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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
13 janvier 2017

RN 59 : Rappel

La presse publie

dna

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12 janvier 2017

Tribune de soutien à Arnaud Montebourg

Dans le Bas-Rhin aussi, “libérons les Français.e.s !” 

Montebourg

 Après un réel succès des primaires de droite fin 2016, il est indispensable que la gauche, initiatrice de la démarche, puisse en faire une arme de construction massive. Le peuple de gauche, désabusé par bien des aspects du quinquennat, doit se saisir de cette opportunité. Face au candidat de la droite, ultra-libéral économiquement et ultra-conservateur sociétalement, il nous faut choisir un.e candidat.e au cœur des gauches, qui saura rassembler derrière un projet fort, fidèle à nos valeurs. Ce candidat est Arnaud Montebourg.


Face à l’échec du changement venu d’en haut, nous voulons engager le changement venu d’en bas. C’est en mai dernier, depuis plus de 8 mois déjà, qu’Arnaud Montebourg a lancé l’appel du Mont Beuvray, acte fondateur du Projet France. Ce projet, véritable alternative au conformisme et au laxisme économique, a été le fruit de réflexions de plus de 10 000 citoyen.ne.s, femmes et hommes de gauche. Outre une plateforme collaborative mise en ligne sur laquelle chacun.e a pu contribuer, de nombreuses rencontres ont eu lieu dans tout le pays, y compris à Strasbourg et Molsheim.
   
Nous, élu.e.s et militant.e.s Bas-Rhinois.e.s, soutenons aujourd’hui ce projet, car il reconnaît la capacité des citoyen.ne.s à inventer l’avenir par elles et eux-mêmes et redonne de l’espoir au peuple de gauche.

 Ce projet, c’est un programme de redécollage de l’économie française, et une mutation du  modèle économique :
de soutien aux PME, par divers moyens : 
-investir 10 à 20% de notre épargne (égale à 2 fois la dette du pays), réserver 80 % des marchés publics aux PME françaises, (contre 20% seulement actuellement), création d’une banque d’encouragement au risque.
-soutien aux savoir-faire et aux salarié.e.s français.e.s, en augmentant systématiquement les salaires du même pourcentage chaque fois que les dirigeant.e.s le font pour elles ou eux mêmes  
-remise à plat de la formation et de Pôle Emploi
-prise en compte des enjeux environnementaux qui sont l’un des défis majeurs de notre siècle : un plan d’investissement de rénovation thermique de 100 milliards d’Euros, mise en place d’une taxe carbone aux frontières de l’Europe

Ce projet, c’est le refus de l’austérité, qui nous refuse d’investir et d’imaginer une société innovante et solidaire, qui casse notre système de solidarité, c’est le refus du fatalisme, qui nous laisse penser que la politique n’a plus de prise sur le réel. Ce projet est là, pour soutenir la santé, en permettant à l’Hôpital de disposer de 5.000 postes supplémentaires, pour ne plus abandonner l'éducation de nos enfants, en dédoublant les classes du CP au CE2 et en revalorisant les salaires des enseignant.e.s

Ce projet, c’est une République nouvelle, qui doit remettre au cœur de son fonctionnement nos concitoyen.ne.s qui désabusé.e.s du système actuel se détournent trop souvent des urnes: elle organise un nouvel équilibre des pouvoirs avec une révolution démocratique : tirage au sort sur les listes électorales de 100 sénateurs et sénatrices, fin du 49.3, référendum d’initiative populaire, droit de vote des résident.e.s étranger.ère.s… 


