérification des antécédents des acheteurs "pour toutes les ventes d'armes", d'interdire les fusils d'assaut et les chargeurs à haute capacité.

"Nous allons promulguer ces lois et d'autres lois qui sauveront des vies", a immédiatement indiqué Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants, promettant d'"amener les avancées qu'exigent et méritent les habitants de Parkland et le peuple américain".

Les démocrates détiennent désormais également une très courte majorité au Sénat, mais ils auront besoin d'au moins dix républicains pour faire adopter ces lois, ce qui semble actuellement difficile.  

Pour Joe Biden, il faut "mettre fin à l'immunité des fabricants d'armes qui mettent des armes de guerre dans nos rues en toute connaissance de cause".

En 2018, le jour de la Saint-Valentin, un jeune homme de 19 ans, Nikolas Cruz, avait ouvert le feu dans cet établissement du sud-est de la Floride, le lycée Marjory Stoneman Douglas, tuant 14 lycéens et 3 encadrants avant d'être arrêté.

Exclu de l'école l'année précédente pour "raisons disciplinaires", il avait pu se procurer légalement un fusil d'assaut semi-automatique malgré des antécédents psychiatriques.

En dépit d'une mobilisation inédite des lycéens de Parkland pour un contrôle plus sévère des ventes d'armes, le président Donald Trump avait alors refusé d'envisager l'interdiction des fusils d'assaut.

Les administrations américaines successives ont été impuissantes à endiguer la multiplication des tueries de masse qui frappent régulièrement les écoles américaines, les centres commerciaux, les entreprises ou les lieux de culte. 

25 février 2021

Fourniture d'énergie : Strasbourg et Villé même combat

A Villé, depuis le changement de fournisseur d'électricité en date du 1er janvier 2020, la colère gronde : augmentation substancielle des factures, relevés fantaisistes des compteurs, impossibilité de changer de fournisseur, etc... Nous reviendrons d'ailleurs là-dessus !

Et le fait que nous ne soyons pas les seuls à ne pas profiter de la loi du 1er juillet 2007 ne console guère les villois. Et nous reviendrons aussi là-dessus. 

Sachons que l'agglomération de Strasbourg est dans le même cas : Electricité de Strasbourg et Gaz de Barr agissent comme des frères jumeaux, ce qui est loin d'être une excuse.

A lire l'article de "Rue89 Strasbourg", on se croirait à Villé.

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24 février 2021

Argentine: à la recherche des corps des disparus de la dictature militaire

De nouvelles opérations de recherches ont été lancées pour tenter de retrouver les restes de disparus. Cela se passe près de Buenos Aires, au Campo de Mayo, l’un des plus grands centres de détention clandestin ayant fonctionné durant la dictature militaire. Plusieurs survols de la zone ont été effectués. Ils doivent permettre à des spécialistes d’identifier si des enterrements clandestins ont eu lieu là, il y a une quarantaine d’années. Les proches de disparus espèrent obtenir des réponses, et la justice des informations qui pourraient servir dans le cadre des procès en cours.

argentine4C’est une zone de 5 000 hectares, l’équivalent d’un quart de la capitale argentine. Campo de Mayo, l’une des plus grandes garnisons militaires du pays, a servi de camp de détention clandestin durant la dictature entre 1976 et 1983. C’est cette zone immense qui a été survolée fin janvier par l’Equipo Argentino de Arqueología Forense (EAAF, Équipe d'archéologie médico-légale argentine), dans le but de rechercher les traces de possibles enterrements clandestins.

« La technologie qu’on utilise s’appelle Lidar. C’est un appareil qui combine un laser, un GPS, et un scanner, et ça nous permet de générer une carte 3D très précise. Ce n’est pas nouveau, on l’utilise dans l’activité minière, dans l’agriculture… Mais c’est la première fois dans le monde qu’on l’utilise pour des recherches médico-légales dans le cadre d’enquête sur des crimes », nous explique Luis Fondebrider, président de l’EAAF.

L’EAAF travaille sur l'identification des corps de disparus depuis la fin de la dictature. À Campo de Mayo, les recherches s’annoncent difficiles : les organisations de défense des droits de l’Homme estiment que plusieurs milliers de personnes y ont été détenues, mais très peu ont survécu.

