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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
31 décembre 2012

Prêt par facebook : où est l'arnaque ?

599592_116975048471413_148490776_nDécidément, les arnaques fleurissent aussi sur facebook, et elles ne viennent pas toujours de l'étranger. Comme celle que je viens de recevoir (certainement par erreur) d'un internaute qui prétend habiter Tours ! Il connaît son sujet, certes, et s'adresse aux personnes fragiles financièrement (de préférence de jeunes étudiantes des îles du Pacifique ou des Antilles) ce qui lui permet de ne pas être importuné par ses clients à son domicile ou au téléphone qu'il ne daigne d'ailleurs pas indiquer).

Voici ce qu'écrit à ses personnes choisies cet homme certainement plus riche que Crésus, plus fort en gestion de ses finances qu'en orthographe :

Je suis un particulier et je dispose d'un capital important pour aider un bon nombre de personnes .
J'offre de prêt de 20 000€ à 2000 000€ à toute personne de bonne foie capable de le rembourser avec intérêt au taux de 2%:
-- Prêt personnel
-- Prêt immobilier
-- Prêt étudiant
-- Prêt automobile
-- Rachat de crédit
-- Financement et investissement
Pour cela si vous aviez un projet en cour ,N’hésitez pas à me contactez, faites-moi connaître le montant d`argent que vous voulez.
Je suis prêt à vous satisfaire à dans les 72 heures suivant la réception de votre demande formulé.
Veuillez me contacter par mail : xxxxxxxxxxxxx@hotmail.fr 
si vous êtes intéressé
Cordialement

Et celles qui répondent reçoivent en retour un questionnaire ! Alors attention, comme par hasard, dans ce fatras d'infos demandées, il vous demande votre RIB et votre compte bancaire ! Dans quel but ? Je vous laisse deviner !

Réponse :

Bonjour

Je prends part à votre courrier et je tiens à vous dire que je suis près à accorder le prêt .

Je vous offre ce prêt avec un plan de remboursement souple. Donc, si vous êtes près à obtenir le prêt chez moi je suis près à vous aider.
Soyez conscient(e) que vous devrez payer la somme empruntée plus l'intérêt de 2%. Vous commencerez à payer les mensualités 8 mois après le virement de la somme que vous voulez prêter sur votre compte bancaire .
Enfin voudriez vous bien me fournir certaines informations pour recevoir les fonds dans votre compte:

Si vous êtes vraiment dans le besoin, veuillez m'écrire pour avoir plus d'informations:

Données personnelles:

Nom :***************************

Prénoms:*************************

Sexe:***************************

Profession:************************

Situation matrimoniale :****************

Langues parlées :********************

Date de naissance (jj-mm-aaaa):*********

Avez vous une maison?*****************

Coordonnées complète:

Pays:****************************

Ville:****************************

Rue:***** ***********************

Numéro de rues:*******************

Code postal:**********************

Localité:*************************

Données de contact:

Téléphone en journée:*********************

Téléphone en soirée:**********************

Téléphone mobile:*************************

Adresse e-mail:***************************

Données financières:

Revenus mensuels nets:********************

Montant du prêt demandé :*******************

Durée de remboursement :******************

Rib*********************************

Iban*********** ************************

Numéros de compte**************************

Possibilité de remboursement :********************

Partenaire (si approprié):*********************

Carte d'identité, passeport ou autre pièce validé (obligatoire)

Merci de me répondre le plus vite que possible afin d'obtenu votre prêt dans les plus brefs délais

PS: JE TRAVAILLE AVEC DES PERSONNES SÉRIEUX ET CONSCIENT.

En attente de vos informations pour vous donner le prêt.

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30 décembre 2012

Quel salaire pour (bien) vivre en Chine ?

quel_salaire_pour_bien_vivre_en_chine_Alors que le coût de la vie augmente, combien faut-il désormais gagner pour vivre normalement en milieu urbain ? C’est la question que posait The Economic Weekly récemment.

Où vit-on le mieux en Chine ? Faut-il faire sa vie à Kunming (Yunnan) ou à Zhengzhou (Henan) – au risque de devoir rogner sur son niveau de vie – plutôt qu’à Pékin ou à Shanghai, villes où les carrières sont les plus prometteuses mais où la bataille de l’emploi est plus féroce ? Un choix qui hante nombre de jeunes diplômés chinois, de plus en plus confrontés au chômage (environ 12 à 13 % des 6 millions d’étudiants qui rentrent chaque année dans le marché du travail).

