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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
11 octobre 2018

Délibérations du conseil départemental 67

Voilà ce qui concerne notre canton Mutzig - Villé

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C'est le 1er octobre qu'a siégé la commission permanente du Conseil Départemental, sous la présidence de Frédéric Bierry et en présence de notre représentante Frédérique Mozziconacci.

Nul doute que ce sont les plus importantes décisions qui concernent notre grand canton depuis le début de son mandat, qu'il est venu annoncer au marché de Villé ! Cela en valait la peine ! Un grand merci reconnaissant à notre représentant bruchois. Et après une matinée si occupée, bon appétit, monsieur le président.

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Et un peu aussi pour notre bourg-centre :

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10 octobre 2018

Visite présidentielle à Villé !

Bierry arrive ! On nettoie les rues !

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Quand je parle de visite présidentielle, ce n'est évidemment pas à Macron que je pense ! Mais au président du Conseil Départemental 67 Frédéric Bierry qui est aussi le représentant de notre canton Mutzig-Villé. Les ouvriers communaux se sont dévoués pour poser les panneaux d'interdiction de stationner pour que le balayage soit impeccable. Dès mardi soir à 17h56, le maire de Villé a d'ailleurs prévenu les élus pour les inviter à être présents dès le lendemain matin aux côtés de notre président bas-rhinois. Sûr qu'avec une nuit de délai, nos conseillers municipaux seront présents et nombreux aux côtés du maire. Heureusement que la visite a lieu ce mercredi, les élèves des écoles auront toute latitude pour se rendre dans les rues du vieux Villé en agitant de petits drapeaux tricolores (distribués gratuitement par la mairie?)

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On se demande d'ailleurs à quelle occasion Bierry vient en pélerinage à Villé. Accueil des premiers réfugiés à l'ancienne gendarmerie de Villé ? Nomination d'une nouvelle première adjointe ? Mise à disposition d'un fonds départemental exceptionnel pour finaliser l'élimination des friches agricoles, administratives ou industrielles ? Remise en état des voies communales et notamment des chemins ruraux et forestiers ? Ou viendra-t-il faire quelques courses au marché (achat d'un poulet grillé, de quelques sacs de pommes de terre et d'une nouvelle veste ?). Et aurons-nous droit à un beau discours qui sera retransmis en direct à la télévision ? 

Tous ceux qui espèrent des réponses claires et précises de la part de notre personnalité départementale, rendez-vous au marché de Villé ce mercredi !

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9 octobre 2018

Réfugiés en Australie

Fermeture du centre de détention de réfugiés de l'Île Christmas

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L'Australie a annoncé vendredi la fermeture d'un camp de rétention controversé pour demandeurs d'asile situé sur l'île Christmas, dans l'océan Indien, en claironnant le succès de sa politique très dure contre les clandestins tentant de gagner son territoire. 