Beaucoup de détenus furent victimes de « vols de la mort »

argentinevol« Pour l’instant, il s’agit d’une phase d’exploration. Donc, on ne veut pas générer trop d’attentes, car beaucoup de personnes savent que leurs proches ont disparu à Campo de Mayo. On doit rester très prudents. D’autant plus que beaucoup de ces détenus clandestins ont été victimes des ''vols de la mort'', jetés dans le Rio de la Plata ou dans l’océan », poursuit Luis Fondebrider.

Ces nouvelles recherches ont été autorisées par la justice, qui continue de se pencher sur les crimes de la dictature. Trois procès examinent actuellement ceux commis au sein de Campo de Mayo. « Le travail de l’EAAF pourrait apporter des preuves utiles dans un procès déjà en cours. Mais en général, ces recherches prennent beaucoup de temps, et le plus probable est que ce travail serve à l’enquête, durant la phase d’instruction », indique Sol Hourcade, avocate et membre du Centre d’études légales et sociales, une ONG de défense des droits de l’Homme.

Les proches de disparus placent beaucoup d’espoir dans le travail de l’EAAF et de la justice. Fin 1979, Marcela Esther Molfino et Guillermo Amarilla, tous deux militants de l’organisation de gauche Montoneros, étaient arrêtés et emmenés à Campo de Mayo. Marcela est à l’époque enceinte de leur quatrième enfant, Guillermo. Aujourd’hui âgé de 40 ans, cet Argentin, qui n’a jamais connu ses parents biologiques disparus, est né en détention. Il a été adopté illégalement et élevé par un militaire et son épouse. « J’ai vécu jusqu’à mes 29 ans avec mon identité '' illégale ''. Il est difficile de dire si j’ai été certain, à un moment, que cette femme était ma mère. J’avais des doutes, parce que justement je ne ressentais aucun lien maternel avec celle qui m’a élevé », confie-t-il.

« Plus on en saura sur le Campo de Mayo, plus notre pays progressera »

argentine3En 2007, Guillermo réalise un test ADN qui lui permet de rencontrer, deux ans plus tard, sa famille biologique. Alors que dans les procès des crimes de la dictature, les accusés se murent le plus souvent dans le silence, les familles de disparus espèrent que les recherches de l’EAAF permettront d’en savoir plus sur les conditions de détention et de disparition de leurs proches.

« Honnêtement, je sais comment fonctionnaient les '' vols de la mort '', et je n’ai pas beaucoup d’espoir en ce qui concerne les corps de mes parents. Mais pour d’autres familles oui, il y a davantage d’espoir. Et plus on en saura sur le Campo de Mayo grâce aux opérations de recherches de l’EAAF, plus notre pays progressera. Mon engagement dépasse ma situation personnelle. Quels que soient les corps qui apparaissent durant ces recherches, il faut qu’ils apparaissent », reprend Guillermo.

Les images relevées fin janvier vont être analysées par l'EAAF et par des experts géophysiciens. Un travail qui devrait prendre au moins trois mois. Avant que ne soit prise la décision, si l’EAAF le juge nécessaire, de réaliser des excavations sur le terrain. (selon RFI)

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23 février 2021

Des journalistes de la télévision publique ARD expulsés manu militari

En Allemagne, l'ARD c'est l'équivalent de TF1. L'AfD correspond au RN (ex-FN).Une équipe de journalistes de la télévision publique ARD a été expulsée manu militari d'une réunion du parti populiste AfD organisé samedi après-midi à Fribourg-en-Brisgau dans le cadre de la campagne électorale pour les élections au Landtag du 14 mars. Dans la journée déjà, les mêmes journalistes avaient eu maille à partir avec le candidat de l'AfD du secteur de Weil am Rhein, lequel avait refusé de commenter sa récente condamnation par la justice allemande pour avoir aspergé de gaz lacrymogène un cycliste. L'AfD a reproché à l'ARD de vouloir faire du "sensationnalisme ". Les autres médias présents à la réunion ont pu travailler normalement.