D’après les résultats d’un appel à témoignages, diffusé sur le web chinois, il faut au moins un salaire mensuel équivalent à 10000 yuans pour vivre normalement dans les mégapoles de la côte-est, et environ 8000 yuans dans les villes dites de second rang (Suzhou, Wenzhou, etc.). Des niveaux de rémunération qui prennent en compte, outre les frais de vie au quotidien, d’éventuels remboursements d’emprunts pour un foyer (achat d’un appartement, d’une voiture, etc.), une épargne-retraite et une bonne assurance santé.

Vaut-il mieux gagner 15000 RMB ou 5000 RMB ?

Pour autant, ce seul critère lié au niveau de salaire suffit-il à vivre bien en milieu urbain ? Une enquête menée par The Economic Weekly tend en effet à montrer, dixit,« qu’un jeune diplômé qui touche 15000 yuans par mois vit avec plus de contrariétés {liées au stress et au rythme de vie} qu’un autre qui en gagne 5000 ». Et de mettre en avant plusieurs témoignages de jeunes urbains qui viennent appuyer cette thèse.

Un certain Li Shang (27 ans) d’abord, consultant comptable à Pékin, qui justement perçoit un salaire 15000 yuans mais dit « sacrifier sa santé » à gagner cet argent. Il avoue avoir passé les trois-quarts de ses vacances à seulement récupérer du stress imposé au bureau. Et ne profite pas de son argent disponible. Il préfère – comme de nombreux Chinois inquiets de leur avenir ou non satisfaits de leur vie professionnelle – mettre (beaucoup) de l’argent de côté (près de 80 % de ce qu’il gagne !).

4672 Yuans en moyenne à Pékin

Yang Yang, citée par l’hebdomadaire, gagne 3000 yuans à Kunming. Elle vit encore chez ses parents – ce qui par conséquent lui économise un loyer – et à l’inverse de Li Zhang, avoue ne pas stresser pour son avenir et vivre confortablement. Elle pense sous peu acheter un logement pour lequel elle prévoit des mensualités de remboursement égales aux deux-tiers de ses revenus.

M. Cao quant à lui, installé Zhengzhou, avoue à The Economic Weekly, avoir du mal à joindre les deux bouts. Payé à la commission, il ne perçoit depuis août que 1750 yuans par mois, faute de commandes. Son épouse « gagne plus », dit-il « C’est pourquoi je me suis marié, seul c’est trop difficile {en Chine} ». Aller travailler à Pékin ou à Shanghai ? Cet homme y a déjà songé mais le coût de la vie sur place – notamment les frais d’éducation pour son enfant - est trop élevé. Impossible donc de bouger.

D’après le bureau national des statistiques, les salariés chinois les mieux rémunérés sont à Pékin (4672 yuans/mois de salaire net moyen – chiffres de 2011) et Shanghai (4331 yuans) contre moins de 3000 yuans pour un salarié du Henan, du Hunan, du Yunnan ou du Gansu. L’étude ne mentionne pas le salaire moyen dans le Guizhou, le Xinjiang et le Tibet, régions les plus à la traine économiquement.

 (Extrait de "Aujourd'hui la Chine")

* Conversion : 1 € = 8,2415 yuans - Ainsi le salaire moyen à Pékin est d'environ 560 € !

28 décembre 2012

L'hameçonnage se perfectionne

hameconnage

Extrait de "Arnaques-Infos" n° 54 - lettre d'information trimestrielle - 85504 Les Herbiers Cedex

27 décembre 2012

Les blogueurs boucs émissaires des élus

censureDécidément les blogueurs ont mauvaise presse auprès des élus ! Toute la France connaît le blog de Christophe Grébert "MonPuteaux.com" régulièrement, ou plutôt systématiquement, poursuivi en justice pour diffamation, par la députée-maire de Puteaux Joëlle Ceccaldi-Raynaud (anciennement suppléante de Nicolas Sarkozy). Malgré les relaxes continuelles prononcées par le tribunal, madame la députée-maire s'est entêtée au point de faire tellement de publicité au blogueur que celui-ci a été élu au Conseil Municipal de Puteaux. Juste retour des choses.

