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Différences : le blog de Jean-Louis BOEHLER
4 juillet 2010

Des noms d'oiseaux ... et de poissons

vuvuzelaEn ce premier marché du terroir du 17 juin à Villé, l'ambiance était chaude malgré le courant d'air frais qui donnait plus envie d'avaler un vin chaud en lieu et place d'une bière trop fraîche. La municipalité avait malgré tout prévu d'installer tables et bancs au milieu des stands, matériel que les ouvriers municipaux furent chargés de chercher à l'étang de pêche. A peine installés, voilà que déboule le responsable des pêcheurs, hurlant au vol (car visiblement personne ne lui avait demandé l'autorisation de prendre ces tables et bancs, ou ne l'avait même averti). Après quelques échanges verbaux bien sentis avec l'adjoint au marché, le pêcheur est reparti avec ses garnitures. Si l'image donnée du marché n'est pas des plus encourageantes pour les touristes présents (heureusement pas encore très nombreux), c'est malgré tout le contribuable de Villé qui paiera les pots cassés, puisque des bancs et tables furent finalement livrées par un dépositaire de Sélestat, qui ne s'est certes pas déplacé "à l'oeil" pour trois tables et six bancs, surtout par les temps de crise économique qui courent et de consommation de carburant à réduire. Alors, sonnez, vuvuzellas de Villé, sonnez !

ds_la_zizanie

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Commentaires
T
J'ai bien apprécié ton analyse, amerein. Mais à propos de l'histoire ci-dessus, même rangée dans la rubrique "humour", n'oublions pas que ce sont les petits ruisseaux qui forment les grandes rivières.<br /> Et là elles deviennent moins humoristiques mais plus tragiques.
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A
Trop clochemerle cette histoire,<br /> je préfèrerai voir une démo sur les 180 milliards (10% du PIB) passés direct aux actionnaires sans passer par la case cotisations sociales !<br /> Ce, tant sous la droite, que sous la gauche; puis à nouveau sous la droite et encore sous la gauche et maintenant à nouveau sous la gauche/droite de Sarkozy.<br /> Il nous aura bien endormi celui-là, enfin je parle pour ceux qui avaient foi en ses mensonges.<br /> Où serait le problème des retraites si nous ne faisions que revenir au partage des richesses de 1979 ?<br /> Ces fameux 180 milliards libèreraient 36 milliards de cotisations salariales (ne parlons pas des patrons - exonérés) au bénéfice des URSSAF. Où serait le problème des retraites ?<br /> Les 144 milliards restants permettraient alors d'augmenter de 666 € par mois les revenus de 18 millions de bas salaires et minimas sociaux en France. Et nous ne serions que revenus au système de répartition des richesses de 1979 !!!<br /> Faites les comptes,On se fout vraiment de nous tous depuis 40 ans.<br /> Que fait, que dit le PS sur ce sujet crucial ?<br /> C'est le petit qui va tout se prendre dans la tronche !Soit !<br /> Méfions nous il saura peut-être s'en sortir par une pirouette comme il en a l'habitude et l'art d'en faire.<br /> amerein
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