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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
31 octobre 2012

Baratin endormeur à Villé

schmissbergPeu de points à l'ordre du jour, pas de décisions prises en conseil municipal de Villé ! Les deux points les plus importants littéralement bâclés ! Ainsi, le projet de rénovation de la synagogue : des chiffres, des chiffres, puis encore des chiffres, et au final "le projet (-) repassera en conseil ultérieurement pour valider le plan de financement définitif." Tout ça pour ça ! Pour le Schmissberg, ce n'est guère mieux. "On a construit à droite, on a construit à gauche", annonce le maire. Et a-t-on oublié que certains propriétaires ont obtenu un certificat d'urbanisme pour une "zone non constructible" ? Et qui a donc signé ce document illégal ? Alors maintenant, une AFUA ... pour laquelle la décision avait été prise en avril 2006, sur ma proposition. Quelle avancée, plus de 6 ans plus tard ! Quant aux informations sur les dossiers en cours, ça tourne au comique : "Les pommiers sont toujours en place !", il y aura donc des pommes en 2013 ? "On ne communique pas sur le site internet de la commune !" Tiens, il existe encore, celui-là ? "Les travaux de la 2ème tranche ? Les travaux devraient démarrer d'ici deux mois !" De deux mois en deux mois, qui y croit ? Mais où ont donc passé certaines subventions de la 1ère tranche, telles celles du FISAC (animation) ? Alors, les dossiers sont-ils au moins déjà ficelés ? En conclusion, du baratin endormeur pour les conseillers non informés et les contribuables payeurs ! 

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29 octobre 2012

La liste Lagarde publiée, le journaliste arrêté, l'original disparu

Kostas Vaxevanis a publié quelque 2 059 noms de détenteurs grecs de comptes bancaires suisses.

ubsUn journaliste grec a été arrêté dimanche pour avoir dévoilé les noms d’une mystérieuse liste de détenteurs grecs de comptes bancaires suisses, et doit comparaître devant le procureur d’Athènes, a-t-on appris de source policière. Le journaliste Kostas Vaxevanis a publié quelque 2 059 noms de la liste transmise en 2010 par Christine Lagarde, à l'époque ministre française des Finances. Le gouvernement prétend que la copie originale de la liste a disparu. Les réseaux sociaux grecs bruissaient dimanche de commentaires après l’annonce par la police que «sur l’ordre du bureau du procureur d’Athènes», une enquête était menée pour retrouver et arrêter le responsable de la publication du magazine Hot Doc.

«Ils veulent arrêter la vérité»

«Au lieu d’arrêter les voleurs et les ministres violant la loi, ils veulent arrêter la vérité», a commenté Kostas Vaxevanis sur son compte twitter samedi soir.La liste provient de documents révélés par un employé de la banque HSBC en Suisse. Elle avait été transmise au gouvernement grec en 2010 par l’actuelle patronne du FMI Christine Lagarde. Le ministre grec des Finances de l'époque, George Papaconstantinou, qui en était le destinataire, a affirmé mercredi devant le Parlement qu’il ne savait pas ce qui était advenu de la version originale de la «liste Lagarde»Mercredi, l’actuel ministre des Finances Yannis Stournaras a déclaré avoir demandé à la France d’en renvoyer une copie. Le nouveau gouvernement de coalition issu des élections de juin avait d’abord exclu d’user contre les auteurs d'évasion fiscale des documents obtenus illégalement, avant de tourner casaque, confronté à la colère croissante de la rue face à une austérité accusée d'épargner les riches et les puissants.

(AFP) - Publié par "Libération".

27 octobre 2012

Du bois et des tartes

tarteDécidément, dans la vallée on ne fait rien comme ailleurs ! Ainsi, ces deux bûcherons qui ont décidé de faire la fête un soir avec leurs compagnes. Rien de plus normal, après l'effort, le réconfort. Ils commandent donc une table dans une pizzeria, et vont y déguster quelques pizzas et tartes flambées au feu de bois, le tout bien sûr très arrosé. Arrive le moment de l'addition : 97 € ! L'un des bûcherons sort son carnet ! Mais pas du tout son carnet de chèques ! Un carnet de facturation où il inscrit : "2 stères de bois volé dans mon lot forestier = 100 € TTC !" Et il tend le papier avec un grand sourire et un fort "Gardez la monnaie!" entendu de tous les clients. Et les deux couples s'en vont comme ils sont venus. Aux dernières nouvelles, la gendarmerie n'aurait enregistré aucune plainte pour grivellerie.