On voit d'ailleurs que les élections municipales approchent et certains élus au bilan pas toujours très glorieux, sur le plan local, cherchent des boucs émissaires. Autrefois, c'était la presse ! Rappelons-nous il y a quelques années la célèbre affaire de la villa Mathis où les élus désignaient comme responsable la regrettée jeune journaliste Sigolène Kropp qui écrivait : "Le suspense concernant le gestionnaire de la villa Mathis à Breitenbach devait prendre fin ce vendredi 14 mai. Le président de la communauté de communes René Haag l'avait promis. Mais l'annonce qu'il a faite ne trompe personne (voir DNA d'hier). Une fois de plus René Haag n'est pas en mesure d'avancer le nom d'un gestionnaire. Il affirme avoir trouvé "des partenaires sérieux" mais n'évoque ni signature ni caution bancaire. Ces gestionnaires sont-ils bien nouveaux ? Et René Haag a imposé une telle discipline parmi les délégués de la communauté de communes qu'aucun n'a osé lui poser la question de l'identité des repreneurs. Ou même émettre le regret de ne pas voir la promesse tenue.

Bouc émissaire

Quant au maire de Breitenbach Jean-Pierre Piela, il n'a rien demandé non plus, alors qu'il avait ouvertement critiqué René Haag dans son bulletin municipal (DNA du 11 mai). Des propos qu'il n'a pas vraiment assumés vendredi soir...Le courage politique n'est pas toujours là où on l'attend ! Dans cette affaire, la presse a été désignée comme bouc émissaire (ce qui est pratique et facile). Rappelons toutefois que 2 millions d'€ (13 MF) ont été dépensés par les collectivités publiques pour rénover la villa Mathis. Une saisine de la chambre régionale des comptes a d'ailleurs été déposée par le conseiller municipal de Villé Jean-Louis Boehler et enregistrée cette semaine. Les élus ont été mandatés par les citoyens pour gérer l'argent public et doivent évidemment rendre compte de leur action. Quant aux promesses, elles n'ont pas été inventées par les journalistes, mais bien prononcées par nos chers élus. Qu'ils assument !"

A cette époque j'avais été exclus des commissions de la comcom où je siégeais par le président de cette comcom pour raison de discours inconvenant sur mon blog à propos de cette vilaine "affaire Mathis"! J'avais bien sûr réagi, et le conseil municipal m'avait conforté dans ces commissions !

Aujourd'hui, on s'attaque de plus en plus aux blogueurs, non pas aux éphémères qui ont un blog le temps d'une campagne électorale, mais à ceux qui depuis 10 ans ou plus sont versés dans ce mode de communication. Rappelons il y a quelques semaines, la violente sortie au conseil municipal du maire de Lièpvre qui déclarait poursuivre en justice le blogueur de son village, alors même que le Procureur de la République avait déjà classé la plainte du maire "sans suites".

Et voilà que le maire de Villé veut se lancer dans la même mésaventure contre mon blog, à propos de l'affaire du cimetière qui a fait certes grand bruit au dernier conseil municipal. M'ayant déjà obligé à répondre dans la presse où mon nom était cité, le voilà qui m'écrit un courrier incendiaire, me demandant notamment de retirer un article de mon blog sous menace de me poursuivre en diffamation. Qui plus est, il laisse croire que je suis malveillant par rapport au personnel de service. Non, monsieur le maire, le responsable de ce beau fatras, c'est vous. A vrai dire, ce qui gêne monsieur le Maire, c'est que depuis un certain temps ce blog est cité dans les meilleurs buzz politiques de Canalblog ! Mais voilà qui risque fort d'envenimer la campagne électorale qui s'approche. Notre maire devrait quand même savoir que lorsque le ton monte, sa cote baisse !

Ci-dessous le courrier que m'a fait parvenir (sans timbre) le Maire de Villé :

maire1

Sans commentaires !

26 décembre 2012

Côte d'Ivoire : encore des gendarmeries attaquées ! Par qui ?

photo_1356100382900_3_0_300x198La Côte d’Ivoire a subi dans la nuit de jeudi à vendredi dernier une nouvelle attaque, avec la descente d’hommes armés sur une caserne de la gendarmerie, a-t-on appris auprès de l’état-major de l’armée.

La gendarmerie de Toits-Rouges, un secteur du quartier de Yopougon (ouest), a été attaquée vers 3H00 du matin (locales et GMT). Des individus non identifiés ont ouvert le feu sur la caserne, les tirs ont été intenses mais (les assaillants) ont été repoussés, a indiqué à l’AFP une source à l’état-major.

Selon une autre source militaire, un gendarme a été blessé lors de l’attaque et des véhicules ont été brûlés.

Ca a tiré très fort pendant deux heures, a indiqué une habitante du secteur. D’autres témoins ont évoqué aussi des tirs très intenses.