Canberra est vivement critiqué pour cette politique très restrictive mise en oeuvre en 2013 par les conservateurs et qui consiste à repousser systématiquement les bateaux de réfugiés tentant de gagner illégalement ses côtes. 
Les migrants qui y parviennent sont relégués pour des durées indéterminées dans des camps de rétention sur l'île de Manus, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, sur la minuscule île du Pacifique de Nauru, ou sur l'île Christmas, le temps que leur demande d'asile soit instruite. 
"Le centre (de détention de l'île Christmas) est désormais fermé, la trentaine de détenus qui s'y trouvaient toujours ont été transférés ce week-end dans des installations d'Australie continentale", a déclaré à l'AFP David Coleman, porte-parole du ministère de l'Immigration. 
L'île Christmas se trouve à 2.300 kilomètres au nord-ouest de Perth, capitale de l'Etat d'Australie-occidentale. Ouvert en 2008, son camp de détention de migrants a été le théâtre d'émeutes, de suicides ou encore d'actes d'automutilation. 
Canberra justifie sa politique contre les réfugiés par la nécessité de lutter contre les gangs de passeurs et de dissuader les migrants tentant la périlleuse traversée vers l'Australie. 
Le gouvernement australien essuie depuis des années les foudres des organisations de défense des droits de l'homme en raison du maintien sur des durées extrêmement longues des réfugiés, et notamment d'enfants, dans ces installations où les conditions de vie sont très dures. 
Même si la demande d'asile est fondée, ces clandestins ne sont pas autorisés à s'installer sur le sol australien. Ils ont le choix entre aller daA une époque, les arrivées de clandestins originaires du Moyen-Orient ou d'Afghanistan étaient presque quotidiennes, quand leurs embarcations parties d'Indonésie ou du Sri Lanka ne faisaient pas naufrage en route. 
"Au plus fort, en juillet 2013, il y avait plus de 10.000 personnes dans les centres de détention pour migrants, dont 2.000 enfants", a déclaré M. Coleman, en dénonçant la responsabilité des précédents gouvernements travaillistes. 
"Ce gouvernement a arrêté les bateaux, mis un terme au trafic maléfique par les gangs de passeurs et sorti ces enfants de détention." 
Cette politique a effectivement été couronnée de succès, en ce que le nombre des arrivées s'est réduit à peau de chagrin, mais elle a divisé l'opinion australienne et terni la réputation internationale du pays.  
Nombre d'ONG ont ainsi étrillé une Nation très riche tournant le dos à des populations vulnérables. 
Le camp de l'île Christmas, qui compta aussi plus récemment des condamnés étrangers de droit commun dont les titres de séjour avaient été annulés, fut le théâtre d'une violente émeute en novembre 2015 après le décès d'un demandeur d'asile. 
Des renforts de la police australienne avaient été envoyés pour faire face à des prisonniers armés de machettes et de cocktails Molotov selon le témoignage d'un détenu. 
Il fut un temps où, en raison d'une recrudescence de suicides, le personnel du centre avait, selon certains médias, reçu la consigne d'être en permanence muni d'un couteau pour couper les cordes utilisées par les détenus tentant de se pendre. 
M. Coleman a indiqué que le camp de rétention serait entretenu afin de pouvoir, si besoin, être rapidement rouvert. 
L'Île Christmas fut aussi en 2010 le théâtre d'un dramatique naufrage d'une embarcation de réfugiés qui avait fait 48 morts. 
Il s'était agi du pire naufrage d'un bateau de migrants tentant de gagner l'Australie depuis 2001.
A l'époque dans l'opposition, Scott Morrison, aujourd'hui Premier ministre, s'était singularisé en déplorant le fait que le gouvernement travailliste paie à certaines familles de victimes le voyage jusqu'à Sydney pour les funérailles, des remarques qui lui avaient valu de vives critiques.  
Après l'alternance en 2013, c'est lui qui, en tant que ministre de l'Immigration, avait eu la charge de mettre en oeuvre la politique de tolérance zéro à l'égard des clandestins.ns un pays tiers ou rentrer chez eux. 

- Pire naufrage depuis 2001 -

A une époque, les arrivées de clandestins originaires du Moyen-Orient ou d'Afghanistan étaient presque quotidiennes, quand leurs embarcations parties d'Indonésie ou du Sri Lanka ne faisaient pas naufrage en route. 
"Au plus fort, en juillet 2013, il y avait plus de 10.000 personnes dans les centres de détention pour migrants, dont 2.000 enfants", a déclaré M. Coleman, en dénonçant la responsabilité des précédents gouvernements travaillistes. 
"Ce gouvernement a arrêté les bateaux, mis un terme au trafic maléfique par les gangs de passeurs et sorti ces enfants de détention." 
Cette politique a effectivement été couronnée de succès, en ce que le nombre des arrivées s'est réduit à peau de chagrin, mais elle a divisé l'opinion australienne et terni la réputation internationale du pays.  
Nombre d'ONG ont ainsi étrillé une Nation très riche tournant le dos à des populations vulnérables. 
Le camp de l'île Christmas, qui compta aussi plus récemment des condamnés étrangers de droit commun dont les titres de séjour avaient été annulés, fut le théâtre d'une violente émeute en novembre 2015 après le décès d'un demandeur d'asile. 
Des renforts de la police australienne avaient été envoyés pour faire face à des prisonniers armés de machettes et de cocktails Molotov selon le témoignage d'un détenu. 
Il fut un temps où, en raison d'une recrudescence de suicides, le personnel du centre avait, selon certains médias, reçu la consigne d'être en permanence muni d'un couteau pour couper les cordes utilisées par les détenus tentant de se pendre. 
M. Coleman a indiqué que le camp de rétention serait entretenu afin de pouvoir, si besoin, être rapidement rouvert. 
L'Île Christmas fut aussi en 2010 le théâtre d'un dramatique naufrage d'une embarcation de réfugiés qui avait fait 48 morts. 
Il s'était agi du pire naufrage d'un bateau de migrants tentant de gagner l'Australie depuis 2001.
A l'époque dans l'opposition, Scott Morrison, aujourd'hui Premier ministre, s'était singularisé en déplorant le fait que le gouvernement travailliste paie à certaines familles de victimes le voyage jusqu'à Sydney pour les funérailles, des remarques qui lui avaient valu de vives critiques.  
Après l'alternance en 2013, c'est lui qui, en tant que ministre de l'Immigration, avait eu la charge de mettre en oeuvre la politique de tolérance zéro à l'égard des clandestins.

