Harkis, les oubliés de la guerre d'Algérie

En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des Arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village.

Comments

[denis3008]

Eh oui,c'est pas glorieux pour la France!



Il ne faut pas effacer les vestiges de ce camp,aussi douloureux soit-il dans la mémoire franco-algérienne.

Car c'est l'histoire,et ça ne s'efface pas.

Ce lieu doit rester un lieu de mémoire et d'explication aux générations d'aujourd'hui.



On a bien gardé Oradour-sur-Glane en France et Auschwitz en Pologne...