Selon une source sécuritaire occidentale, les assaillants étaient armés de kalachnikov et de lance-roquettes.

Le régime du président Alassane Ouattara est confronté depuis août à une vague d’attaques, souvent meurtrières, contre les forces de sécurité et des sites sensibles. Le gouvernement les a imputées à des partisans de Laurent Gbagbo, ce que le camp de l’ex-chef de l’Etat a démenti.

La dernière attaque remonte au week-end dernier, après plusieurs semaines d’accalmie: deux éléments des Forces républicaines (FRCI, armée) avaient été tués à Agboville, au nord d’Abidjan.

L’attaque de Yopougon intervient alors que la justice a accordé jeudi la liberté provisoire à huit proches de M. Gbagbo, dont son ex-Premier ministre Gilbert Aké N’Gbo, détenus après la crise postélectorale de décembre 2010-avril 2011 qui a fait environ 3.000 morts.

Cette mesure est apparue comme un geste d’apaisement après le regain de tensions des derniers mois.

Avec AFP

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24 décembre 2012

La charrue avant les boeufs ?

fetchBravo Monsieur le Maire ! Enfin, pour le cimetière, un communiqué qui nous éclaire sur votre façon de faire ! Mais pourquoi faire informer début décembre par vos services de mesures qui ne sont délibérées à votre conseil que le 17 décembre ! C'est donc bien vous le responsable du dysfonctionnemment, et non votre personnel qui n'a pu inventer ces mesures ! Idem pour le mode de paiement ! D'ailleurs, Monsieur le Maire, vous avez évoqué les cas de double concession sur 30 ans en oubliant de régler les cas où l'une des concessions concernées est perpétuelle (99 ans) ! Et les familles dans ce cas ne connaîtront toujours pas leur dû en cas d'aménagement ! 

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Extrait des DNA du 23/12/2012

En tous cas, le contribuable n'est pas rassuré du tout

par vos procédés !

23 décembre 2012

La prostitution, activité majeure à Bamako

prostitueeDe nos jours, l’argent au Mali se fait aussi rare que l’eau dans le désert, et le projet de tramway par une société alsacienne soutenue par la municipalité de Strasbourg est bien loin des préoccupations des habitants. Pour les quelques personnes qui ont encore un peu d'oseille, l’heure serait plutôt à l’épargne et la thésaurisation. Finies donc les dépenses outrancières, les virées nocturnes dans les bars, restaurants et  hôtels de luxe ! En un mot, crise oblige. Une crise qui a engendré des habitudes si vicieuses qu’elles sont devenues aujourd’hui un sujet de commentaires dans la capitale.

Assou, une jeune de 23 ans un peu « ravagée » par les méfaits des produits éclaircissants, nous donne rendez-vous à 10 heures au bas d’un bâtiment de la Cité administrative. Nous avons eu son contact par l’intermédiaire d’une femme qui travaille  dans un ministère et qui a tenté, durant des semaines, de la convaincre de  témoigner. Assou a finalement accepté de livrer une partie du secret de son activité. Etudiante à la rue à cause de la fermeture des Facultés de l’université de Bamako, touchée de plein fouet par la crise, Assou a réussi à se créer un réseau dans le milieu des cadres. Son succès lui vaut d’être constamment appelée au téléphone pour ses « services ». Assou ne ressemble pas aux prostituées habituelles qu’on rencontre à la « Rue blabla » de l’Hippodrome ou à Badalabougou.

10h 20 : un coup de téléphone. Le « client » agent d’un Cabinet ministériel), s’impatiente. Assou nous laisse en bas et se dirige vers les escaliers devant lesquels se bousculent des visiteurs. Elle redescend 40 minutes plus tard  et nous retrouve là où elle nous avait laissé. Elle nous confie que pour 40 000 FCFA, elle a eu un rapport sexuel avec ledit « client » dans son bureau et nous explique toute la scène de leurs ébats « amoureux » sans omettre le moindre détail. « Je suis entrée sans problème. J’ai juste indiqué que j’étais sa cousine comme il me l’avait conseillé, et on m’a laissée entrer », indique Assou qui, sa phrase à peine finie, se replonge dans son portable en lisant les multiples messages qu’elle a reçus.