Nous avons aujourd’hui besoin de tous les soutiens pour réussir cette primaire. Donnons-lui de la force, du soutien pour rassembler les gauches, et permettre les alliances futures de l’union des gauches. Les 22 et 29 janvier prochains, faisons de ces primaires un succès, menant vers le chemin de la victoire de la Gauche en mai 2017.
Premiers signataires
Maxime Munschy (Mandataire Départemental d’Arnaud Montebourg, Conseiller Municipal de Molsheim) - Thomas Risser (Mandataire Départemental de la motion B, membre du Bureau Fédéral, Secrétaire de section) Lilia Salmi (Mandataire Départemental de la motion D, membre du Conseil National, membre de l’équipe nationale de campagne) - Baptiste Heintz Macias (Conseiller Municipal d’Illkirch Graffenstaden) - Bénédicte Vogel (Conseillère Municipale de Sélestat) - Alice Renault (Membre de l’équipe nationale de campagne) - Gianfranco Alberelli - Chloé Bourguignon - Théo Hudelist - François le Normand - Marie Colette Pelletan Leduc - Volkan Tutuman
11 janvier 2017

Les amalgames de la honte

Il y en a marre. En amont des élections en 2017, le niveau du débat politique touche le fond. Sur les réseaux sociaux, on voit des images de SDFs dormants dans le froid, avec le texte suivant : « un migrant va avoir droit à un logement meublé, un clochard français et son chien ont droit à une soupe chaude sur un trottoir mes ou va la France !!! ». Les fautes d’orthographe sont d’origine, et il faut croire que le ou les auteur(s) étaient tellement surexcités en rédigeant cette bêtise que des fautes se sont glissées dans ce texte.

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Le message de ce genre de communication est clair : « Si nous ne devions pas accueillir tous ces réfugiés, aucun SDF français ne serait SDF et pourrait habiter dans un logement meublé et chauffé ». Ah bon ? Parce que les municipalités se seraient occupées des SDF avant l’arrivée des réfugiés ? La vérité est bien différente. Dans les villes dirigées par le Front National, comme Hénin-Beaumont, Mantes-la-Ville ou Hayange, des organismes comme le Secours Populaire font état d’énormes difficultés de remplir leur mission – au Mans, on a carrément enlevé les bancs publics pour que les SDF ne s’y sentent pas trop à l’aise. Pour leur offrir à eux et leurs chiens « une soupe chaude sur le trottoir » ?

Ce genre de communication est doublement, triplement honteux. L’extrême-droite xénophobe abuse du triste sort des SDF pour stimuler la haine contre les réfugiés, tout en prenant des mesures contre les SDF et le tout, dans un élan néo-nationaliste des plus abjects. Suggérer aux citoyens et citoyennes que les SDF français iraient mieux si on ne s’occupait pas des réfugiés, voilà un populisme mensonger des plus honteux.

Nous ne sommes qu’en début de l’année électorale 2017 et la qualité des débats se trouve déjà au plus bas niveau. Le « discours » politique n’est plus un échange d’arguments, l’opposition de convictions, la recherche de bonnes réponses, mais la politique se transforme en jugement de valeur et de personnes, en slogans d’une platitude ahurissante, en une sorte de jeu « qui crie le plus fort, a raison ». Pas étonnant que les électeurs et électrices se détournent massivement de la « chose politique » où échanger des arguments de fond, devient l’exception. Cette évolution, stimulée par le monde politique à court de vraies idées, est extrêmement dangereuse. Plusieurs exemples historiques montrent que la « vulgarisation » du discours politique représente l’antichambre d’un extrémisme qui souvent, a viré à la catastrophe.

10 janvier 2017

RN 59 : les pieds dans le plat !

Il suffit qu'une association bouge !

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Tiens ! Bierry se rappelle qu'il est conseiller départemental du canton Mutzig - Villé. Et le voilà qui vient justifier ce non-sens politique qui l'a amené (avec son collègue haut-rhinois Straumann) à ne pas signer le contrat de plan 2016 - 2020  qui comprend la RN59 ! Comment va-t-il maintenant s'y prendre pour expliquer à ses collègues qu'il faut voter le budget de la RN59 ? Bierry aurait-il des talents de prestidigitateur ?

Toujours est-il que le député Herth (du même parti que Bierry) ne semble pas sur la même ligne et exige une mise au point. Quelle belle salade !