  • NB : Toute ressemblance avec un évènement s'étant passé réellement est purement fortuite !
26 octobre 2012

Villé : un ancien "dossier chaud" resurgit

77654321_oEnfin une réunion du conseil municipal. Un ordre du jour pas très long, après tout ce temps! C'est lundi, 29 octobre à 20 h !

  • Finances.
  • Projet de rénovation de la synagogue de Villé.
  • Autorisation de la mise en place d'une AFUA au lieu-dit Schmissberg
  • Approbation de l'état d'assiette des coupes pour 2014
  • Divers

Le Schmissberg ! une vieille histoire de lotissement privé qui resurgit alors que la municipalité n'a pas encore vendu un seul lot des "Pommiers 2" !

25 octobre 2012

Uranium : le Niger s'estime mal payé par AREVA

Areva_257x300Le Niger a durci le ton jeudi envers le groupe français Areva, jugeant « très déséquilibré » leur partenariat historique dans l’uranium, dont le pays est l’un des plus grands producteurs mondiaux, et a dit vouloir accroître les retombées du secteur minier pour la population.

« Le partenariat dans l’exploitation de l’uranium est très déséquilibré en défaveur du Niger, et ce depuis 41 ans d’exploitation de ce minerai », indique un communiqué du conseil des ministres. « Ce déséquilibre est corroboré par le fait que les recettes tirées de l’uranium représentent 5% des recettes du budget national » alors que le Niger devrait en tirer « des ressources importantes », explique le gouvernement du président Mahamadou Issoufou, élu en mars 2011. Le gouvernement exprime « sa volonté d’accroître les retombées du secteur minier pour le peuple nigérien, à travers notamment le renforcement de sa participation à la gouvernance du secteur », sans plus de précision. Selon les médias officiels nigériens, le président Issoufou s’est entretenu cette semaine à Niamey avec Luc Oursel, le président d’Areva, de « l’épineuse question de l’exploitation de l’uranium », dont les revenus alimentent la controverse depuis des décennies. Interrogée par l’AFP, une porte-parole d’Areva à Paris n’a pas fait pas de commentaires dans l’immédiat. Présent depuis une quarantaine d’années au Niger, le groupe nucléaire français y exploite deux gisements d’uranium à Arlit et à Akokan, dans le nord désertique du pays. Plus grand employeur privé de ce pays parmi les plus pauvres du monde, Areva doit en outre commencer en 2013-2014 l’exploitation de la mine géante d’Imouraren (nord), présentée comme « la deuxième du monde ». Elle doit produire 5.000 tonnes d’uranium par an à plein régime et représente un investissement de plus de 1,2 milliard d’euros.

Le pétrole aussi

arlitLe gouvernement a aussi déploré le « retard » dans le chantier d’Imouraren, « imputable » à Areva et qui « entraînera un manque à gagner pour l’Etat ». Depuis quelques années, deux (bien: deux) compagnies chinoises, dont la China national nuclear corporation (CNNC), extraient aussi de l’uranium à Azelik, dans la même région. En février, Niamey avait annoncé que le prix du kilogramme d’uranium nigérien avait été fixé à 73.000 FCFA (environ 111 euros), à l’issue de négociations avec Areva, évoquant « une avancée notable dans l’histoire des négociations des prix des matières premières au Niger ». Il s’agit d’un « prix plancher » généralement fixé lors de discussions annuelles avec Areva et censé mettre le Niger à l’abri des fluctuations sur le marché international. Premier produit d’exportation du pays, le minerai représente 5% de son produit intérieur brut (PIB). Le gouvernement a indiqué, sans plus de détail, avoir la même volonté de changement dans le secteur pétrolier, où « la même démarche est en cours ». Le Niger est devenu en novembre 2011 producteur de pétrole et a ouvert à Zinder (centre-est) sa première raffinerie, pour une modeste production de 20.000 barils par jour. Les prix à la pompe de l’essence produite et raffinée sur place sont jugés trop élevés dans la population et suscitent depuis un an de vives protestations. Le contrat de production et de raffinage attribue 40% de la production au Niger et 60% à la China national petroleum corp. (CNPC), une compagnie publique chinoise. Les ONG nigériennes ont souvent dénoncé le « flou » autour des contrats miniers. « Nous saluons et encourageons cette décision du gouvernement », a réagi Salissou Oubandoma, ex-coordonnateur du Groupe de réflexion sur les industries extractives au Niger (Gren), une ONG locale. « Nous produisons d’énormes quantités de ce minerai stratégique, on ne peut comprendre que les Nigériens végètent encore dans la misère », a-t-il affirmé à l’AFP.