« Nous sommes de plus en plus nombreuses à le faire. Moi, c’est une copine qui m’a mise dans le réseau. Actuellement, les hommes préfèrent qu’on se croise aux heures de pause à leur bureau : ça leur revient moins cher. Pas de restaurant ou d’hôtel. C’est parfois embêtant, mais on n’a pas le choix car il n’y a pas toujours des douches. Il faut donc aller se laver aux toilettes », précise Assou. Un autre rendez-vous l’attend à ACI-2000, dans les locaux d’une grande entreprise. Alors nous  laissons partir la jeune femme. Au cours de notre investigation, nous recevrons des informations concordantes indiquant que le phénomène du « coucher au bureau » est bien en pleine expansion à Bamako. Crise ou non, la prostitution constitue aujourd’hui, sinon depuis toujours, un des domaines privilégiés où bien des Maliens dépensent le plus.

("Oeil d'Afrique", Jean-Pierre James)

22 décembre 2012

Les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy refusés

7925A6BDFC1295C76F572F865EA2C_h498_w598_m2C’est une autre mauvaise nouvelle pour Nicolas Sarkozy. Le site du hebdomadaire L’Express rapporte vendredi 21 décembre que, selon la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), le président sortant a dépassé le montant des dépenses autorisées pour sa campagne en 2012. En effet, le CNCCFP a réintégré certaines dépenses antérieures à sa déclaration de candidature, le 15 février 2012, et a décidé en conséquence de rejeter ses comptes. Ces dépenses concernent notamment des réunions publiques organisées avant cette date.   

L’ex-chef de l’Etat avait déclaré un total de dépenses de 21 339 664 euros. Mais en comptabilisant ces dépenses antérieures, il aurait dépassé 22 509 000 euros, le montant maximum pour un candidat qualifié pour le second tour de la présidentielle.

Nicolas Sarkozy a aussitôt décidé de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel pour contester ce rejet, selon le député Philippe Briand qui fut son trésorier de campagne. 'Le montant du dépassement est peu significatif (1,6%) et ne saurait à lui seul entraîner le rejet du compte. Il provient par ailleurs d'un mode de calcul de la commission que nous contestons', explique-t-il.

Si la décision de la CNCCFP est confirmée, son parti, l’UMP, sera sanctionné : il recevra 11 millions d’euros de moins sur le montant total des aides publiques auxquelles il a droit. Dans l’histoire de la Ve République, un seul candidat avait vu ses comptes rejetés : il s’agit de Jacques Cheminade pour sa campagne de 1995.

21 décembre 2012

Fin du monde : un astéroïde a déplacé le val de Villé en Seine-et-Marne !

Villé, c'est où ? On croyait que c'était dans le sud du Bas-Rhin, dans la plus belle des vallées ! Erreur, le calendrier distribué par un supermarché nous indique grâce au code postal que Villé, c'est en Seine-et-Marne ! Et l'Ungersberg serait voisin de la butte Montmartre ? En fait ce serait le cataclysme annoncé de fin du monde qui aurait déplacé la Zone Artisanale de Villé du côté de Melun.

superu

20 décembre 2012

Communiqué de presse

pierre_tombale_Hj_p030_granit_gris_blancSuite  à l'article publié le 19/12 dans les DNA, « Villé – Conseil municipal », j'ai demandé la parution du communiqué suivant :

Début décembre, j'ai été convoqué par les services de la mairie à propos de notre tombe familiale. C'est à cette occasion que le post-it dont il est question m'a été remis. Le procédé m'a étonné pour deux raisons :

Bien que les noms des défunts soient gravés sur la pierre tombale, qui date de 14 ans à peine, aucune facture ne m'a été adressée. Enfin, il m'a été présenté sur un plan jauni par les âges une tombe simple, et personne ne savait à la mairie à qui appartenait la concession voisine que j'avais également achetée il y a 14 ans, pour obtenir une double tombe.

 C'est ainsi qu'un post-it m'a été remis (copie jointe) et que j'ai été invité à déposer un chèque de 180 € à la mairie. Considérant que c'est à la perception d'établir des factures au nom de la commune, j'estime ce procédé pour le moins cavalier, sinon illégal !

J'estime inadmissible devant de tels faits, qu'une partie du conseil municipal, et notamment un adjoint au maire, n'ait d'autre réaction que le rire, mélangeant au passage les affaires privées avec mes convictions politiques.

De façon accessoire, en tant qu'ancien conseiller municipal, j'avais proposé la numérisation du plan du cimetière dès 2002. La proposition, bien que réunissant l'unanimité, n'a jamais été réalisée. Aujourd'hui on paie le prix de cette lacune ! 

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