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8 octobre 2018

Côte d'Ivoire : Des planteurs d'hévéas bloquent la route à Dabou

Ils réclament leur argent à un soi-disant «ami» du chef de l'État

ci1De plus en plus souvent, les routes africaines sont bloquées, même en Côte d'Ivoire, l'un des pays soi-disant les plus développés du continent. Cette fois, ce sont les planteurs d'hévéas qui réclament leur argent à Lohouess Vincent Essoh, patron de l'entreprise de transformation de caoutchouc ITCA située dans le village de Boubouri. La route a été bloquée pendant plusieurs heures par ces planteurs qui se définissent comme des apporteurs d'affaire à l'entreprise ITCA.

800 millions de francs CFA (environ 1.219.512 euros), c'est la somme que réclament les grévistes.Selon nos informations, depuis 4 mois, le patron de l'usine devait verser cette somme aux différents apporteurs d'affaire et planteurs d'hévéas. Ces manifestants disent être prêt à aller jusqu'au bout pour que leur argent soit donné par Vincent Essoh Louess par ailleurs responsable du parti politique RHDP unifié à Dabou.

"On a livré du caoutchouc à l'usine. Depuis 4 mois, les gens ne veulent pas nous donner notre argent. On a même saisi le préfet. Jusqu'à aujourd'hui, monsieur Vincent Essoh Louess ne veut pas nous payer notre argent. Il refuse de nous payer. Nous avons des informations de source sûre que notre argent a été remis à ce monsieur. Ce monsieur nous prend pour des animaux. Nous réclamons notre argent à ce monsieur", explique le porte-parole des grévistes, planteur et apporteur d'affaires.

La tentative de négociation entamée par les agents de la police s'est soldée par un échec. Les grévistes ne comptent pas quitter la rue tant que Vincent Essoh Louess ne vient pas donner leur argent. Ils entendent aller faire un sit-in au Plateau (centre administratif d'Abidjan) pour protester vigoureusement afin que leur argent soit payé.

"Ce monsieur nous tue à petit feu. Il se dit être l'ami personnel du président de la République. Et il se base sur ses relations avec Alassane Ouattara pour ne pas payer notre argent. Je ne peux pas comprendre qu'un ancien ministre peut être mauvais à ce point. On ne peut pas scolariser nos enfants parce que ce monsieur a bloqué notre argent", déclare une manifestante 

L'ancien ministre Vincent Essoh Louess, patron de l'entreprise ITCA, affirme qu'il n'a rien à se reprocher, il accuse son partenaire majoritaire. L'ancien ministre voit en cette manifestation des mains obscures de ses adversaires politiques. Et que les salariés soient pris en otages, voilà qui ne le chagrine guère.

- selon Jean Chrésus, journaliste ivoirien

7 octobre 2018

Maroc : le port du voile toujours à l'ordre du jour

Polémique après l’escapade amoureuse d’un ministre de Mohammed VI en France

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Au Maroc, la polémique a pris une autre tournure après l’escapade amoureuse d’un ministre du gouvernement, filmé, main dans la main, avec une fille, en France.

Les images ont fait le tour de la toile dans le royaume, au point de soulever une polémique sans précédent. Notamment sur la différence d’âge et surtout sur le fait que la femme « n’était pas voilée ». Poussé jusqu’à ses derniers retranchements, le ministre en question a été contraint de s’expliquer. Selon le site Bladi.net, dans une interview accordée au site arabophone Al3omk, le ministre issu du Parti Justice et Développement n’a pas cherché à démentir cette relation. Il a confirmé sa liaison avec cette jeune femme qui est sa « fiancée ».