Plus que jamais, il est nécessaire que les usagers et les riverains bougent et permettent de relancer l'association RN59Sécurité en participant à l'AG du 14/01/2017 à 15 h à Rombach-le-Franc (bar de la couaraye).

frantz1article de L'Alsace du 10/01/2017

7 janvier 2017

RN 59 Sécurité : assemblée générale

Un nouveau comité se met en place

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L'association RN 59 Sécurité, en sommeil de puis 2010, va reprendre son activité à l'initiative de nouveaux membres. L'assemblée générale aura lieu samedi, 14 janvier à 15 h 00  au bar associatif "Le Couarail" à Rombach-le-Franc (au 67, rue du général de Gaulle). Tous les riverains et usagers de cette route dangereuse du Val d'Argent, du Val de Villé, du Centre-Alsace sont invités.

Ordre du jour

1) Mise en place du nouveau comité. Selon les statuts, le comité peut comprendre jusqu'à 21 membres. 

2) Election du Bureau (président, vice-présidents, secrétaire, trésorier, assesseurs).

3) Les dernières informations concernant l'avancée du dossier RN 59 et les transports collectifs dans nos vallées.

4) Les propositions de l'association.

5) Actions à envisager : distribution de tracts, rencontres avec les élus, manifestations, réunions publiques.

6) Divers

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5 janvier 2017

Les élus ne consultent pas ce blog !

Décidément, c'est une vérité de La Palisse ! 

Un élu connaît tout, sait tout, et n'a donc pas à s'attarder sur un blog.

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J'ai encore pu le vérifier à la lecture du post précédent. Il n'a pas fallu 24 heures, à partir de sa parution, pour que l'ensemble des invitations pour le repas des aînés soit distribué. Certes, ils ont été déposés délicatement la nuit, sans lumière, à la lueur des bougies pour trouver les boîtes aux lettres ! 

Un grand merci à monsieur le maire pour avoir remis un peu d'ordre dans son conseil ! Dommage, que les grandes oreilles du blog n'aient pas réussi à apprendre les noms des conseillers (ou conseillères) que le courage politique a amené à ne pas inviter certains anciens qu'ils n'apprécient pas. Le blog aurait pu assurer leur publicité aux prochaines élections municipales.

J'espère simplement que le maire n'a pas embauché une agence de distribution, car, au tarif de nuit, nos impôts risqueraient encore d'augmenter. Et il risque encore de pleurer que la dotation de l'Etat est insuffisante.

Quant aux joyeux anniversaires fêtés pour des morts, nul doute que la liste du mois de janvier sera rectifiée très prochainement, en tous cas avant les prochaines élections.

3 janvier 2017

Etat-civil de Villé : les morts pourront-ils voter ?

Session de rattrapage ?

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De nombreuses personnes âgés de Villé ont déjà reçu, comme tous les ans, leur invitation pour le repas traditionnel des aînés, fixé cette année au samedi, 21 janvier prochain. Prière de remettre le bon de participation à la mairie avant le 13 janvier, délai de rigueur.

Oui, mais voilà ! Encore une fois, toutes les personnes concernées n'ont pas reçu leur invitation. Et il paraît que cette année ce n'est pas un oubli ! En effet, en cette année électorale, le maire aurait semble-t-il voulu éviter des disputes politiques préjudiciables à la bonne entente. Aussi, le 21 janvier sera réservé aux aînés de la majorité municipale. Quant aux traditionnels opposants, leur repas (une simple pizza ?) serait fixé au mercredi, 29 février. A Villé, en effet, à titre exceptionnel, l'année 2017 serait considérée comme bissextile. Avec une primaire des aînés ! voilà qui est original.