"Oeil d'Afrique" avec AFP

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24 octobre 2012

Les conséquences de l'affaire de dopage de Lance Armstrong

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23 octobre 2012

Démantèlement du service public

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22 octobre 2012

Alsace-Nature, nous voilà !

hubert_jaeger_au_centre_a_guide_participants_a_la_sortie_d_alsace_nature_a_travers_les_prairies_deQuel beau communiqué dans la presse du dimanche concernant la D.U.P. du contournement de Châtenois ! Une fois de plus, Alsace-Nature est "en vert et contre tout" ! On s'y attendait, les voilà argumentant contre cette déviation tant attendue par les riverains et les usagers ! Et tous les arguments sont bons : "Aucun aménagement de la RN 59 n'est prévu en amont du projet de déviation !" Se souviennent-ils seulement que ce sont eux qui ont fait obstruction à la construction d'une nouvelle route sur le tronçon Lièpvre - Val de Villé ? Ils évoquent même le mauvais état routier, l'asphyxie routière et la paralysie de l'activité économique, alors qu'ils en sont à l'origine, en retardant ce projet par des recours successifs (rappelons qu'il n'y avait pas que les viticulteurs pour déposer un recours contre la première D.U.P., eux aussi l'avaient fait) ! Et ceux qui qualifient dans "L'Alsace" du 21/10/2012 d' "oasis de beauté" le lieu de passage du contournement devraient commencer à balayer devant leur porte !

 AN 

21 octobre 2012

Rambervillers : les poubelles de la colère

Pendant quelques minutes, la tension était à tel point palpable qu’on a bien cru que la vingtaine de gendarmes casquée, matraque et bouclier au poing, allait charger. Et puis finalement non, tout est rentré dans l’ordre. La place du 30 septembre à Rambervillers a été une nouvelle fois, hier soir, le théâtre de la colère des habitants de la ville et de la communauté de communes, la 2C2R, plus de 700 personnes selon les forces de l’ordre, qui protestent de plus en plus vigoureusement contre le ramassage des ordures à la pesée. Une nouveauté dans le quotidien des foyers à compter du mois de janvier, un budget à la hausse à prévoir pour les ménages.

 

UNE SORTIE DE POUBELLES UNE FOIS PAR MOIS

« Avec mon bébé, j’ai 80 kg de couches par mois. Avec la pesée embarquée, je vais payer 350€ par an, rien que pour ça, sans compter les autres déchets », affirme Aurélia. Elle est venue en famille, avec mari et enfants pour dire non au système mis en place par la 2C2R. « On nous dit de trier mais finalement, c’est trier plus pour payer plus », constate Evelyne, une habitante de Saint-Gorgon, qui a fait ses calculs « à peu près parce qu’on ne sait rien de précis. Quand des agents sont passés chez nous pour nous présenter les choses, ils n’avaient aucun tarif. » A 0,32€ le kilo d’ordure, contre 0,07 à Baccarat par exemple, la facture chiffre vite, d’autant qu’il ne faut sortir sa poubelle « qu’une fois par mois, reprend Evelyne. Chaque sortie supplémentaire coûte 2,20€. » Beaucoup d’argent pour des familles déjà pas bien riches. Et un sérieux problème de logistique : « Comment vont faire les gens qui habitent en appartement ? Ils vont devoir stocker leurs poubelles chez eux pendant un mois ? », s’interroge une habitante du centre-ville.

Le maire et vice-président de la 2C2R, Gérard Keller, est venu courageusement dans la foule pour tenter de répondre aux questions de ses administrés, qui ont l’impression d’être « des vaches à lait. » Pourquoi ne pas vendre les poubelles plutôt que de nous les louer (entre 127 et 250€ par an selon la contenance) ? Comment vont faire les personnes âgées, les malades dont les soins produisent des déchets ? Ou va l’argent ainsi collecté ? Autant d’interrogations sans réponse. « De toute façon, vous vous en foutez », apostrophe une manifestante. « Non, Madame, si je m’en foutais je cultiverais mon jardin depuis 10 ans. Nous sommes en période de test, tout n’est pas encore calé », réponds le maire, qui s’avoue toutefois coincé entre deux chaises : la communauté de communes d’une part, qui a réalisé des investissements et entend les rentabiliser, et ses administrés d’autre part, qui s’attendent à recevoir une note salée. Sans tout comprendre. « On ne nous a rien dit sur les tarifs, on ne sait rien. De toute façon, en janvier je ne paierai pas. Même si les huissiers viennent chez moi », s’agace un homme. « Je ne suis pourtant pas une révoltée mais là, ça va trop loin », reprend une femme.