Le ministre, regrettant que l’on s’attaque à sa vie privée, précise que cette vidéo date de juillet dernier, un mois après leur fiançailles. Ajoutant rendre toujours visite à sa famille lors d’évènements, notamment religieux, le ministre lance : « Nous sommes fiancés, avec tout ce que cela implique au niveau légal, social et religieux ». Et d’ajouter : « Ce n’est un secret pour personne et les membres de ma famille sont au courant ».

À la question de savoir comment se fait-il que lui, ministre, issu d’une formation islamiste, se promène avec sa fiancée qui ne porte pas le voile, la réponse du dignitaire est sans appel. Le ministre qui affirme vivre depuis quelques années une relation conflictuelle avec son épouse, et dont le divorce n’est pas encore définitivement prononcé, a en effet rétorqué que le voile n’est pas un critère de religiosité ou une preuve de bonne conduite.

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6 octobre 2018

Disparition franco-chinoise

Le président chinois d'Interpol porté disparu, enquête ouverte en France

chineCe vendredi 05/10/2018 - Une enquête pour disparition a été ouverte en France, à Lyon, concernant Meng Hongwei, le président chinois de l'organisation internationale de coopération policière Interpol, dont la famille n'a plus de nouvelles depuis son départ pour la Chine fin septembre. 

C'est son épouse qui a signalé sa disparition aux autorités françaises en faisant part de son inquiétude, selon une source proche du dossier, confirmant une information de la radio Europe 1. 
"Il n'a pas disparu en France", a précisé cette source.  
Selon le quotidien de Hong Kong en langue anglaise South China Morning Post, qui cite une source anonyme, cet homme de 64 ans fait l'objet d'une enquête dans son pays. Il a été "emmené" par les autorités "dès son atterrissage" la semaine dernière, pour des motifs encore flous, affirme le journal. 
L'enquête a été ouverte à Lyon, siège mondial de l'organisation rassemblant 192 pays et lieu de résidence de Meng Hongwei et sa famille. Elle a été confiée à la police judiciaire. 
"Cette affaire concerne les autorités compétentes en France et en Chine", s'est borné à commenter Interpol dans un communiqué, en soulignant que c'est l'Allemand Jürgen Stock, son secrétaire général, et non Meng Hongwei, qui est chargé de la conduite de l'organisation au quotidien. 
Meng Hongwei, 64 ans, avait été élu le 10 novembre 2016 à la tête d'Interpol lors de sa 85e assemblée générale annuelle à Bali, en remplacement de la Française Mireille Ballestrazzi, devançant largement un unique concurrent namibien. Son mandat court jusqu'en 2020. 
Avant sa nomination, il exerçait en Chine comme vice-ministre de la Sécurité publique et y dirigeait le bureau national d'Interpol. Il était également un poids lourd du Parti communiste chinois. Durant sa carrière de policier, il a travaillé dans des unités de lutte contre le trafic de drogue, l'anti-terrorisme et a dirigé les gardes-côtes chinois, selon sa biographie sur le site d'Interpol. 

Nomination critiquée par Amnesty International

Cette première nomination d'un Chinois à ce poste avait été critiquée par des organisations de défense des droits de l'Homme. La Chine a longtemps utilisé Interpol "pour arrêter des dissidents et des réfugiés à l'étranger", s'était inquiété notamment Amnesty International. 

L'organisation policière s'en était défendue en rappelant que le président d'Interpol n'intervient pas dans son quotidien opérationnel et en soulignant que l'article 3 de ses statuts lui interdit toute ingérence en matière politique. 
Reste que la disparition soudaine de hauts dignitaires chinois est devenue chose courante sous la présidence de Xi Jinping, qui mène depuis plusieurs années une campagne anti-corruption soupçonnée de servir de purge politique, en Chine comme à l'étranger. 
Basée à Lyon, Interpol permet de favoriser les échanges entre les polices de ses 192 pays membres, grâce à des bases de données répertoriant par exemple les passeports déclarés volés. 
L'organisation est connue pour sa diffusion des "notices rouges", présentées souvent - à tort - comme des mandats d'arrêt internationaux : elles informent en réalité les pays membres d'Interpol de la délivrance d'un mandat d'arrêt par l'autorité judiciaire de l'un d'eux, sans obligation d'arrestation ni d'extradition.