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22 février 2021

A défaut de pouvoir vous faire vacciner à Sélestat, allez à ... Schirmeck

Aux Tanzmatten de Sélestat, les candidats au vaccin anti-corona de la vallée sont refusés ! Quel b... Voilà ce que c'est d'être citoyen du canton de Mutzig et dépendant du sous-préfet de Sélestat ? Il existe pourtant un centre de vaccination qui accepte les villois, à la clinique Saint-Luc à Schirmeck. Voir l'article des DNA-Molsheim du 20/2 (ci-dessous).

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Lorsqu’il s’est agi de mettre en place un centre de vaccination à la clinique Saint-Luc de Schirmeck, le GHSV (Groupe hospitalier Saint-Vincent), qui gère l’établissement, a répondu présent. C’est le service d’addictologie qui a été temporairement déplacé, pour accueillir les lignes d’injection des vaccins. Et en cette mi-janvier, il a fallu aussi faire appel à des bénévoles, afin d’accueillir le public qui souhaitait recevoir les doses, et l’accompagner dans le parcours.

Très vite, une centaine de bénévoles recrutés

schirmeck1La communauté de communes de la vallée de la Bruche — même si, à la base, ce n’est pas vraiment dans ses compétences et ses missions — a servi d’organisatrice de planning de bénévolat et de recrutement.

Des candidats au vaccin qui viennent de loin

Autre atout de la clinique Saint-Luc, celui d’avoir « tout ce qu’il faut sur place, en cas d’urgence », insiste Pascal Douvier. Dans le couloir du centre de vaccination, tout est prévu en cas de coup dur ou de réaction allergique. Un chariot de transport pour une personne attend sagement.

Les retours des personnes vaccinées sont « très positifs. Certaines ont découvert la clinique Saint-Luc pour la première fois. Elles viennent de la région de Molsheim ou même de plus loin, de Strasbourg, et sont tout étonnées de voir un établissement comme le nôtre », reprend Martine Henning. Les deux présidents des Croix-Rouge et Blanche sourient, eux aussi : « Eh oui, ils voient que même derrière la Lune, on sait se débrouiller ! ».

1 000 vaccinés à mi-février

Pour cette fin de semaine, le centre de vaccination de la clinique Saint-Luc fonctionne jusqu’à ce samedi inclus. Mais le vrai casse-tête pour sa responsable et toute la chaîne solidaire qui le fait fonctionner est le même que dans beaucoup de secteurs : la distribution au compte-gouttes des doses vaccinales. « Nous avons été obligés de décaler 150 rendez-vous », se désole Martine Henning. Pour l’heure, plus de 1 000 personnes ont reçu leur première injection à Schirmeck.

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21 février 2021

Le Frankenbourg

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20 février 2021

Pas de vaccins pour la ruralité du Centre-Alsace

Comme le reprend la presse locale de mercredi dernier, il y aura un centre de vaccination unique à Sélestat (aux Tanzmatten), mais les habitants des environs, notamment de Marckolsheim, de Châtenois et de la vallée de Viillé ne pourront s'y inscrire !

Il est vrai que la vallée de Villé est protégée de la covide-19 par l'aborpsion journalière de petits verres de kirsch local.

Et dans le canton d'Erstein, l'ARS conseille aux habitants de sucer régulièrement quelques morceaux de sucre, ou de manger des betteraves cultivées localement.

Et dire que pendant ce temps des parisiens viennent se faire vaccciner à Sainte-Marie-aux-Mines !

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19 février 2021

RN 59 : Alsace-Nature veut encore protéger trois papillons, deux limaces et une orchidée...

... aux dépens de centaines de vies humaines ?

Le contournement de Châtenois, sur la RN 59, est en projet depuis 1976, soit au moins 46 ans ! Et toujours rien... sauf des batailles juridiques fumeuses. Et on ne sait toujours pas quelle route sera réalisée (une 2x2 voies comme prévu dans la D.U.P., ou  une simple 2x1 voies concédée à des pseudo-écolos qui ne s'en satisfont pas ?)

Et l'affaire est toujours en cours  au tribunal administratif, avant de retourner en appel, puis en cours de cassation ! On n'a pas fini d'en parler et de compter les morts ! (à lire ci-dessous le compte-rendu paru le 15 février dans Rue 89).

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