Pris à parti, Gérard Keller est rentré dans sa mairie après avoir reçu des jets d’œufs. Il est ressorti quelques minutes plus tard, toujours pour tenter de calmer la foule, qui grondait de plus en plus. Il a toutefois été salué par quelques bonnes âmes reconnaissantes : « Il est courageux, tout le monde n’aurait pas fait ça. »

Au milieu de la place, les déchets s’accumulent et certains manquent de partir en fumée, quelques jeunes manifestants ayant décidé de corser les discussions.

Jean-Marc Habert, le président de la 2C2R était présent lui aussi, entouré par les gendarmes. De son côté non plus, les habitants n’ont pas trouvé de réponses satisfaisantes. « Il faut attendre le mois de décembre. Nous ferons un point à ce moment-là pour voir combien cela coûtera réellement », a tenté le président. Pas de quoi calmer la foule. Plus de deux heures après le début de la manifestation, la place était toujours noire de monde. A l’arrivée du cordon de « boucliers », l’ambiance redescend un peu mais les « Keller démission », retentissent dans la ville. Il s’en est fallu de peu pour que la soirée dégénère mais les 35 gendarmes et policiers municipaux étaient sur le pied de guerre. La colère n’est pas tombée pour autant. « S’il le faut on reviendra. Et on ira les déposer directement chez le maire, nos poubelles », grogne quelqu’un.

Il reste trois mois à la communauté de communes pour tenter de désamorcer un conflit qui vire à la crise de nerf. Réunions publiques et autres rencontres ne seront pas de trop pour expliquer aux habitants de Rambervillers et des villages alentours qu’il va falloir sortir le portefeuille.

Marion JACOB - Vosges-Matin)

20 octobre 2012

Pas de gazouillis pour les nazillons

8af7bf1103Twitter est confronté en ce moment à deux affaires xénophobes, en Allemagne et en France. En cause : un groupuscule néo-nazi et un concours de blagues antisémites remettent sur le devant de la scène la question de la liberté d'expression sur les réseaux sociaux. Twitter est contraint à la censure.

Un compte néo-nazi bloqué en Allemagne

Twitter vient de bloquer le compte d'un groupe néo-nazi basé en Allemagne en Basse-Saxe. Le compte « Besseres Hannover », géré par un groupuscule néo-nazi, a été condamné et interdit le 25 septembre par un tribunal de Basse-Saxe. Les membres de ce groupe tombent désormais sous le coup d'une enquête pour incitation à la haine raciale, après avoir envoyé une vidéo menaçante à Aygül Özkan, ministre régionale d'origine turque, responsable des Affaires sociales. Peu avant l'affaire, Twitter avait déclaré pouvoir bloquer des comptes et des messages illicites, uniquement cependant sur sollicitation des autorités compétentes, et selon la législation en vigueur dans le pays. Après la demande des autorités allemandes à l'entreprise américaine, cette dernière a bloqué le compte néo-nazi. Les messages datés d'avant le 25 septembre sont cependant encore visibles en Allemagne, et les messages postérieurs le sont dans les autres pays.

En écho au scandale antisémite en France

Cette affaire arrive au moment où Twitter est confronté en France à une controverse, concernant le hashtag (mot clé) "#UnBonJuif". Le 10 octobre dernier, ce mot clé était l'un des plus utilisé du réseau, servant à partager des blagues antisémites. En réaction, Jonathan Hayoun, président de l'UEJF (Union des étudiants juifs de France), a indiqué qu'il souhaitait porter plainte contre Twitter, si le hashtag n'était pas retiré du site, et surtout si l'entreprise américaine ne répondait pas à leur demande de concertation. Une réunion téléphonique a eu lieu ce 18 octobre entre les dirigeants de Twitter et le représentant de l'UEJF, qui s'est révélé pour ces derniers "décevant". Face à la menace d'une plainte, Twitter a cédé, et décidé d'appliquer la loi française, selon laquelle il n'est pas nécessaire d'obtenir une injonction juridique pour retirer un contenu illicite. Ainsi les tweets signalés seront retirés prochainement du site.

Ces nouvelles affaires posent à nouveau la question de la liberté d'expression sur les réseaux sociaux, et ses limites. Twitter dit vouloir suivre les législations nationales. Face à ces deux affaires l'entreprise n'a pas réagi de la même manière. En France les tweets seront supprimés, alors qu'en Allemagne, bien que le compte soit bloqué, les messages sont toujours consultables. Comment le réseau social à l'oiseau bleu peut-il, suite à l'affaire française justifier le non-retrait des tweets néo-nazi, alors même que le compte est bloqué ? Une autre question se pose, celle de la législation pouvant réguler les messages échangés sur les réseaux sociaux. Twitter souhaite respecter celle de chaque pays, mais à une époque où les informations circulent mondialement de plus en plus rapidement, est-ce vraiment possible ? (-)

Extrait de "La gazette de Berlin"

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