5 octobre 2018

Six extrémistes de droite arrêtés à Chemnitz pour soupçons de terrorisme

Ils auraient planifié des attaques armées contre des étrangers et des dissidents, après avoir déjà frappé à Chemnitz.

chemnitz

Le parquet fédéral a arrêté lundi six hommes en Saxe et en Bavière, soupçonnés de former une organisation terroriste d'extrême- droite. Comme l'a annoncé l'autorité de Karlsruhe, plusieurs appartements ainsi que d'autres locaux en Saxe ont été perquisitionnés, d'autres sont encore recherchés. Plus de 100 fonctionnaires de la police saxonne sont impliqués dans l'opération.

Une association terroriste appelée "Révolution Chemnitz"

Entre autres, les six Allemands arrêtés sont fortement suspectés d’avoir fondé, avec Christian K., 31 ans, une organisation terroriste d'extrême-droite appelée "Revolution Chemnitz". Christian K., considéré comme un dirigeant central, avait déjà été arrêté le 14 septembre par le parquet de Chemnitz en raison de violations particulièrement graves de la paix. Il est en détention depuis cette date.

L'accusé a essayé d'obtenir des armes semi-automatiques

Les informations recueillies indiquent que ces personnes sont déjà connues dans les milieux des hooligans, des skinheads et des néo-nazis. Le 11 septembre 2018 les accusés ont rejoint le groupement "Revolution Chemnitz". Ils auraient prévu des attaques et des attaques armées contre des étrangers et des dissidents politiques, selon le procureur fédéral.

Les accusés auraient déjà tenté d’obtenir des armes à feu semi-automatiques. Le 14 septembre, cinq d’entre eux auraient attaqué et blessé plusieurs étrangers armés de bouteilles de verre, de gants de quartz et d’un dispositif d’impulsion électrique avec d’autres extrémistes de droite violents sur l’étang du château de Chemnitz. Une victime a été blessée par le jet d'une bouteille de verre à l'arrière de sa tête. Selon l'enquête, l'attaque était censée être un "test" pour un événement prévu par les accusés pour le 3 octobre 2018, mais pas encore complètement compris.

Déjà des attaques de plusieurs étrangers

Le 14 septembre, cinq d’entre eux auraient attaqué et blessé plusieurs étrangers, armés de bouteilles de verre, de gants de quartz et d’un dispositif d’impulsion électrique près de l’étang du château de Chemnitz. Une victime a été blessée par le jet d'une bouteille de verre à l'arrière de sa tête. Selon l'enquête, l'attaque était censée être un "test" pour une attaque plus importante prévue par les accusés pour le 3 octobre 2018.

Les six personnes actuellement arrêtées ainsi que Christian K. ont été présentées lundi et mardi au juge d'instruction du Tribunal fédéral, qui a décidé de les placer en détention provisoire. 

4 octobre 2018

Une affaire Naomi à Paris ?

Décès d'une nonagénaire :

le Samu n'est pas intervenu, une enquête est ouverte.

SAMU

Elle avait 96 ans. Le Parisien révèle mercredi 3 octobre qu'une enquête a été ouverte pour éclaircir la cause du décès d'une nonagénaire mardi à Paris.

Selon le quotidien local, la vieille dame, victime d'un malaise vers 12h45, est parvenue à alerter sa gardienne d'immeuble avec son téléphone portable. Celle-ci a contacté le Samu qui n'a envoyé personne sur place, selon les informations du ParisienLa police est arrivée au domicile de la nonagénaire et a constaté son décès. Les agents ont dit au Samu "leur étonnement de leur non intervention". Ils en ont ensuite informé le parquet qui a ouvert une enquête. 

Que s'est-il vraiment passé dans l'appartement ?

Selon Le Parisien, l'opératrice du Samu aurait indiqué qu'une ambulance arrivait avant que le médecin régulateur ne reprenne la communication. Il aurait demandé à la gardienne de prendre le pouls de la victime. Celle-ci, sans formation de secouriste et en situation de stress, n'aurait pas réussi. Le médecin aurait conclu à la mort de la vieille dame, affirme Le Parisien.

L'AP-HP a expliqué sa décision sur Twitter. "Devant les signes cliniques présentés", le médecin régulateur a diagnostiqué "un arrêt cardio-respiratoire" et a pris la décision "de ne pas engager de manœuvre de réanimation sur la patiente de 96 ans". L'assistance publique s'est aussi défendue auprès du Parisien : "Le médecin régulateur prend l'appel de quelqu'un qui n'est pas secouriste. Et cherche la stratégie la plus adaptée ".