Anniversaires des morts

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La mairie vient de faire publier dans les quotidiens locaux les anniversaires des personnes âgées pour le mois de janvier. Une délégation municipale se déplace en général au domicile de celles-ci pour leur offrir un bouquet garni. Cette année, nos élus municipaux vont faire mieux ! Selon la liste publiée, même certains morts recevront peut-être un bouquet garni puisque certains figurent encore sur la liste des vivants. Une table de convivialité sera-t-elle installée au cimetière en lieu et place du funerarium qui se fait attendre. Et peut-être ces morts seront-ils gardés vivants jusqu'aux présidentielles pour qu'ils puissent voter, comme ce fut le cas en 2012.

2 janvier 2017

Thionville : un ouvrier polonais dénonce des paies de misère

Retards de salaires, paies versées au tiers : un ouvrier polonais, ex-employé d’une entreprise du bassin thionvillois, saisit les prud’hommes. Il tient à faire valoir ses droits en tant que simple travailleur sous contrat français.

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L’ex-salarié est de nationalité polonaise. Mais le contrat à durée indéterminée, signé avec une entreprise du bassin thionvillois, était bel et bien français. « Cela n’a pas empêché mon client d’être payé comme un Polonais », tempête l’avocat du tuyauteur-soudeur qui dénonce aujourd’hui les méthodes de son ancien patron.

Embauché en 2013, l’ouvrier va devoir composer avec des retards de salaires et des versements bien inférieurs à ceux qu’indiquent ses fiches de paie officielles. « En novembre 2013, il aurait dû toucher 1 477 euros nets comme c’est écrit sur son bulletin de salaire. Or il n’a perçu que 477 euros. En mai 2014, il n’est payé que 678 euros contre 1 388 euros », cite en exemple son avocat thionvillois, Me Stéphane Ripoll, extraits de compte bancaire à l’appui.

Au printemps 2014, le salarié compte près de 4 000 euros d’arriérés. Alors il décidera de ne plus venir bosser. « En novembre 2014, son employeur le met en demeure de reprendre le travail et pointe une absence injustifiée. Mais le fait de ne pas obtenir la totalité de sa paie est une raison tout à fait justifiée », rappelle Me Ripoll.

Selon l’avocat et les éléments dont il dispose, le patron aurait ensuite tout essayé pour se détacher de son ouvrier, et étouffer le litige qui les oppose. « L’employeur tente de le considérer comme démissionnaire. Il lui adresse une demande de rupture conventionnelle mais sans respecter les règles que cela impose. Il veut même lui faire signer une promesse de non-poursuite pour se protéger », égraine Me Ripoll.

4 000 euros d’impayés

Le tuyauteur-soudeur, âgé d’une trentaine d’années, semble, lui, bien décidé à se faire entendre. Soutenu par son avocat, il saisit le conseil des prud’hommes de Thionville. Et il choisit d’initier une procédure qui consiste « à prendre acte de la rupture ». « De cette manière, le salarié considère les manquements de l’entreprise, il rejette le tort exclusif sur l’employeur », décrypte Me Stéphane Ripoll. Cette option induit le fait que le salarié a déjà quitté son poste et qu’il est en mesure de justifier les raisons légitimes qui l’y ont poussé. « Ensuite, c’est aux juges des prud’hommes de trancher. S’il considère que les motifs exposés sont fondés, l’acte de rupture produit le même effet qu’un licenciement abusif ou sans cause réelle et sérieuse », souligne l’avocat thionvillois. Pour lui, les choses sont claires : l’obligation de payer les salaires n’a pas été respectée par le patron. L’ex-ouvrier réclame les 4 000 euros de salaires impayés ainsi que des dommages et intérêts.

Toutefois, même si le conseil des prud’hommes venait à statuer en sa faveur ces prochains mois, encore faudrait-il que l’employeur soit en mesure de l’indemniser comme espéré. Car son entreprise est en liquidation judiciaire. Voilà qui compromet les réclamations financières du plaignant. Même si dans de tels cas, l’association qui gère le régime de garantie des salaires est sollicitée. ("Le Quotidien Luxembourgeois")

1 janvier 2017

Meilleurs voeux !

Bonne année 2017, bonne santé et beaucoup d'humour pour ne rien gâcher.ob_32520f_bonne_annee

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