Si une personne n'arrive pas à mesurer votre pouls par ignorance, c'est que vous êtes mort. Incroyable mais vrai !

3 octobre 2018

Frais bancaires : "60 millions de consommateurs" révèle !

Des pratiques illégales !

frais

Les frais bancaires génèrent, selon 60 millions de consommateurs, 6,5 milliards d'euros chaque année. D'après l'association, certaines banques profitent largement de leurs clients en les surfacturant discrètement...

Dans une enquête réalisée avec l'Union nationale des associations familiales (Unaf), 60 millions de consommateurs révèle la pratique adoptée par certaines banques. "Elle consiste à prendre en référence le solde de fin de journée du compte bancaire pour traiter les opérations débitrices des dernières vingt-quatre heures".

Autrement dit, si le compte termine la journée dans le rouge, ce ne sont pas que les opérations effectuées à partir du moment où le compte est en négatif qui seront facturées, mais toutes celles de la journée !...

"Simple et... très rémunérateur", d'après l'association, les Caisses d'épargne ont notamment mis en place cette procédure en 2017... Des pratiques similaires ont également été constatées au Crédit mutuel.

"Prélever des frais d'incident sur une opération qui ne provoque pas d'incident, cela s'appelle une facturation sans objet. C'est donc une pratique illégitime et, selon notre interprétation, illégale", insiste 60 millions de consommateurs. L'association a lancé un appel à l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution afin qu'elle se penche sur ce cas...

Les frais bancaires bientôt limités ?

Au début du mois de septembre, le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire était intervenu sur BFM TV à propos des frais bancaires... Il souhaite notamment que les frais d'incidents bancaires soient moins impactants, notamment vis-à-vis des plus pauvres : "Certains qui ont peu de revenus, pas de salaire, peuvent payer jusqu'à 400, 500, 600 euros de frais bancaires. C'est inacceptable". Il souhaite donc plafonner à 200 euros par an les frais des plus fragiles...

Selon une étude Panorabanques.com parue mi-juillet, six Français sur dix se retrouvent dans le rouge au moins une fois par an. Dans le détail, 24% sont à découvert une fois par mois, 20% une fois par trimestre et 16% une fois par an... (selon Actu-Orange)

2 octobre 2018

Des militaires qui se croient en pays conquis

Sénégal : Un militaire français arrêté à Dakar

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Un militaire français en service à Dakar a été arrêté par des gendarmes sénégalais accompagnés de leurs collègues français. Il est accusé d’avoir agressé un jeune sénégalais dans la nuit du 16 septembre dans une boite de nuit dakaroise. Sa victime, le jeune Sénégalais, est toujours dans le coma. 

Dans la nuit du 16 Septembre 2018, cinq militaires français en civil ont eu une empoignade avec des jeunes sénégalais dans un restaurant au quartier les Almadies de Dakar. L’un de ces derniers prit plusieurs coups sur la tête avec une arme qui a été décrite comme un « poing américain ». Oumar Watt , le jeune homme en question, âgé de 31 ans est actuellement dans le coma . Il est atteint « de multiples contusions cérébrales, bi-frontales, temporales gauches et diencéphaliques », selon ses proches. 

Oumar et quatre de ses amis dont deux jeunes filles profitaient tranquillement de leur fin de soirée dans le Club restaurant. C’est dans ces conditions qu’ils ont ont été interrompus par un groupe de cinq militaires français en civil, qui ont commencé à taquiner les jeunes filles. L’un des sénégalais protesta alors en leur demandant d’arrêter de tourmenter sa « sœur ».

Les militaires étant en état d’ébriété, une bagarre éclate rapidement entre les deux groupes. Oumar se met entre les principaux concernés afin de les séparer, mais il reçut un coup sur la nuque de la part d’un des militaires. Les cinq français avaient été placés en garde-à-vue mais ils seront libérés dans la journée.

Cependant, pas de quoi rehausser l'estime des troupes françaises et de la France auprès de la population locale, tout comme pas de quoi intéresser la presse française, alors que l'affaire a fait la "une" de la presse francophone de l'Afrique de l'Ouest.

senegal

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